Angers, Le Mans ou Nantes ? Dans quelle ville des Pays de la Loire vaut-il mieux étudier

L’UNEF vient de publier son classement des villes étudiantes les plus chères de France. Sur 47 métropoles prises en compte, Le Mans se place en avant-dernière position. Nantes est à la 20ᵉ place, Angers à la 31ᵉ avec une très forte demande en logement étudiant liée à une grande attractivité.

Les 11 000 étudiants manceaux vivent dans l’une des villes universitaires les moins chères de France : coût moyen 1031 € par mois.

C’est le bilan que dresse l’Union nationale des étudiants de France (Unef) en cette rentrée 2023. L’organisation a chiffré le budget moyen d’un étudiant vivant hors du domicile familial. 

En comparaison, le coût de la vie étudiante à Paris, est de 1557 €. Les 10 autres villes étudiantes les plus chères sont toutes situées en Île-de-France et y vivre coûte entre 1 412 et 1 277 € par mois. 

À l’autre bout du classement, Limoges où les dépenses mensuelles moyennes s’élèvent à 1027 €. 

À lire aussi : VIDÉO. Alerte sur le coût de la rentrée étudiante à Nantes

Dans les Pays de la Loire, les villes de Nantes et d’Angers se placent respectivement à la 20ᵉ et à la 31ᵉ place. À Nantes, le loyer moyen est de 491 €.

Si vivre au Mans est bon marché quand on est étudiant, c’est d’abord parce que les logements y sont peu chers et la demande faible : le loyer moyen est de 371 €, c’est le plus faible toutes villes étudiantes confondues. De plus, un logement étudiant reçoit moins d’une demande de location en moyenne. 

À l’inverse, à Angers, où vivent près de 40 000 étudiants, la tension locative pour les étudiants est forte. Pour un seul logement, en 2022, les agences immobilières recevaient en moyenne 4,49 demandes d’étudiants. Le loyer moyen s’élève à 431 € en moyenne.

À lire aussi : À Angers, les étudiants en quête de bons plans face à la crise du logement

La ville est aussi moins bien dotée en logements Crous. Elle en compte 2 500 pour 45 000 étudiants, soit un taux de capacité d’accueil de 5 % quand la moyenne nationale est de 6,5 %. À l’inverse, au Mans, ce taux est de près de 9 % avec 900 logements disponibles. 

Une tension locative à mettre en lien avec une autre étude : celle du classement des meilleures villes étudiantes réalisé par l’Étudiant. À la rentrée 2022-2023, le site internet a comparé les offres de formation, de vie étudiante, d’emploi ainsi que l’attractivité et le cadre de vie dans 45 villes françaises de plus de 8.000 étudiants. 

Le Mans arrive ainsi à la 32ᵉ place quand Angers n’est qu’à une place du Top 10. 

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Taxe foncière 2023 : avis, date de paiement… Voici toutes les échéances à connaître

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Combien coûte la location à Lille depuis la mise en place de l'encadrement des loyers en mars 2020 ?
Si vous êtes propriétaire d’un appartement, d’une maison, d’un local commercial ou d’une place de parking, vous devez vous acquitter chaque année de la taxe foncière. (©JB / Archives / Lille actu)

Avis aux propriétaires immobiliers : cette année, la fin de l’été ne rime pas qu’avec la fin des vacances. C’est aussi la période au cours de laquelle un impôt fait son retour dans votre vie quotidienne, à savoir la taxe foncière.

Certains contribuables ont d’ailleurs déjà commencé à recevoir leurs avis d’imposition par voie postale. Et conformément au calendrier du fisc pour la taxe foncière, celle-ci va encore faire parler d’elle pendant plusieurs mois, jusqu’à la date limite de paiement concrètement.

« L’avis d’impôt de la taxe foncière est généralement disponible (papier et/ou en ligne) trois semaines avant la date limite de paiement fixée entre le 15 octobre et le 17 octobre. Si vous avez opté pour l’avis en ligne, un mail vous est adressé pour vous informer de sa mise à disposition », résume ainsi le site des impôts

Voici en détail toutes les échéances à retenir.

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Depuis le 23 août 2023

Vous avez choisi de ne pas être mensualisé ? Surveillez votre boîte aux lettres : depuis le 23 août 2023, le fisc procède à l’envoi des avis d’imposition papier pour la taxe foncière.

Pas d’inquiétude si vous n’avez encore rien reçu : cette période d’envoi par voie postale dure jusqu’au 26 septembre 2023.

C’est quoi la taxe foncière ?

La taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) concerne chaque année des millions de propriétaires d’un bien immobilier en France.

Ce peut être un immeuble, un appartement, une maison, une place de parking… Sont exclus en revanche les caravanes et les mobil-homes « sauf s’ils sont fixés par des attaches de maçonnerie », complète le site du ministère de l’Économie.

La taxe foncière est payée pour l’année dans la commune où est situé le bien imposable, d’après la situation au 1er janvier de l’année d’imposition. Elle est calculée à partir des valeurs locatives cadastrales, fixées par l’État — mais le taux définitif est voté par la commune et les intercommunalités.

