Pays de Retz : mère et fille se lancent ensemble dans l’immobilier

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Loreleï Ameline, 33 ans, et Brigitte Padiou, 56 ans, de Chaumes-en-Retz (Loire-Atlantique) ont décidé de se lancer dans un projet commun : l’immobilier. Un projet professionnel mais aussi familial. Et contre toute attente, ce n’est pas la mère qui a entraîné sa fille dans le milieu, mais Loreleï Ameline. 

La passionnée par l’immobilier avait commencé son BTS en alternance après ses études. Après plusieurs années, trois enfants, et l’incapacité de travailler « normalement » à la suite de ses problèmes de santé, Loreleï Ameline décide de reprendre son projet et de se consacrer à l’immobilier.

« Ma maladie ne me permet pas de travailler pour un patron. Mes crises ne préviennent pas. Mes douleurs surviennent spontanément et je suis obligée de m’arrêter quelque temps », confie Loreleï Ameline, qui avait besoin de travailler indépendamment, mais aussi d’avoir quelqu’un qui pouvait assurer lorsque sa pathologie prenait le dessus.

« Être à côté de ma fille et pouvoir l’épauler « 

Sa mère, Brigitte Padiou, lui suggère de la rejoindre et de lancer un projet commun.

« Au début, j’étais un peu perplexe, j’ai émis quelques doutes. Puis, je me suis dit que c’était le moment de me lancer. L’immobilier m’intéressait déjà à l’époque où ma fille a commencé ses études. Et, être à côté de ma fille et pouvoir l’épauler a pesé énormément dans la balance », confie Brigitte Padiou.

Brigitte Padiou a travaillé dans plusieurs corps de métier : la vente, la banque, la restauration, le transport. Elle avait des bases de relationnelle et l’expérience de vie qui lui permettait d’avoir des atouts dans l’immobilier.

Elle suit donc une formation de 2 mois pour apprendre les bases du métier. « La formation en elle-même n’est pas suffisante pour se lancer dans l’immobilier en tant qu’indépendant. Heureusement, ma fille avait fait un BTS qui nous permettait de rejoindre nos connaissances », partage Brigitte Padiou. 

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C’est en mai 2017 que mère et fille concrétisent leur projet grâce à leur collaboration avec un directeur d’agence de Pornic. « Il a cru en notre envie, notre projet. Il nous a pris sous son aile et depuis, il ne nous a jamais laissé tomber. Il est toujours là pour nous, répondre à nos questions, nos besoins. Nous sommes très reconnaissant pour la foi qu’il a eu en nous et pour son amitié », confient Brigitte Padiou et Loreleï Ameline. 

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« Un marché en crise »

Aujourd’hui, mère et fille exercent leur métier sur la commune de Chaumes-en-Retz. Elles travaillent aussi sur les villes voisines telles que Chauvé, Rouans

Sur la conjoncture actuelle et les difficultés énoncées sur le marché de l’immobilier, Loreleï Ameline confie que le marché de l’immobilier est toujours en crise. « Nous avons beaucoup plus de vendeurs que de demandeurs à l’heure actuelle, contrairement à la période post Covid où nous avions beaucoup d’acheteurs en quête de biens. »

Brigitte Padiou ajoute que l’arrière pays a plus de difficulté à trouver des acquéreurs que les villes côtières. 

Loreleï Ameline veut aussi avertir les plus jeunes générations sur le métier d’agent immobilier. « Notre travail n’est pas de simplement vendre une maison et d’encaisser le chèque, il y a énormément de travail à faire en plus. »

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Le lien avec les clients

Les deux agents immobilier insistent sur le côté relationnel de leur travail. Pour elles, le lien qu’elles créent avec leurs clients est très important. Il est tout autant important de leur vendre un bien de qualité, qui leur convient.

