Le programme Opportunéo sera livré à la fin de l’année 2024

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Le programme Opportuneo, c’est la vitrine de Bouygues à La Roche-sur-Yon.

100 logements vont être livrés cette année sur le boulevard Edouard-Branly, « dont 30 appartements réservés à des primo-accédants », souligne Laurent Gourdon, directeur régional chez Bouygues immobilier.

On a signé une convention avec la Ville pour garantir un prix maîtrisé à 2 350 € du m2 (parking compris) pour 30 logements.

Laurent Gourdon, directeur régional chez Bouygues immobilier en Pays de la Loire

Un moyen de « resolvabiliser » les aspirants à la propriété.

Sur ces 30 appartements, tout est parti très vite. Mais il reste un appartement à vendre, un T4 à 189 000 €.

Sur le reste du programme, il reste quatre logements à commercialiser : deux T2 et deux T3.

Aux abords de la résidence, le constructeur prévoit de perméabiliser 3 000 m2 de sol et de planter 160 arbres et 150 mètres linéaires de haies. « On donne les clés à nos clients en novembre prochain », annonce le promoteur.  

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Immobilier : quelles sont les envies d’achat des Français

Inflation, hausse brutale des taux de crédit immobilier, baisse du pouvoir d’achat… Après plusieurs mois de crise économique à laquelle n’a pu échapper le secteur immobilier, quelles sont aujourd’hui les intentions d’achat des Français en cette saison printanière souvent propice aux concrétisations des projets immobiliers ? Eléments de réponse avec ce 1er volet d’une étude menée par Guy Hoquet et Yougov auprès de personnes de plus de 30 ans.

photo : Tiny house in shopping cart background with copy space

Bonne nouvelle : alors que le marché immobilier a subi en 2023 une baisse de 22 % de son volume de transactions, l’envie de devenir propriétaire ou de déménager pour changer de logement semble aujourd’hui extrêmement présente chez les Français. En effet, selon l’étude Guy Hoquet, 55 % des Français, de plus de 30 ans ayant l’intention d’acheter, souhaitent concrétiser leur achat d’un appartement ou d’une maison d’ici la fin de l’année 2024. Avec une préférence tout de même pour la maison individuelle pour 72 % des porteurs de projets, et seulement 28 % pour les appartements. A noter que 45 % des Français qui espèrent acheter d’ici la fin de l’année sont actuellement locataires de leur logement, ce qui constitue un signal encourageant pour un marché locatif totalement saturé depuis plusieurs mois.

« A l’instar des tendances que nous avons observées sur le terrain depuis deux mois, notre étude démontre que les Français recommencent à envisager d’acheter, notamment grâce aux conditions d’emprunt qui redeviennent un peu plus attractives pour eux », analyse Stéphane Fritz, président de Guy Hoquet l’Immobilier.

Autres éléments-clés mis en avant par l’étude :  en 2024, les porteurs de projet d’achat immobilier sont majoritairement âgés de 30 à 44 ans, habitent aujourd’hui principalement dans des villes de plus de 20 000 habitants et vivent généralement dans des foyers de 3 personnes et plus. Ce sont ainsi principalement des familles qui souhaitent accéder à la propriété pour la première fois.

L’immobilier : toujours une valeur refuge

Et pour cause, parmi les Français interrogés, ces derniers expriment clairement à quel point l’immobilier représente d’abord un placement rassurant pour eux. En effet, ceux qui souhaitent acheter veulent prioritairement se constituer un patrimoine pour 34 % d’entre eux et réaliser leur premier achat pour 27 %. A noter que l’envie d’acheter « mieux » n’apparaît qu’en troisième position des motifs évoqués par les porteurs de projets, et que l’investissement locatif se positionne seulement à la sixième place.

Si l’envie des Français pour l’immobilier est bien là, le budget reste tout de même le point d’attention principal de celles et ceux qui souhaitent acheter en 2024.