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30 août 2023

Le mercredi 30 août 2023 marque une nouvelle étape dans le calendrier des impôts. En effet, c’est à partir de cette date que les avis de taxe foncière sont mis en ligne sur le site des impôts pour les contribuables non mensualisés.

Vidéos : en ce moment sur Actu

Pour consulter votre avis, rendez-vous sur le site impots.gouv.fr et connectez-vous à votre espace particulier à l’aide de votre numéro fiscal et de votre mot de passe. Vous pouvez également recourir au système FranceConnect en utilisant une autre identité numérique (via les sites de l’Assurance maladie ou de la Poste par exemple).

Pour rappel, l’onglet vous permettant d’accéder à votre espace particulier se situe en haut à droite de la page d’accueil du site, en bleu pour les particuliers, en rouge pour les professionnels.

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18 septembre 2023

Après les contribuables non mensualisés, place maintenant à celles et ceux ayant choisi au contraire d’être mensualisé. À compter du 18 septembre, l’avis de taxe foncière leur sera adressé par voie postale.

La période d’envoi court jusqu’au 6 octobre 2023.

22 septembre 2023

Quatre jours après les non-mensualisés, c’est au tour des personnes soumises à la taxe foncière, mais étant mensualisés, de pouvoir accéder à leur avis d’imposition en ligne, toujours sur le site des impôts.

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26 septembre 2023

Comme évoqué plus haut dans l’article, cette date correspond à la limite d’envoi des avis de taxe foncière par voie postale pour les personnes n’ayant pas opté pour la mensualisation.

6 octobre 2023

Il s’agit d’une nouvelle échéance, à savoir la fin de l’envoi des avis de taxe foncière dans la boîte aux lettres des contribuables mensualisés.

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Entre le 15 et le 17 octobre 2023

Ce sont les deux dernières à retenir concernant la taxe foncière, et pas des moindres : ce sont celles de la limite de paiement de cet impôt.

Un conseil : même si vous disposez de trois semaines généralement pour vous acquitter de la taxe foncière, ne tardez pas à la payer. Sans quoi ça risque de vous coûter cher.

Ainsi, selon l’article 1730 du Code général des impôts, tout retard de paiement, paiement partiel ou non-paiement, vous expose à une majoration de 10 % de la somme due au fisc.

« La pénalité s’applique si vous n’avez pas payé votre impôt dans les 45 jours suivant la date de mise en recouvrement » pour les paiements dématérialisés, précise le site de l’administration publique.

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Une taxe foncière plus chère en 2023

Ce calendrier fiscal s’accompagne toutefois d’une mauvaise nouvelle, dans le sens où la facture s’annonce plus salée pour 2023.

Après une première hausse en 2022, le montant de la taxe foncière doit en effet à nouveau augmenter cette année, à plus de 7%, comme l’a indiqué à actu.fr Frédéric Zumbiehl, juriste à l’Union nationale de la propriété immobilière (UNPI).

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Immobilier Pays de Savoie : pourquoi l’immobilier de luxe est imperturbable

Au sommet, tout va bien. Tandis que les professionnels de l’immobilier craignent une crise du logement sans précédent en France, le marché de prestige prouve sa résilience à toute épreuve, notamment en Savoie et en Haute-Savoie. À chaque soubresaut économique, les craintes des vendeurs sont aussitôt balayées. Le Brexit, le Covid ou la remontée des taux de crédit n’ont pas eu d’impact. Au contraire, plus une crise s’enlise, plus l’immobilier de luxe se renforce.

« En période d’incertitude, les plus fortunés cherchent à sécuriser leurs fonds. L’immobilier de prestige, en particulier celui des Savoie, s’affiche à leurs yeux comme une très bonne valeur refuge, explique David Prétot, président de Barnes Mont-Blanc, réseau d’agences immobilières spécialisées dans le luxe. Entre l’inflation ou des placements financiers aux performances plus aléatoires, l’immobilier haut de gamme est un excellent produit anti-crise. »

Une réputation internationale

Lorsqu’ils parlent de leur année 2022, l’ensemble des professionnels de l’immobilier de luxe rivalisent de superlatifs. La multinationale Sotheby’s, qui a réalisé 1,6 milliard d’euros de ventes en France, s’est même félicitée d’une « année record historique inattendue. » Même constat pour la branche française de Coldwell Banker, spécialisée dans les propriétés de luxe, qui parle d’un segment immobilier « imperturbable. »

Localement, le discours ne varie pas. Le président de Barnes Mont-Blanc revendique des résultats meilleurs au 1er trimestre 2023 qu’à la même période en 2022 : « La demande ne faiblit pas. Les acquéreurs qui n’avaient pas été servis l’an dernier le sont maintenant. »

De son côté, Franklin Vallat, dirigeant du groupe immobilier Vallat en Pays de Savoie, évoque « un marché de niche, dont les produits trouvent systématiquement preneurs. Soit parce qu’il s’agit de biens très rares à la vente, soit parce qu’ils sont exceptionnels en matière de prestations. »

Il pense aux très belles propriétés « pieds dans l’eau » des rives du lac d’Annecy, d’Aix-les-Bains, du lac Léman ou des chalets d’exception de Megève, Courchevel, Méribel, Chamonix… Des biens situés dans les plus belles stations du territoire, dont la réputation dépasse les frontières françaises.