« Nous sommes très vigilantes sur les vices cachés et tous les problèmes qu’on peut rencontrer dans la vente et l’acquisition. Nos clients se lancent dans des projets de vie de 25 ans en moyenne. Un projet qui leur tient à cœur, confie Loreleï Ameline. C’est important de pouvoir se regarder dans un miroir en rentrant chez soi. » 

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Immobilier : l’étonnante évolution des prix des maisons de campagne

Besoin de verdure, d’espace, de tranquillité… à la sortie de la crise sanitaire, les résidences secondaires à la campagne sont devenues le produit phare du marché immobilier. Longtemps à la traîne par rapport au reste de l’Hexagone, les zones rurales ont profité à l’époque des nouvelles aspirations des acheteurs pour enregistrer une hausse fulgurante de leur prix (+11 % pour les maisons à la campagne entre le 1er janvier 2021 et le 1er janvier 2022, selon Meilleurs Agents). Mais quatre ans après la fin des confinements, force est de constater que l’engouement pour ce type de bien tend à s’apaiser.

Les incertitudes sur le plan économique, la remontée des taux d’intérêt ainsi que le durcissement des conditions d’accès au crédit ont mis à mal l’euphorie post-Covid. Mais pas seulement… « Les résidences de vacances à la campagne sont un peu moins recherchées qu’il y a quelques mois, car la réalité du quotidien a pris le pas sur le coup de coeur. Aujourd’hui, les biens trop isolés font moins recette. Même en secteur rural, les acquéreurs veulent en effet conserver une proximité avec les services et les transports », analyse Loïc Cantin, président de la Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM).

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L’emploi des cadres tiré vers le haut par l’industrie dans le Cher

Si la vitalité de l’emploi cadre s’est maintenue en 2023 et restera à un haut niveau en 2024, les recrutements prévus cette année seront en baisse dans la région Centre-Val de Loire en raison des aléas économiques et géopolitiques. Dans le Cher, où le nombre de postes à pourvoir ne représente que 9 % des offres de la région, l’industrie tire notamment l’emploi cadre vers le haut.

Comment se porte l’emploi des cadres dans la région ? Selon les données de l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) Centre-Val de Loire, « le marché a été bien orienté en 2023 avec une progression de +3 %, soit 7.410 recrutements de cadres, en lien avec la bonne tenue du secteur de la pharmacie et de l’ingénierie ou recherche et développement (R & D) », note Nicolas François, délégué régional de l’Apec.

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Marouane Ababou est nommé directeur immobilier et développement de Maisons du Monde

Maisons du Monde a nommé Marouane Ababou directeur Immobilier et Développement du Groupe. Fort d’une expérience de quatre ans comme directeur Développement Immobilier chez Celio, où il s’est occupé de la restructuration, du développement du parc de magasins et de l’amélioration des performances du groupe, Marouane Ababou apporte à Maisons du Monde son expertise en développement de réseaux en propre, en affiliation et franchise. « Marouane Ababou va nous permettre d’assurer l’ambition du groupe, avec la mise en place opérationnelle du plan Inspire Everyday, sur le réseau de magasins en France et en Europe, pour atteindre 400 magasins à l’horizon 2026 », indique François-Melchior de Polignac, directeur général de Maisons du Monde.

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Gérard Depardieu, la chute de son empire immobilier

En vente depuis 2012, l’hôtel de Chambon situé rue du Cherche-Midi dans le VIe arrondissement de Paris, ne semble pas trouver preneur… Gérard Depardieu cherche à se séparer depuis douze ans de cet hôtel particulier estimé à 50 millions d’euros par les pages immobilières du Figaro. Toujours selon le journal, la demeure achetée par l’acteur en 1994 s’étendrait sur 1800 mètres carrés habitables, affichant la structure d’un loft avec verrière — visible depuis la rue. Classé monument historique, l’hôtel particulier appartenait au baron Chambon jusqu’en 1833, qui lui laisse son nom. L’architecture de style Empire serait doublée de trois niveaux, plusieurs chambres et d’une terrasse arborée jouxtant le couvent des Petites Soeurs de la Visitation. À date, le 95, rue du Cherche-Midi de Gérard Depardieu n’a toujours pas trouvé acquéreur bien qu’il ait été remis plusieurs fois en vente. En 2012, un agent immobilier de chez Barnes revenait sur la singularité d’un tel bien en plein cœur de Paris : « C’est un joyau, c’est rare de rencontrer des hôtels particulier de ce volume là — on parle de 1800 mètres carrés. C’est un avantage mais ça peut aussi être un inconvénient, car tout le monde ne demande pas autant de volumes. »


Le Centaure de Csar photographi en 1999 est un hommage à Pablo Picasso

Le Centaure de César, photographié en 1999, est un hommage à Pablo Picasso. La statue marque le début de la rue du Cherche-midi dans le VIe arrondissement de Paris.© Xavier ROSSI/Getty Images