66 % des Français considèrent ainsi le prix comme critère le plus important dans leur recherche. Une donnée peu surprenante à l’heure où le pouvoir d’achat préoccupe particulièrement les ménages français et que 73 % des futurs acquéreurs ont l’intention de contracter un crédit immobilier. A noter également que la maîtrise du budget est pour ces derniers plus que jamais essentielle. Ainsi, 74 % d’entre eux n’envisagent pas de mensualité supérieure à 1 000 euros, 27 % des porteurs de projets s’inquiètent de prix de l’immobilier trop élevés et 18 % craignent de ne pas obtenir de crédit immobilier.

Parmi les autres caractéristiques les plus importantes dans leur recherche de biens figurent la possibilité de bénéficier d’un extérieur (53 %), le calme (38 %), la superficie (37 %), le nombre de chambres (36 %) ou encore la luminosité et l’exposition (32 %). A noter que l’étiquette du DPE n’arrive qu’en septième position.

Stéphanie Marpinard

Après avoir évolué pendant 10 ans au sein d’un groupe spécialisé dans les médias étudiants, l’orientation professionnelle et la gestion de carrière, en tant que rédactrice en chef adjointe, Stéphanie Marpinard a choisi de travailler à son compte et collabore depuis à différents médias. Ses domaines de prédilection sont entre autres l’immobilier, l’emploi et les ressources humaines.

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Immobilier : quelle stratégie pour Bouygues immobilier en Vendée

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Le Journal du Pays yonnais : comment est représentée Bouygues en Pays de la Loire ? 

Laurent Gourdon : Bouygues Immobilier est présent sur trois sites en Pays de la Loire : Nantes, Angers et La Roche-sur-Yon.

L’agence vendéenne a été créée il y a deux ans, mais cela fait 25 ans que nous travaillons à La Roche-sur-Yon.

Cinq commerciaux ou responsables de projets gravitent autour de l’agence yonnaise.

Au total, 25 salariés de Bouygues Immobilier travaillent sur toute la région. 

Quelle est la spécificité de la Vendée quand on travaille dans l’immobilier ?

Il y a une particularité en Vendée que l’on retrouve un peu en Sarthe, c’est que les Vendéens investissent beaucoup et sont passionnés par la pierre. Ils sont majoritairement propriétaires. Ce sont aussi des clients fidèles au territoire. Par exemple, j’ai en tête un client investisseur qui nous achète systématiquement un logement quand on lance un programme.

Ce qui m’amène à rappeler qu’on ne vient pas dans le département par opportunité : notre présence est pérenne ici.

Depuis 25 ans, on a réalisé plus de 1 300 logements à La Roche-sur-Yon, et 300 autres à Challans et aux Sables-d’Olonne. Le programme Richelieu, situé boulevard des Belges à La Roche-sur-Yon, est emblématique de l’arrivée de Bouygues en Vendée.

Vidéos : en ce moment sur Actu

Quels sont vos programmes en cours à La Roche-sur-Yon ? 

On va livrer l’opération Opportunéo, dans le quartier des Forges, à la fin de l’année 2024 : 100 logements accessibles à tous puisque 30 primo-accédants ont réservé leur bien grâce à une convention signée avec la ville pour plafonner le prix à 2 350 € le m2 parking compris, soit bien inférieur aux prix du marché.

C’est une vitrine pour Bouygues, car ce programme symbolise notre savoir-faire : du logement de qualité, accessible à tous. Sur ce programme, il reste cinq appartements à vendre. 

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Deuxième programme en cours : le Marengo, rue Joffre. La livraison est prévue pour l’été 2025. Il reste trois logements disponibles sur ce programme, commercialisé à 3 850 € le m2.

Ce sont deux projets imaginés avant la crise immobilière post-Covid, ce qui nous a permis de maintenir nos prix.

On regarde aussi du côté du projet Sully, à plus long terme. 

Rien d’autre en cours à La Roche-sur-Yon ? 

Non. Nous avons échoué en finale du concours sur le projet de l’ancien lycée Saint-François d’Assise, face à Édouard Denis. Bonne chance à lui !