Lacs et montagnes, deux marchés distincts

Le territoire des Savoie fait jeu égal avec le marché de luxe de Paris ou de la Côte d’Azur. « Il s’agit des principaux marchés français capables d’attirer une clientèle internationale. En Pays de Savoie, nous voyons principalement des Belges, des Britanniques et des Suisses. Nous avons aussi quelques Américains et des acquéreurs venus du Moyen-Orient, décrit Franklin Vallat. Mais il faut distinguer le marché des bords de lac du marché de montagne. »

Ces deux segments possèdent en effet des caractéristiques qui leur sont propres. « L’immobilier de luxe des bords de lac attire majoritairement des acquéreurs français en quête d’une résidence principale. En altitude, la clientèle est beaucoup plus internationale et cherche surtout une résidence secondaire », analyse David Prétot.

À Annecy, Aix-les-Bains ou Évian-les-Bains, les professionnels de l’immobilier sont surtout sollicités par une clientèle de chefs d’entreprise locaux, parisiens et lyonnais. « Il s’agit d’acquéreurs qui ont très bien réussi professionnellement. Mais il arrive rarement qu’ils soient dans le top 100 des plus grosses fortunes mondiales… Contrairement aux marchés d’altitude où l’un des clients les plus célèbres de Courchevel est à la première place de ce classement ! », ironise Franklin Vallat qui évoque, sans le nommer, un certain Bernard Arnault, PDG du groupe de luxe français LVMH.

Des prix astronomiques

Les prix sont sans commune mesure entre plaine et montagne. « En altitude, il n’est pas rare de voir des chalets vendus à 10, 20, voire 30 millions d’euros. Au bord des lacs, les ventes au-delà des 10 millions sont exceptionnelles », remarque Franklin Vallat, selon lequel « on peut parler d’immobilier de luxe en Pays de Savoie à partir de 2,5 millions d’euros. »

Mais ce seuil peut vite être atteint. Avec des prix qui continuent de progresser, certains appartements peuvent être de véritables pépites. « Un 4 pièces dans le quartier d’Albigny à Annecy fait désormais partie de l’immobilier de prestige sitôt qu’il possède une vue sur le lac, expose-t-il. Le long de l’avenue d’Albigny, dans les immeubles Le Panoramique, Les Marmottes et Le Président, un même bien situé en dernier étage peut valoir deux fois plus cher qu’en étage intermédiaire. Les 15 000 € le m², c’est une réalité. »

Un dénominateur est néanmoins commun entre les deux marchés : les biens mis en vente sont rares. « Les propriétaires ne vendent qu’en cas de force majeure, divorce, décès ou mutation, lorsqu’ils habitaient le bien à l’année », observe Franklin Vallat.

Quant aux conditions de financement, que l’on soit fortuné ou pas, les taux d’emprunt ont augmenté pour tout le monde. Mais là encore, ce n’est pas vraiment un sujet pour les acquéreurs sur le marché de prestige.

« D’une part, ils possèdent des capacités financières telles, que les aléas économiques ont peu d’impact sur leurs projets. D’autre part, les acquéreurs étrangers considèrent le marché du crédit français encore très attractif par rapport au reste du monde, car les taux sont fixes et plus intéressants qu’aux États-Unis par exemple », explique Bruno Revenu, gérant des agences de courtage Meilleurtaux en Savoie. « Quand l’argent ne coûte pas cher, cette clientèle n’hésite pas à emprunter. Quand c’est l’inverse, elle place ses liquidités », ajoute David Prétot.

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« Et ils appellent ça le Cher » : les prix attractifs de l’immobilier surprennent les internautes

Même si le marché de l’immobilier ne se porte pas bien en ce moment dans l’Indre et dans le Cher, avec une chute des ventes de l’ordre de 25 à 30% sur les trois derniers mois , les prix restent globalement très attractifs. Acheter une maison dans le Berry ne nécessite pas forcément de dépenser des fortunes. Et cela semble toujours autant surprendre certains internautes, probablement davantage habitués aux prix pratiqués en région parisienne ou dans les grandes métropoles.

Logo France Bleu

Sur le réseau social X (anciennement Twitter), un compte relaie une photo d’annonces immobilières dans le département du Cher, avec des maisons de 80 m² vendues à moins de 50.000 euros. « Et ils ont appelé ça le Cher », ironise l’auteur du tweet (qui a été vu plus de deux millions de fois), en référence au département.