L’ancien royaume de Gérard Depardieu rue du Cherche-midi

La poissonnerie Moby Dick au coin de la rue Dupin et de la rue du Cherche-midi, une épicerie japonaise ouverte en tandem avec la maison Issé… Dans les années 2010, Gérard Depardieu investit la rue où il habite au gré de commerces plus différents les uns que les autres. Son restaurant d’inspiration bistrot, Le Bien Décidé, voisin de l’institution Joséphine Chez Dumonet, est alors baptisé en hommage au père de l’acteur et affiche une carte courte faite de produits du terroir et, surtout, de ses bouteilles de vin… Gérard Depardieu s’est séparé de ces enseignes depuis.

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VoltR monte en puissance dans le reconditionnement de batteries

Un an après la mise en service à Angers de son site pilote de reconditionnement de batteries au lithium, VoltR voit déjà plus grand. La start-up angevine projette en effet la création d’une nouvelle usine à horizon 2026. Un site automatisé de 5.000 mètres carrés en capacité de reconditionner chaque année 2 millions de cellules de batteries avec une centaine de salariés, qui pourrait s’installer dans la région Pays de la Loire. « Ce projet nécessite un foncier de 4 à 5 hectares, et nous sommes très courtisés par d’autres régions, ainsi que par des investisseurs », appuie Alban Régnier, fondateur de VoltR.

Avec ses associés, l’entrepreneur travaille en effet à une levée de fonds en série A pour la fin de l’année afin de financer cette future usine. Un tour de table de « plusieurs dizaines de millions d’euros », selon l’entrepreneur angevin, qui suit les 4 millions d’euros réunis fin 2023 auprès des fonds français C4 Ventures et Exergon , ainsi qu’en emprunts bancaires et fonds publics. Un financement pour accompagner le développement de son démonstrateur industriel d’Angers, aujourd’hui en mesure de remettre à neuf quotidiennement 1.000 cellules de batteries avec 15 personnes.

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1er Mai : Y aura-t-il toujours du muguet en 2050 ?… « Certains producteurs jettent l’éponge

Espérons que ces jolies clochettes, symboles de bonheur et de chance, en apportent aussi un peu à la filière. Alors que des dizaines de millions de brins de muguet seront échangés partout en France ces prochains jours et surtout mercredi, le 1er mai, pourra-t-on toujours s’offrir cette petite fleur blanche au parfum si doux en 2050 ?

La question se pose quand on sait que cette année encore, la dizaine de producteurs nantais (à qui l’on doit 90 % des fleurs et pots vendus dans tout le pays) ont réalisé un tour de force, entre les aléas climatiques et la pénurie de main-d’œuvre qui s’aggrave. « C’est une culture de plus en plus exigeante, douze mois de travail pour être prêts à la bonne date, indique Thomas Loirat, conseiller technique en production au sein du comité départemental de développement maraîcher (CDDM). C’est parfois compliqué, mais le muguet de 2024 est très beau en termes de qualité, avec des brins bien longs et des clochettes en nombre. »

« Les pauvres plantes » perdues avec la météo

Si vous trouverez donc bien un petit bouquet à acheter chez votre fleuriste, la météo capricieuse et imprévisible a pourtant donné du fil à retordre aux producteurs. « Entre les tempêtes du mois d’avril, les 30°C puis les gelées le matin, les pauvres plantes ont du mal à s’y retrouver », observe Eric Harrouet, le patron de Lilyval, située à Saint-Julien-de-Concelles (Loire-Atlantique). Cette année, la cueillette a commencé chez lui dès le 13 avril, quatre jours plus tôt que prévu. Les conditions étaient heureusement favorables à la conservation de la fleur, c’est-à-dire pas trop chaudes et avec un peu de vent.

Sauf qu’à l’heure du réchauffement climatique, pas dit que l’on arrive à sauver les meubles à chaque fois. « On a l’outil et l’expérience bien sûr, mais il suffit d’un coup d’orage pour tout perdre », déplore Eric Harrouet, qui craint aussi que le muguet ne soit toujours plus précoce d’année en année. Si des tunnels en plastique, puis des chambres froides, permettent actuellement aux producteurs de ralentir ou accélérer la floraison pour quelques jours, difficile d’imaginer des brins y reposer pendant plusieurs semaines en attendant le 1er mai… A tel point que certains chuchotent carrément l’idée de « décaler » la fête du travail, ou de pouvoir démarrer la vente dès la mi-avril.