Mais nous sommes un peu amers, car on nous a demandé de baisser notre prix. Nous l’avons fait une fois, mais on n’a pas souhaité surenchérir, ce n’était pas raisonnable.

Si l’on baisse notre prix en amont, c’est forcément le client, en bout de chaîne, qui compense.

Ce n’est pas notre politique. [Ce projet prévoit une centaine de logements, une maison intergénérationnelle, des logements en co-living et une micro-crèche en plein cœur de ville, rue Victor-Hugo].

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Comment votre entreprise résiste-t-elle à la crise immobilière en Vendée ? 

Plutôt mieux que nos concurrents.

La preuve : on a vendu presque tous nos appartements en commercialisation sur La Roche-sur-Yon. Et la Vendée enregistre une hausse de 20 % sur les réservations de logements en 2023 par rapport à 2022 quand c’est la dégringolade sur d’autres secteurs.

Il n’y a pas de recette miracle si ce n’est de faire des efforts, c’est-à-dire, rogner nos marges. C’est ce que Bouygues a fait pour surmonter cette crise immobilière. Car la demande en logements reste très soutenue même si elle n’est pas toujours entendue par les banquiers.

Les prix ont explosé, les marges des promoteurs se sont écroulées, il y a eu un effet ciseau. À nous, professionnels, de trouver des solutions. 

Quelle est votre stratégie pour surmonter la hausse des prix ?

Il y a un sujet entre l’adéquation prix-produit-emplacement.

Notre ambition, c’est de sortir des programmes à des prix abordables, des prix de marché moins chers que ceux qui se pratiquent à La Roche-sur-Yon. Notre centrale d’achat chez Bouygues nous permet notamment de mutualiser les volumes d’achat de matériau.

Stratégiquement, on poursuit notre implantation dans les métropoles et les agglomérations, mais on arrive aussi à sortir des programmes sur les territoires ruraux où les prix sont encore plus compétitifs. La loi ZAN nous encourage à y aller. On y est très bien accueilli par les maires.

On regarde en ce moment du côté de Saint-Florent-des-Bois. Je suis convaincu que l’on peut faire de la densité acceptée, respectueuse de l’existant. 

Ajoutons que l’on diversifie au maximum notre offre pour coller aux besoins des clients : on fait de la résidence étudiante, des résidences seniors services, du co-living, du produit locatif. Le but du jeu : avoir un maximum de produits en rayon.

Bouygues est taxée de polluer beaucoup en construisant des logements. Que pouvez-vous répondre ? 

On doit et on veut faire des bâtiments plus respectueux de l’environnement.

On n’a pas attendu la RE2020 pour le faire.

En Pays de la Loire, j’ai testé pendant deux ans les innovations de trois entreprises : Tri n’collect (tri sur les chantiers), Néolithe (granulat de résidu de carbone qui remplace le gravillon) et Hoffman (béton neutre en carbone). Bouygues a retenu au niveau national les solutions proposées par ces entreprises ligériennes.

On s’implique pour avancer sur ces sujets-là, avec une devise : faire du confortable, du durable et du configurable. L’hyperpersonnalisation des appartements par nos clients est aussi une clé pour performer. 

C’est à nous de faire la révolution de notre métier.

Oui, cela pollue de construire des logements, mais on décarbone notre activité.

Il ne faut avoir aucun tabou sur nos procédés et arrêter de culpabiliser les consommateurs. C’est à nous d’être attractifs. 

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Crédit immobilier : les nouveaux taux des banques

Des baisses de taux pour accompagner le printemps de l’immobilier. Après presque deux années de hausse continue, les taux des crédits à l’habitat ont commencé à reculer depuis début 2024. Tel que calculé dans le cadre de l’observatoire du Crédit Logement/CSA, le taux moyen des prêts immobiliers, hors assurance-emprunteur , est passé de 4,21 % en décembre dernier à 3,81 % en avril.