Dans les réactions, certains s’amusent, « tu vends un 15 m² à Paris, tu achètes le village et deviens maire », plaisante « Zuka ». « 15.000 euros, le prix d’une Megane d’occaz bordel », ajoute un autre internaute. Mais d’autres commentaires mettent en avant la pertinence de venir s’installer dans le Berry. « Avec la généralisation du télétravail, pourquoi se priver ? Une jolie maison ancienne, pleine de charme, dans un village bien entretenu, une connexion à internet, changement radical de vie et beaucoup de bonheur à la clef », écrit Matou.

On souhaite en tout cas la bienvenue dans le Cher et dans l’Indre à ceux qui s’installeront dans le Berry après avoir vu ce tweet ou cet article.

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En pleine canicule, les passoires thermiques surchauffent dans le Cher

Solide mirage. Sur les étendues bétonnées de la résidence Hippolyte-Boyer, à Bourges, réside un unique point de fraîcheur : une fresque bleue, d’eau et de poisson. Effet placebo. Loin des embruns océans, la résidence croule sous les rayons du soleil. La quasi-totalité des volets apparents sont fermés. « L’été, ça retient toute la chaleur, c’est intenable, et l’hiver, on a l’impression d’être dehors. » En une phrase, Pascal, locataire, vient de résumer ce que le jargon immobilier qualifie de « passoires thermiques ».

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Pourquoi la Bretagne est la région la moins chère pour faire ses courses et le plein de carburant

Voilà une bonne nouvelle pour les consommateurs à l’heure de la rentrée et de l’inflation. La Bretagne est la région la moins chère de France pour faire ses courses. C’est ce que viennent de montrer deux études publiées en août.

La première a été menée par BFMTV : pour un chariot de courses composé de 50 produits parmi les plus achetés par les consommateurs français, on paie, en Bretagne, 179 €. Le prix le plus bas. Car, en régions Auvergne-Rhône-Alpes ou Normandie, pour les mêmes produits, il faut débourser 183 € ; dans le Grand-Est, 181 € ; en Île-de-France, 185 € et dans la région Paca, 187 €.

  • 2 Les Côtes-d’Armor, département le moins cher

  • La seconde étude, celle d’Olivier Dauvers, vient confirmer ce constat, mais de manière plus fine. « Les quatre départements de la région sont tous dans le quintile des magasins les plus compétitifs de France », écrit le journaliste spécialiste de la conso. Et mieux encore : « Les Côtes-d’Armor sont le temple des économies ». En imaginant un panier moyen français de 100 €, on paierait ses courses 95,90 € dans ce département. Imbattable.

    Ici, les « prix sont 4 % inférieurs à la moyenne française ! », s’enthousiasme l’auteur, qui s’est basé sur les chiffres du drive des hypers, des supers et des supérettes. Peu ? Si on compare, cette fois, les prix des Côtes-d’Armor avec ceux du département le plus cher de France – à savoir Paris – la différence s’élève à… 22 %. De sacrées économies.

    À noter que, dans le Finistère, on paierait 97,80 €, ce qui permet à ce territoire d’apparaître à la huitième place du top 10 des départements les moins chers de France.

    (Le Télégramme)

    Quelques euros de différence : un coup de chance pour la pointe bretonne ? Non, ce constat est durable. Sur les neuf relevés de prix menés par BFMTV sur son panier, entre mai et août 2023, la région Bretagne se positionne cinq fois à la première ou deuxième place des territoires les moins chers sur le prix des courses (alimentaires ou non). Il y a des raisons à cela.

    3 Le coût de l’immobilier commercial

    Pour les magasins, « les coûts d’exploitation sont souvent supérieurs là où le foncier est cher, écrit Olivier Dauvers. Avec, en conséquence, un effet format : davantage de petits magasins se développeront dans les (zones au foncier élevé) ». Avec un prix du mètre carré bien moins élevé qu’à Lyon, Nice ou Cannes, Brest ou Lannion tirent leur épingle du jeu. Les enseignes peuvent plus facilement acquérir une plus grande surface commerciale, rendant le coût d’exploitation moindre, ce qui permet de faire baisser les prix.

    Et on le voit : avec les Pays de la Loire, notre région est la championne des hypermarchés. On en comptait 580 en 2020. À l’inverse, on compte peu de Monoprix et aucun Franprix, des magasins de taille plus modeste, sur notre territoire.

    4 De grandes enseignes de prix cassés

    Si le grand Ouest demeure une zone ultra-compétitive sur les courses, c’est en raison de ces enseignes. De grands distributeurs sont nés sur son territoire et s’y livrent une bataille féroce, plus qu’ailleurs : Leclerc (on en compte 59 en Bretagne) est né à Landerneau (29), Super U (130) à Savenay, en Loire-Atlantique, et Intermarché (172) a très vite conquis la Bretagne à sa création, en partant du Morbihan.

    Les trois revendiquent une politique de prix bas : « Défendre tout ce qui compte pour vous » est le slogan de Leclerc, « Tous unis contre la vie chère » est celui d’Intermarché. Début 2022, UFC-Que choisir établissait que le ticket de caisse dans un hyper du distributeur Leclerc s’élevait à 348 euros en moyenne, soit entre 8 et 60 euros de moins que la concurrence. Une bataille de l’image-prix que E. Leclerc parvient à gagner lors de négociations commerciales décrites comme très tendues avec les industriels.