Pas de bras, pas de muguet

Sans ça, la filière, implantée dans le bassin nantais notamment pour son sol sableux et son climat adéquat, pourrait en payer les pots cassés. Les producteurs de cette culture historique se comptaient auparavant par dizaines, mais leur nombre s’est déjà considérablement flétri. « Beaucoup jettent l’éponge car financièrement, c’est de plus en plus compliqué, observe Eric Harrouet. C’est une culture très très dangereuse et qui coûte cher, où l’on investit parfois 1 million d’euros d’avance pour attendre la récolte fin avril. » La fédération des maraîchers nantais se veut rassurante, assurant que la production de brins est stable, avec des griffes (les racines) rachetées au fur et à mesure par ceux qui restent. Chez Lilyval en tout cas, le fils voudrait reprendre l’affaire mais « mentalement, il sait déjà que ça va être énormément de stress ».

Car si ces prochaines années, la météo épargne le muguet, y aura-t-il encore assez de bras pour le ramasser ? Là encore, la question agite le secteur depuis plusieurs années sans trouver de réponse pérenne. A chaque printemps, des milliers d’offres d’emploi saisonnier peinent à trouver preneurs alors que des intérimaires étrangers viennent fréquemment gonfler les rangs des cueilleurs, souvent à la toute dernière minute. « Il faut renouer avec les plus jeunes, les faire revenir dans le monde agricole, estime Thomas Loirat. C’est important car cette culture traditionnelle est l’une des rares à être encore presque intégralement manuelle. »

Pendant le Covid-19, les pertes avaient été considérables en raison du confinement et des commerces fermés. Et cette année, faute de main-d’œuvre, des milliers de brins trop fleuris et donc non commercialisables ont encore été laissés dans les champs. Selon la fédération des maraîchers nantais, le chiffre d’affaires annuel dégagé par la production du muguet varie entre 20 et 30 millions d’euros.

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Un bureau au milieu de la forêt : visite chez Cyril Aouizerate, entrepreneur de l’hôtellerie responsable

L’entrepreneur et hôtelier Cyril Aouizerate, dans son bureau. Quentin Périnel

UNE HEURE DANS LE BUREAU – Chaque lundi, un dirigeant ouvre sa porte au Figaro. C’est au tour d’un entrepreneur qui pense l’hôtellerie autrement.

Saint-Rémy-l’Honoré, dans les Yvelines, au bout d’une petite rue de campagne. Une heure – à peine, sans les embouteillages – de Paris, à une extrémité de la forêt de Rambouillet. Ressenti : un monde. La paix est royale. Il est à peine 9 heures et Cyril Aouizerate est déjà levé depuis longtemps. Réveil quotidien aux alentours de 6 heures, le moment – en cette saison – des premières lueurs de l’aube.

Il y a six ans, l’entrepreneur, hôtelier, fondateur de l’enseigne MOB Hotel, achète cette maison, une « bulle d’air », pour échapper au tumulte incessant de la capitale. Un terrain spacieux. Un bout de forêt. Un verger. Et une dépendance totalement indépendante d’une cinquantaine de mètres carrés, qu’il a transformée en bureau.

À l’intérieur, on a l’impression d’être isolé au milieu des bois. Au sol, une tomette claire. Des murs blancs, tapissés de livres, et une jolie hauteur sous plafond. L’endroit est assurément – selon l’adjectif à la mode – inspirant. Cyril Aouizerate s’installe sur un…

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Immobilier Bientôt quelques mètres carrés de pouvoir d’achat de plus

Le nouveau souffle apporté par la baisse des taux de crédit, bien que progressive et lente, couplée à une baisse des prix, devrait offrir davantage de capacité d’emprunt aux Français dans les mois à venir.

Entre une multiplication quasiment par quatre des taux d’intérêt en quatre ans et des prix qui ont entamé leur baisse en septembre 2022, le marché de l’immobilier est encore à la recherche d’un nouvel équilibre.