En mai, la tendance baissière se poursuit, estiment les courtiers. En se basant sur les nouveaux barèmes adressés par les banques, ils annoncent des taux en recul de 0,05 à 0,15 point selon la durée d’emprunt. « Bien que les établissements bancaires n’aient pas des ambitions folles en termes de production de crédits, ils souhaitent conquérir de nouveaux clients, ce qu’ils n’ont pas fait en 2023, et peu au cours du premier trimestre 2024 », explique Caroline Arnould, directrice générale de Cafpi.

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Immobilier en crise : quelles conséquences sur les loyers

L’évolution des loyers dessine une courbe parfaitement similaire à celle de l’inflation sur un an, pour atteindre une hausse de 2,3 % sur l’ensemble des appartements selon les données de l’observatoire Clameur. Le mètre carré loué se négocie désormais à 12,49 euros en moyenne. Au global, l’évolution du marché locatif reste modérée, comparativement à l’IRL, l’indice de référence des loyers, outil servant à réviser les loyers des logements en location.

Le taux maximum de revalorisation annuel a été plafonné pour protéger les locataires de l’inflation. L’IRL a été fixé à 3,5 % jusqu’en avril 2024. Malgré cette limite, l’évolution du marché est restée modérée. Les 2 et 3 pièces ont enregistré une hausse de leurs tarifs de l’ordre de 1,82 et 2,19 %, respectivement.

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Immobilier : gagnez-vous assez pour acheter un appartement de 80 m2 dans votre ville

Exclu Capital

Temps de lecture: 2 min

EXCLUSIF – Capital dévoile les revenus qu’un ménage doit gagner pour acquérir un appartement de 80 mètres carrés dans une cinquantaine de villes françaises. Dans certaines communes, plus de 9 habitants sur 10 n’en ont pas les moyens

Avez-vous les moyens de devenir propriétaire dans votre ville ? Wüest Partner apporte des éléments de réponse à cette question dans une étude dévoilée en exclusivité par Capital. La société suisse de conseil et services en immobilier estime que seulement environ 30% des ménages français disposent de revenus suffisants pour acquérir un logement. L’étude précise qu’un foyer doit gagner en moyenne 48 000 euros net par an sur le plan national pour pouvoir acheter un appartement aux conditions actuelles du marché. «Les prix de l’immobilier ont augmenté plus vite que les revenus des ménages ces 20 dernières années», souligne Corinne Dubois, économiste chez Wüest Partner. Conséquence : «Si la part des ménages propriétaires de leur résidence principale n’a cessé de croître de 1980 à 2010, elle s’est stabilisée depuis.»

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Pour déterminer la part des Français qui peuvent se permettre d’acheter un logement dans leur ville de résidence, Wüest Partner a calculé le revenu minimal annuel net nécessaire pour pouvoir contracter un crédit immobilier suffisant pour acquérir un appartement de 80 mètres carrés. L’estimation a été effectuée en partant du principe que le ménage contracte un prêt étalé sur 25 ans (taux à 4,1%), avec un taux d’endettement de 35% et un apport correspondant à 20% du prix du bien. Wüest Partner a ensuite comparé le revenu nécessaire pour acheter un bien dans chaque ville aux revenus médians (la moitié des habitants gagnent plus, l’autre moins) observés dans ces mêmes communes. Enfin, l’étude mentionne également la part des ménages qui sont en capacité d’acquérir un appartement dans chaque commune.

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Sans surprise, l’étude révèle qu’il faut avoir des revenus très confortables pour espérer acheter un bien à Parisprix imm. Un ménage doit en effet gagner 124 000 euros net par an pour s’offrir un appartement de 80 mètres carrés dans la capitale. La part des foyers parisiens dont les revenus sont assez élevés pour acheter un bien est même inférieure à 10%. C’est également le cas dans les villes où les prix de l’immobilier sont élevés, comme Montreuil (Seine-Saint-Denis), Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), Nice ou Antibes (Alpes-Maritimes). A l’inverse, à Saint-Etienne (Loire) et Mulhouse (Haut-Rhin), où les revenus médians annuels des ménages s’élèvent respectivement à 29 700 euros et 27 300 euros, plus de 80% des foyers ont la possibilité d’acquérir un appartement de 80 mètres carrés.