    5 Le jeu de la concurrence

    « Trois enseignes d’indépendants », souligne Olivier Dauvers. Cela a son importance : ces derniers sont alors plus enclins à se livrer à une guerre des prix. Et cela est d’autant plus nécessaire que, si l’un d’eux casse les tarifs, il oblige les distributeurs concurrents à s’aligner, et donc à tirer le ticket de caisse final à la baisse. Au bénéfice du consommateur… mais pas forcément à celui du producteur.

    6 Des usines toutes proches

    Si le Breton paie moins cher ses produits, c’est aussi parce que les distributeurs ont fait le choix d’usines se trouvant en terres bretonnes, ce qui permet de faire des économies sur les frais de transport et se répercute sur le prix final. Intermarché a fondé sa stratégie sur ce créneau : en 2015, l’enseigne disposait de 30 usines dans la région (Jean Rozé, Keranna, Capitaine Cook…). Pareil pour Leclerc : il s’approvisionne directement auprès des producteurs.

    7 Un opportunisme local

    Enfin, « si un supermarché est cher, c’est parce que les clients y sont moins sensibles au prix que dans un autre territoire, sourit Olivier Dauvers. Ça s’appelle… l’adaptation locale. » Avec un passage à la caisse moins douloureux qu’ailleurs, le Breton serait-il plus sensible aux prix de ses achats ?

    Cela ne serait pas étonnant : il y a encore quelques années, son niveau de vie était légèrement inférieur à celui observé en France métropolitaine. En 2017, le revenu disponible médian y était de 21 060 €, contre 21 110 € pour la moyenne nationale. Cela s’est inversé depuis mais cet héritage perdure, ce qui peut expliquer pourquoi les supermarchés ont adapté leurs prix aux spécificités bretonnes.

    Essence moins chère

    8 Une médaille également pour les carburants

    La Bretagne est également la région où l’on paie le moins cher son carburant, selon le site Essence pas chère. Prenons le gazole par exemple : le Finistère est le deuxième département où son prix est le moins cher (1,827 €/L en moyenne) ; la Loire-Atlantique, troisième (1,833 €/L) ; l’Ille-et-Vilaine, cinquième (1,836 €/L) ; les Côtes-d’Armor, sixième (1,839 €/L) et le Morbihan, septième (1,840 €/L). Pareil pour l’essence E10 : les cinq départements se retrouvent tous dans le Top 10.

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    Immobilier 2023 : Les départements avec la plus grande baisse des frais de notaire

    Découvrez les départements français où votre investissement immobilier pourrait vous coûter moins cher grâce à la baisse spectaculaire des frais de notaire en 2023 !

    Le marché immobilier en berne impacte fortement les recettes locales

    La conjoncture du marché immobilier se répercute significativement sur les recettes des collectivités locales, notamment à cause de la chute des droits de mutation dans environ 100 départements français. Le contexte est particulièrement marqué dans certains territoires où la baisse est plus prononcée.

    Prévisions de la FNAIM : une baisse des transactions immobilières

    Selon la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM), le nombre de transactions immobilières pourrait repasser sous le seuil du million en 2023 pour atteindre 950 000 ventes sur l’année, soit une baisse de 15% en un an. Ces transactions ont longtemps constitué une source de revenus majeure pour les communes et les départements, qui perçoivent une partie des droits de mutation à titre onéreux (DMTO), également appelés “frais de notaire”.

    La répartition des “frais de notaire”

    Sur les 7,3% de frais sur le prix du bien versés aux notaires, 5,8% reviennent aux départements qui en sont les principaux bénéficiaires, selon Capital. Les notaires, pour leur part, perçoivent des émoluments équivalents à 0,8% du prix du bien.

    Une baisse record des droits de mutation

    En 2022, les droits de mutation ont rapporté plus de 21 milliards d’euros aux collectivités locales. Cependant, cette année, avec la chute du nombre de ventes immobilières, les recettes fiscales des départements connaissent une forte baisse. Selon le cabinet Michel Klopfer, spécialisé dans les finances locales, les droits de mutation seraient en recul de 18% à l’échelle nationale, une baisse qui pourrait atteindre 20% d’ici la fin de l’année.

    Sur les 101 départements français, seul celui des Ardennes enregistre une hausse des droits de mutation. Les baisses les plus significatives sont observées dans des départements tels que l’Oise, le Nord, le Gard, la Gironde, le Var, les Yvelines, le Vaucluse, le Maine-et-Loire ou encore l’Eure-et-Loir, où la baisse dépasse 20%.

    Les droits de mutation représentant 20% des recettes fiscales des départements, la situation est préoccupante. Toutefois, selon Michel Klopfer, “la chute (…) a souvent été correctement anticipée par les départements, qui sont (…) prudents en construisant leurs budgets”.

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    Sury-près-Léré (18240) – Actualités

    Quel est le portrait des habitants de Sury-près-Léré ?