Et si l’horizon s’éclaircissait du côté des taux de crédit ? SeLoger, portail d’annonces immobilières, dévoile le pouvoir d’achat immobilier au sein des 51 plus grandes villes françaises et projette la capacité d’achat de ces mêmes ménages d’ici la fin de l’année si les taux d’intérêt venaient à baisser.

Une pièce en moins en quatre ans

Entre le 1er avril 2020 et le 1er avril 2024, les taux d’intérêt sont passés de 1,40 % à 4,10 %. Les acquéreurs dans les 51 plus grandes villes de France ont ainsi perdu en moyenne 1 pièce, soit 10 m² de pouvoir d’achat immobilier en moins (tous types de biens confondus) sur cette période, passant de 60 à 50 m² pour un ménage de deux personnes avec des revenus moyens.

Des écarts importants selon les villes

Les réalités sont différentes selon les villes : concrètement, cette perte de pouvoir d’achat peut aller de – 2 m² à Lyon pour atteindre – 32 m² à Quimper.

« Ces écarts importants d’une ville à l’autre s’expliquent surtout par l’évolution des prix immobiliers dans ces communes, souligne SeLoger. En effet, les plus grosses pertes de pouvoir d’achat en moyenne sur cette période sont observées dans les villes où les prix de l’immobilier ont fortement augmenté. Ainsi, les villes de Quimper, Saint-Étienne et Béziers, où les prix de l’immobilier ont respectivement augmenté de + 30,80 %, + 22,30 % et + 38,70 %, enregistrent les plus fortes pertes de pouvoir d’achat dans ce classement sur les quatre dernières années. » Pour ces trois villes, la perte s’élève à plus de 28 m², soit une surface supérieure à celle d’un studio.

Un gain de pouvoir d’achat à Paris !

Paris, où les prix de l’immobilier ont drastiquement baissé de – 12,40 % en moyenne sur quatre ans, est la seule ville parmi les 51 plus grandes de France à connaître un gain de pouvoir d’achat immobilier. En quatre ans et au regard des revenus des habitants, un ménage de deux personnes peut prétendre acheter 28 m² en avril 2024, contre 26 m² en avril 2020 (+ 2 m²).

« Le cycle baissier des prix dans la capitale a débuté à la suite de la crise sanitaire, ce qui a permis aux résidents parisiens de quasiment compenser la récente hausse des taux d’intérêt », explique Imane Selmane, économiste chez SeLoger.

Et si les taux de crédit tombaient à 3,50 % cet été ?

Après un an et demi de hausse continue, les taux d’intérêt se stabilisent et commencent même à baisser. Le pic de 4,30 % atteint en décembre 2023 laisse place à un taux de 4,10 % en avril 2024. De quoi donner de l’espoir aux futurs acquéreurs pour les mois à venir, d’autant que la Banque centrale européenne (BCE) a évoqué une potentielle future baisse de ses taux directeurs (lesquels conditionnent les taux des crédits immobiliers).

Et si les taux tombaient à 3,50 % au 1er juillet, les Français pourraient gagner en quelques mois entre + 1 m² et + 4 m² de pouvoir d’achat, en moyenne. Avec une baisse de 0,5 point de pourcentage sur les taux, les Français retrouveraient en effet une capacité d’emprunt autour de + 5 %, augmentant leur pouvoir d’achat. Saint-Étienne gagnerait + 4 m², Nancy et Dijon + 3 m² et Paris + 1 m².

Et s’ils se rapprochaient des 3 % à la fin de l’année ?

Si les taux d’intérêt avoisinaient les 3 % en décembre 2024, les futurs acheteurs pourraient alors récupérer jusqu’à + 9 m² par rapport à avril 2024.

En tête des villes qui ont le plus à gagner : Saint-Étienne et Bourges avec + 9 m², ainsi que Limoges et Mulhouse avec + 8 m². « Ces communes sont très sensibles aux tendances de crédit du fait de prix immobiliers relativement faibles par rapport aux autres métropoles françaises, observe SeLoger. En somme, avec des prix inchangés, mais des taux d’intérêt qui baissent d’un point de pourcentage, certaines villes pourraient récupérer la pièce symboliquement perdue en moyenne dans les 51 plus grandes villes en quatre ans.

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Premier achat immobilier dans la Loire : vous pouvez trouver une maison avec travaux pour 110.000

Le marché immobilier de la Loire offre de réelles possibilités pour les primo-accédants. Pour trouver un bien dans leur budget, ils peuvent jouer sur la surface ou financer des travaux pour déclencher des aides bienvenues.