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Des prix abordables sur 70% du territoire

A noter que l’accessibilité financière de la propriété diffère considérablement entre les départements. Sur 70% du territoire français, les prix des appartements restent abordables pour un ménage disposant d’un revenu médian dans leur ville. Mais les zones où les prix de l’immobilier sont les plus élevés sont aussi les plus densément peuplées, ce qui explique que la plupart des ménages français ne sont pas en capacité d’acheter un bien. De plus, la flambée des taux de crédit depuis deux ans a considérablement entamé le pouvoir d’achat immobilier des ménages, ce qui complique encore un peu plus l’accès à la propriété, notamment dans les grandes villes.

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Opinion | Immobilier : investir en 2024, contre-intuitif mais stratégique

L’année 2023 a été particulièrement tumultueuse pour le marché immobilier, avec une baisse significative des transactions tant dans le neuf (moins 50 %) que dans l’ancien (moins 20 %). L’immobilier d’entreprise n’a pas été épargné, avec une baisse de 57 % des investissements. Cette baisse, couplée à une augmentation des taux d’emprunt jusqu’à un maximum de 4,5 %, a créé un climat d’attentisme parmi les potentiels acheteurs.

Cependant, certains signes positifs émergent. La stabilisation des taux d’emprunt autour de 3,7 % sur 20 ans et la reprise de la production de crédit entre décembre 2023 et mars 2024 signalent une certaine amélioration des conditions de financement, qui pourraient encourager les investissements à moyen terme.

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Les Pays de la Loire, troisième région de France par la croissance des ménages d’ici 2050

12 000 ménages en plus seront à loger dans les Pays de la Loire chaque année d’ici 2050 selon une étude de l’INSEE qui doit notamment servir aux acteurs publics à organiser les politiques de l’habitat.

Selon l’INSEE, la région des Pays de la Loire comptera 4,2 millions d’habitants d’ici 2050.

Notre région se classerait ainsi au troisième rang des régions de France métropolitaine (derrière la Corse et l’Occitanie) avec un rythme de croissance supérieure de 0,4 % à la moyenne nationale.

C’est une croissance élevée par rapport aux autres régions, sur le podium à la troisième place. Mais c’est quand même une croissance plus faible que ce qui a été observé les dix dernières années dans la région

Arnaud Fizzala

co-auteur de l’étude de l’INSEE

« La hausse de population vient essentiellement de l’attractivité de la région » analyse Arnaud Fizzala, statisticien à l’INSSEE des Pays de la Loire et co-auteur de cette étude.

« Ce sont des personnes qui arrivent d’autres régions, donc l’Île-de-France, mais aussi des régions frontalières » ajoute-t-il.

Le deuxième effet est celui du vieillissement de la population, notamment les générations du baby-boom nées après la Seconde Guerre Mondiale.

1 192 000 personnes âgées de 65 ans ou plus résideraient dans la région en 2050, soit 28 % de la population.

Troisième effet, l’évolution des modes de cohabitation (colocations, familles avec une ou plusieurs personnes isolées, ménages avec plusieurs familles) ferait également augmenter le nombre de ménages : plus 3 300 ménages par an en moyenne.

La Loire-Atlantique serait le département des Pays de la Loire où le nombre de ménages augmenterait le plus d’ici 2050 (+ 1 % par an), la Sarthe le département où elle augmenterait le moins (+ 0,1 % par an).

La Vendée connaîtrait une hausse du nombre de ménages en raison « du vieillissement plus marqué de sa population » (+ 0,7 % par an).

Sur le littoral vendéen, « quasiment une personne sur deux aurait 65 ans ou plus en 2050« .

La région nantaise serait celle où le nombre de ménages augmenterait le plus : de plus 1,0 % par an par exemple pour Nantes Métropole.

« Autour de Nantes, nous projetons des taux de croissance supérieurs à 1 % » détaille Arnaud Fizzala, statisticien à l’INSEE des Pays de la Loire.