    La superficie de Sury-près-Léré couvre 17,92 kilomètres carrés. En 2018, on chiffrait à 697 le nombre d’habitants de la ville, ce qui représente une densité de population de 38,9 habitants/km². À l’échelle du département du Cher, cette municipalité figurait alors au 65e rang concernant la densité de population.

    Caractéristiques et informations pratiques sur le parc immobilier de Sury-près-Léré

    Avec 17,92 km² et un total de 697 habitants pour 407 logements, la densité de population et la densité de logement de Sury-près-Léré sont très basses : 38,9 habitants/km² et 0,2 log/ha. La densité de logement est identique à la moyenne départementale tandis que la densité de population, elle, est plus faible (41,5 hab/km² et 0,2 log/ha).

    Caractéristiques et informations pratiques sur la répartition du parc immobilier de la ville

    Au sein de la ville, on compte une plus grande part de propriétaires que de locataires. Environ 78,9 % des résidences principales sont occupées par des propriétaires contre 20,7 % occupées par des locataires (dont 12,2 % à titre gracieux). Parmi les habitations de la localité, 13,3 % sont des logements vacants, 12 % des résidences secondaires et il y a 74,7 % de résidences principales. La plupart des ménages de Sury-près-Léré ont emménagé il y a entre 10 et 19 ans.

    Découvrez les chiffres clés des pièces des logements de la ville

    Les logements de la municipalité sont en très grande majorité des maisons (97,3 %). Elles comportent pour la plupart 2 pièces (26,8 % du nombre total de maisons) pour une superficie généralement comprise entre 40 et 60 m². On trouve également de nombreuses maisons familiales de 5 pièces (22 %). Quant aux appartements, ils sont beaucoup moins nombreux ; ils sont principalement composés de 2 pièces. Enfin, on peut remarquer que les logements de la municipalité ont majoritairement été construits avant 1919.

    Découvrez les chiffres clés des impôts de Sury-près-Léré

    On recense un total de 347 foyers fiscaux à Sury-près-Léré. Parmi eux, environ 39,5 % sont au-dessous du seuil d’imposition, contre 50,8 % pour le département du Cher et 50,2 % à l’échelle de la France. Les habitants ont un revenu médian annuel de 22 920 €, soit 990 € de plus que celui du pays. L’impôt sur le revenu des habitants de Sury-près-Léré est en moyenne de 1 544 € par foyer fiscal. Ce dernier est donc supérieur à celui du département qui s’élève à 1 184 €. D’autre part, 41,5 % des foyers déclarent percevoir une retraite ou une pension.

    Caractéristiques et informations pratiques à propos de l’emploi à Sury-près-Léré

    En 2018, Sury-près-Léré affichait un taux d’activité de 75,48 % : on comptabilisait en effet 317 actifs sur 420 habitants en âge de travailler. En proportion, il y avait donc à peu près autant d’actifs qu’à l’échelle de la France, où le taux d’activité était de 71,9 %.

    À l’échelle de la localité, le taux de chômage s’élevait à 6,94 %, 22 actifs étant au chômage. La part de chômeurs était alors semblable à celle de l’Hexagone, où le taux de chômage atteignait 9,1 %.

    L’objectif de laforet-loiretcher.com est de discuter autour de Agence immobilière Loir-et-Cher dans la transparence la plus générale en vous offrant la visibilité de tout ce qui est publié sur ce sujet sur internet Cet article, qui traite du thème « Agence immobilière Loir-et-Cher », vous est spécialement proposé par laforet-loiretcher.com. Cet écrit se veut réédité de la façon la plus fidèle qui soit. Il est possible d’utiliser les coordonnées inscrites sur notre site pour apporter des détails sur ce post parlant du thème « Agence immobilière Loir-et-Cher ». Il y a de prévu plusieurs articles sur le sujet « Agence immobilière Loir-et-Cher » sous peu, nous vous incitons à consulter notre site plusieurs fois.

    TEMOIGNAGES. « Je vis dans le noir », « je ne dors plus »… Face à la canicule, la galère des habitants des « bouilloires thermiques »

    De nombreux logements ne sont pas adaptés aux fortes chaleurs, au point de devenir invivables. Leurs habitants nous racontent comment ils tentent de gagner un peu de fraîcheur.

    Julien passe le moins de temps possible chez lui, surtout en plein été. Locataire d’un studio parisien sous les toits, il estime qu’il fait toujours plus chaud « à l’intérieur que dehors. » L’année dernière, en pleine canicule, il a même mesuré un record de 38 degrés dans son appartement. La nuit, il ouvre la fenêtre et allume son ventilateur, mais « il fait toujours trop chaud » et le bruit de la rue « l’empêche de dormir ». Son logement est classé E (la dernière catégorie avant de basculer dans les passoires thermiques) et son diagnostic de performance énergétique recommande à son propriétaire de réaliser des travaux d’isolation depuis plusieurs années. Ce qui n’est pas au programme.