Les professionnels de l’immobilier du département sont unanimes : depuis quelques mois, des signes positifs commencent à apparaître, notamment pour les primo-accédants, qui pourraient enfin retrouver un peu de pouvoir d’achat. Les taux d’intérêt se sont stabilisés et commencent même à baisser un peu et les banques assouplissent légèrement leurs conditions de prêt. Tout cela redonne de l’air à des budgets asphyxiés au cours de la période précédente, d’autant que les prix de vente ont également amorcé un mouvement à la baisse, timide mais réel.

Des décotes sur certains biens

Selon le baromètre de la Fnaim, ils sont en replis de 1,7 % sur un an (chiffres janvier 2024) dans le département et de 2,3 % à Saint-Étienne. Cela reste modeste, mais ce chiffre cache, en fait, des décotes plus sensibles sur certains types de biens. Sont concernés en priorité les logements qui nécessitent des travaux, qui sont mal classés en DPE, qui ne disposent pas d’une place de stationnement ou d’un extérieur, ou qui se trouvent à plus de quinze minutes des centres urbains.

A Roanne

Dans le secteur de Roanne, il est difficile de trouver une maison habitable en l’état à moins de 200.000 €. Les primo-accédants qui ne disposent pas de ce budget ou de l’apport nécessaire pour le financer, pourront essayer de viser des surfaces plus petites.

Certaines maisons de 80 m2 ou moins, tombent sous la barre des 150.000 €. Elles sont, en général, situées à la sortie de la ville et demandent un peu de rafraîchissements.

Un bien à restaurer

L’autre option est de miser sur un bien à restaurer ou demandant d’importants travaux. Les nouvelles possibilités de financement, via le PTZ 2024 et les nouvelles dispositions de MaPrimeRénov’permettent de financer d’importants travaux sans alourdir le budget global. Par exemple, une maison de ville à restaurer entièrement, proche de la gare, était récemment proposée à la vente à 110.000 €. Avec les travaux et les aides qu’ils génèrent, le budget moyen peut rester sous la barre des 150.000 €, alors que le même bien, sans travaux, se serait vendu juste en-dessous des 200.000 €, hors de portée donc de bien des primo-accédants.

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Saint-Étienne, la ville la moins chère de France

La situation est assez semblable sur les marchés de Feurs et de Montbrison, qui se situent sensiblement au même niveau que celui de Roanne. Reste le cas particulier de Saint-Étienne. La préfecture de la Loire demeure la ville la moins chère de France et donc la plus accessible pour les primo-accédants.

Selon le baromètre de la Fnaim, le prix au mètre carré moyen y est de 1.400 €, près de 300 € de moins que la moyenne départementale (1.676 €/m2). 

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L’avis de l’expert : Corine Chapelon, Le Toit Forézien

Le Toit Forézien propose de l’achat via le Prêt social location-accession (PSLA). Quel est son principe ?
Il s’agit d’une accession sociale à la propriété, uniquement dans le neuf. Pour y être éligible, il ne faut pas dépasser un certain plafond de ressources et s’engager à faire de son acquisition sa résidence principale. Les plafonds viennent d’ailleurs d’être relevés et beaucoup plus de personnes devraient y être éligibles. Avec le PSLA, la TVA est de 5,5 % au lieu de 20 % et il y a une exonération de taxe foncière pendant 15 ans.

Concrètement, comment cela se passe-t-il ?
L’acquéreur signe d’abord un contrat de location-accession. Il est locataire accédant pendant une période qui va de 6 mois à un an. Il paye une redevance qui est équivalente à un loyer et une part acquisitive, qui viendra ensuite en déduction du prix de vente. Durant cette année avant la vente définitive, on travaille son financement avec lui. S’il est éligible au PSLA, il l’est aussi au PTZ et parfois au prêt accession logement. La redevance est comme une préparation au remboursement qui viendra ensuite. Notre rôle est vraiment d’accompagner les personnes à devenir propriétaires. Et, précisons qu’il s’agit d’une vente sécurisée. En cas de revente forcée, due à des difficultés diverses, le bailleur s’engage à racheter le logement et nous sommes tenus de reloger les personnes.

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