Cette hausse représente le double de la croissance moyenne de la région et le triple de la croissance moyenne nationale

Arnaud Fizzala

co-auteur de l’étude de l’INSEE

Toujours dans l’agglomération nantaise de Nantes Métropole, les ménages composés d’une seule personne représenteraient la moitié des ménages.

C’est l’évolution majeure dévoilée dans cette étude : le couple représentera moins d’un ménage sur deux en 2050.

Que ce soit un couple avec ou sans enfant.

« 47 % des ménages en 2050, contre 55 % en 2018 » détaille l’étude de l’INSEE des Pays de la Loire.

Une baisse constatée de manière homogène dans les cinq départements de la région.

Une exception : la Vendée, département des Pays de la Loire avec la part de couples la plus élevée, resterait le seul département où le couple (avec ou sans enfant) représenterait encore un peu plus d’un ménage sur deux en 2050.

Effet collatéral évident : la part des ménages de personnes seules serait en hausse (de 35 % en 2018 à 43 % en 2050).

En 2050, c’est la Loire-Atlantique qui détiendrait le record des ménages avec personne seule, avec 44 %.

Les familles monoparentales représenteraient 8 % des ménages en 2050.

Comme ailleurs en France, la taille des ménages diminue d’ici 2050 : elle passe à 1,99 personne par ménage (contre 2,20 en 2018).

L’INSEE des Pays de la Loire chiffre à 23 7000 logements par an les besoins en logements supplémentaires nécessaires entre 2024 et 2029.

Les trois quarts des besoins s’expliquent par la hausse du nombre des ménages.

Le reste correspond « aux besoins des personnes mal logées, aux logements vacants, aux résidences secondaires et au remplacement des logements retirés du marché » détaille l’institut statistique.

Une étude qui permet notamment aux acteurs publics d’organiser les politiques de l’habitat.

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La chambre de métiers et de l’artisanat Centre-Val de Loire va supprimer 80 postes : « Le pire des plans » pour les syndicats

Le plan de restructuration de la chambre de métiers et de l’artisanat Centre-Val de Loire prévoit le non-renouvellement de CDD, le non-remplacement de départs à la retraite, vingt-huit reclassements ainsi que la cession de biens immobiliers. La CFDT et la CGT tirent la sonnette d’alarme.

« Ont voté. » Lundi 13 mai, les élus de la chambre de métiers et de l’artisanat (CMA) Centre-Val de Loire, présents lors de son assemblée générale extraordinaire (35 seulement sur 93), ont validé le plan de restructuration établi par sa présidente Aline Mériau et ses vice-présidents.

Il prévoit la disparition d’environ 80 postes et la vente d’une partie des biens immobiliers de l’institution, qui emploie 650 agents. 

Ce plan fait suite à des restrictions budgétaires de la part de l’État, qui ont conduit la CMA à présenter un budget prévisionnel déficitaire de 3,5 millions d’euros, lors de son assemblée générale, le 7 décembre 2023. 

« On doit gérer la CMA comme une entreprise »

« Il faut qu’on optimise nos charges. Aujourd’hui, on doit gérer la chambre de métiers comme une entreprise », affirme Aline Mériau, qui rappelle que son budget s’élève à « 56 millions d’euros ».

Ces derniers mois, les syndicats – CFDT CMA, SNCA-CGT, CGC-CMA – ont tiré la sonnette d’alarme à plusieurs reprises. La CFDT a d’ailleurs lancé un nouvel appel à la grève lundi 13 mai, peu suivi. « Ce projet est le pire des plans de restructuration présentés par une CMA du réseau. Il y a une différence entre réduire la voilure et couler le navire », dénonce l’organisation syndicale.

Non-renouvellement de CDD, reclassements…

Le plan prévoit le non-renouvellement d’une quarantaine de CDD, le non-remplacement de treize salariés partant à la retraite d’ici fin 2024 et le reclassement de vingt-huit agents.

La présidente parle d’un « redéploiement ». « Ces vingt-huit personnes seront accompagnées, notamment vers des formations. Depuis début 2024, nous favorisons la mobilité en interne », précise-t-elle. Mais en cas de refus, elles seront licenciées.