    >> Climat : fait-il chaud ou froid pour la saison ? Comparez la météo du jour à l’historique des températures des dernières décennies

    Heureusement, cet ingénieur qui travaille dans l’informatique est « bien entouré » et il « a les moyens » de s’échapper. À partir du mois de juin, il « boit des verres ou regarde des films au cinéma » et « évite de rentrer avant 21 ou 22 heures« . Il se fait aussi héberger « jusqu’à trois ou quatre nuits par semaine » chez des amis ou ses parents, qui habitent aussi en région parisienne et « qui sont contents de le voir ». Alors que les températures ont dépassé les 40 degrés, dimanche 20 août, dans plusieurs points du sud du pays, franceinfo donne la parole à ceux dont le logement n’offre aucun répit face aux chaleurs extrêmes.

    Car Julien est loin d’être seul dans son cas. À l’été 2022, 59% des personnes interrogées ont déclaré avoir souffert de la chaleur chez eux, d’après le baromètre du médiateur national de l’énergie (document PDF). Et le phénomène risque de s’aggraver. D’ici à 2050, la fréquence des canicules va doubler en France, selon les prévisions du Giec. Un habitant sur sept vit dans un territoire qui sera exposé lors des trois prochaines décennies à plus de 20 journées considérées comme « anormalement chaudes » par été, selon l’Insee. « Les personnes précaires qui vivent en ville semblent être particulièrement touchées », commente Manuel Domergue, directeur des études à la fondation Abbé Pierre, à l’origine d’une étude sur la précarité énergétique d’été dans les logements, qualifiés de « bouilloires thermiques. »

    >> Réchauffement climatique : causes, conséquences, solutions… Nos réponses à vos questions sur une préoccupation devenue quotidienne

    Gaëtan en fait partie. Cet intermittent du spectacle habite dans un studio au dernier niveau d’un immeuble de quatre étages, dans le quartier du Panier, à Marseille, classé F – une authentique passoire énergétique. L’été dernier, il s’était résolu à dormir sur son canapé, tant la température était invivable dans sa mezzanine. Il arrive à trouver le sommeil, « péniblement », quand « son ventilateur est collé à moins de trente centimètres de son visage ». Tout comme Julien, il évite de rester chez lui et il ne s’attend pas à ce que son propriétaire réalise des travaux : pour le moment, sa priorité est d’éradiquer des punaises de lit. Déménager ? « Avec son salaire », il a peur de ne pas trouver mieux. Tous ses amis sont d’ailleurs « plus ou moins dans la même situation », lâche-t-il d’un air résigné.

    Dans les grandes villes, les inégalités sociales aggravent la situation. Une enquête de Mediapart montre que dans les métropoles de Marseille, de Lille et de Paris, plus les revenus sont élevés, mieux on est protégé des canicules : les quartiers riches présentent en effet davantage d’espaces verts, qui font baisser la température.

    Dans les « bouilloires thermiques », chacun a ses astuces pour gagner quelques degrés. À Saint-Etienne (Loire), Walter se lève à cinq heures du matin, soit une heure plus tôt que d’habitude. Il a aussi collé des plaques d’isolant thermique sur ses fenêtres, ce qui lui permet de gagner quelques degrés.

    À Paris, Anh est adepte des promenades nocturnes, quand elle n’arrive pas à trouver le sommeil. Le jour, elle « vit nue, les volets fermés », boit beaucoup d’eau et prend « des bains glacés ». Un geste qui la soulage, mais qui n’est pas recommandé, car au contact de l’eau froide, le corps lutte contre cette sensation en… produisant de la chaleur.

    >> Canicule : nos astuces pour se rafraîchir sans acheter un climatiseur

    Toujours dans la capitale, Bertille n’a ni stores, ni volets. En attendant de faire valider des travaux par le syndic de sa copropriété, elle a collé des couvertures de survie sur ses fenêtres. Cela lui permet « de gagner quelques degrés. » Mais ces protections de fortune « s’envolent » et « il faut les enlever à chaque fois qu’[elle] veut de la lumière… » Dans sa maison située dans un village du Loir-et-Cher, Béatrix a installé des rideaux partout, qu’elle asperge d’eau quand il fait trop chaud. « Ça va mieux que l’année dernière, le thermomètre ne dépasse plus 25 degrés », se réjouit-elle. Une température qui nécessite déjà une vigilance accrue pour les personnes sensibles (âgées ou présentant des troubles cardiaques, par exemple).

    En dernier recours, certains s’équipent de climatiseurs. Mais ces équipements rejettent de l’air chaud et des fluides frigorigènes à effet de serre. Et leur coût (environ 700 euros pour l’installation d’un appareil fixe d’entrée de gamme) est dissuasif : 37% des catégories supérieures en possèdent un, soit deux fois plus que les ménages sans emploi ou inactifs, selon une étude de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie.

    Philippe a néanmoins investi pour mieux supporter la chaleur dans son appartement en banlieue de Lyon, où il fait souvent « entre 28 et 30 degrés, jour et nuit ». Sauf que, comme l’équipement consomme beaucoup d’énergie, il ne s’en sert quasiment jamais. À la place, il « vit dans le noir, les volets fermés toute la journée ». Il prend beaucoup de douches et mange des pommes, les fruits et les légumes crus étant recommandés pour éviter de se déshydrater.