Mais au fait, c’est quoi la Chambre de métiers et de l’artisanat Centre-Val de Loire ?

Les postes visés concernent surtout le service aux entreprises. « Nous avons perdu, par exemple, les compétences qu’on appelle “les formalités”, que le gouvernement a repris via l’Institut national de la propriété industrielle », détaille la présidente.

Concernant les quatre centres de formation d’apprentis (CFA), « nous n’avons touché à rien. Au contraire, nous voulons développer les offres de formations initiale et continue ».

Jérôme Kohn, responsable des relations extérieures, affirme qu' »il n’y aura pas de charge de travail supplémentaire » pour les agents qui continuent d’oeuvrer au sein de la CMA. 

Aline Mériau, présidente de la CMA Centre-Val de Loire, et son responsable des relations extérieures, Jérôme Kohn. Photo Anne-Laure Le Jan

Les syndicats, eux, ne l’entendent pas de cette oreille. « Ceux qui restent devront faire plus avec moins, dans un contexte déjà difficile », expliquent Thomas Rapin, délégué régional CFDT, et Sylvain Challan Belval, de la CGT, présents sur le piquet de grève, à Orléans, lundi matin.

Vente de biens immobiliers

Deuxième volet de ce plan de restructuration, la vente de biens immobiliers. La CMA Centre-Val de Loire a acté la mise en vente de son bâtiment basé à Lucé (Eure-et-Loir), énergivore et trop vaste.

Les organisations syndicales évoquent également la cession des sites de Tours (Indre-et-Loire) et Châteauroux (Indre) en 2025 ; de Bourges (Cher) et Blois (Loir-et-Cher) en 2026 et affirment que le but est de garder, uniquement, les CFA. Aline Mériau ne confirme pas ces ventes, ni le calendrier. Néanmoins, elle explique que l’objectif est d’avoir « une emprise foncière par département ».

D’ici fin 2024, la chambre consulaire se séparera aussi de ses antennes locales où elle est locataire ; dans le Loiret, sont concernées celles de Montargis et Pithiviers. « Pour être plus présente dans les territoires, la CMA effectuera des permanences dans les maisons France services », indique Aline Mériau.

« Retour à l’équilibre en 2025 »

Avec ce plan de restructuration, la chambre de métiers et de l’artisanat régionale vise « un retour à l’équilibre en 2025 », comme l’a demandé la préfecture, avec « un résultat de +2,5 millions d’euros, qui nous permettra de retrouver notre capacité d’autofinancement et d’investir ».

Thomas Rapin indique que la CFDT « va prendre attache avec la préfecture avant qu’elle n’approuve ce plan. Nous travaillerons avec notre fédération pour étudier les suites à donner. »

D’après Sylvain Challan Belval, « la CGT déplore le plan de restructuration retenu. Il est basé sur un budget irréaliste car on attend davantage de résultats avec des effectifs diminués de 10 %. De plus, le budget présenté aux élus du personnel et à la préfecture est soumis à caution car de nombreuses lignes budgétaires ne sont pas explicitées. Nous serons vigilants sur l’application du plan car nous redoutons des pertes de compétences et un surcroît de travail ».

L’Eure-et-Loir perd beaucoup…

Outre la vente du tiers lieu acheté 1,5 million d’euros à Lucé, la Chambre de métiers et de l’artisanat d’Eure-et-Loir a laissé beaucoup de plumes dans cette restructuration, conséquence directe de la régionalisation des chambres consulaires. Ainsi, l’ex-président eurélien, Julien Chéron, a démissionné de ses fonctions en septembre 2023, quelques jours avant la 29e édition des Artisanales. Un salon de renommée nationale que vient de perdre la CMA28 au profit d’une reprise par Chartres Événements et change de nom pour devenir L’artisanat C’Chartres. Par ailleurs, en 2023, onze salariés de la CMA28 avaient démissionné de leur poste. Enfin, selon nos sources, la quatrième tranche du CFA Interpro de Chartres ne serait, probablement, pas achevée.

Anne-Laure Le Jan et Ahmed Taghza

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