    Lorsqu’il est question de réaliser des travaux, même les propriétaires les plus volontaires peuvent se retrouver en difficulté. Alexia fait partie des habitants les plus exposés de son immeuble haussmannien, très bétonné, situé dans le 18e arrondissement de Paris : elle habite au cinquième étage (sur six), et son appartement est orienté plein sud. Elle souhaite isoler le bâtiment, mais la décision doit être validée par sa copropriété. Et tous ses voisins ne voient pas la même urgence à agir. Alors, cet été encore, elle redoute les insomnies qui la « rendent dingue. »

    Dans le Val-de-Marne, Gérard désire poser un enduit isolant sur les murs de sa maison. Mais comme il habite à plusieurs centaines de mètres d’un pont classé parmi les monuments historiques, il doit faire valider les travaux par l’architecte du Bâtiment de France, garant de la préservation du patrimoine. Or, ce dernier a constaté que ses volets n’étaient pas aux normes. Résultat : il doit les changer avant de procéder à l’isolation, ce qui lui « fait perdre du temps ». Les travaux ne seront pas terminés cet été.

    Pour la Fondation Abbé Pierre, il y a urgence à agir pour améliorer le sort des habitants des « bouilloires thermiques ». L’association plaide en faveur d’un « plan national » pour équiper tous les logements de volets, avec une prise en charge des frais pour les ménages les plus modestes. Elle demande aussi que les bailleurs sociaux installent des stores et sécurisent l’ouverture des fenêtres de leur parc immobilier, et de simplifier les règles dans les zones soumises à l’appréciation des Bâtiments de France.

    L’association souhaite encore végétaliser les villes et repeindre les toits en blanc pour gagner de la fraîcheur. Enfin, tous ces dispositifs ne doivent pas faire oublier une réponse à plus long terme : « la rénovation énergétique globale des cinq millions de passoires thermiques en priorité », mais aussi, « sans doute, à terme, de tous les logements. » 

    >> Paris, Lille, Toulouse, Lyon, Grenoble, Bordeaux… Visualisez l’îlot de chaleur dans votre zone urbaine

    Le chantier est énorme. À Paris, par exemple, 90% de la population est exposée à un îlot de chaleur urbain à forte intensité, avec trois à six degrés de différences avec le reste de la ville, car il y a peu d’espaces verts. Ce qui a des conséquences sur la santé de ses habitants : il s’agit aussi de la capitale européenne au risque de surmortalité le plus élevé en cas de canicule.

    Avec le retour de la vague de chaleur, Julien cherche à déménager de son appartement sous les toits. Mais, même avec un budget de 1 000 euros par mois, les appartements qu’il visite « ne sont pas dans un bon état ». Il sait qu’il « finira par trouver », mais il s’inquiète déjà pour la ou le futur locataire de son logement actuel. « J’espère que jamais personne ne récupérera cet appartement… »


    Les épisodes de fortes chaleurs peuvent être dangereux pour la santé, en particulier pour les personnes âgées, handicapées ou isolées, qui sont plus vulnérables. Afin de limiter les risques, pensez à boire de l’eau régulièrement, à éviter les sorties et les efforts physiques aux heures les plus chaudes de la journée, ainsi qu’à fermer les volets et les rideaux des fenêtres exposées au soleil. Si des symptômes inhabituels surviennent (crampes, fatigue soudaine, nausées, vomissements, maux de tête…), n’hésitez pas à contacter le 15. Pensez enfin à prendre des nouvelles de vos proches les plus fragiles durant ces fortes chaleurs.

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    Charentonnay (18140) – Actualités

    Découvrez les chiffres clés de la population de Charentonnay

    Charentonnay couvre une superficie de 22,08 km². En 2018, la ville affichait une population de 291 habitants, sa densité s’élevait donc à 13,2 habitants/kilomètre carré. En ce qui concerne la densité de population, cette ville se classait alors au 155e rang dans le département du Cher.

    Découvrez les chiffres clés du parc immobilier de Charentonnay

    On comptabilise un total de 199 logements à Charentonnay. Avec environ 290 habitants et une superficie de 22,08 km², la densité résidentielle et la densité de population de la municipalité sont très basses : 13,2 habitants par km² et 0,1 log/ha. Elles sont toutes deux inférieures à celles de la France (106 habitants/km² et 0,6 log/ha).

    Découvrez quelques informations pratiques sur la répartition du parc immobilier de la ville

    On compte actuellement bien plus de propriétaires que de locataires à l’échelle de la localité. Environ 75 % des résidences principales sont occupées par des propriétaires pour 23,6 % occupées par des locataires (dont 3,5 % à titre gratuit). Parmi les habitations de Charentonnay, 16,1 % sont des résidences secondaires, 11,6 % des logements vacants et il y a 72,4 % de résidences principales. Quant aux logements sociaux, ils forment 7,6 % des habitations. La majorité des ménages se sont installés il y a entre 10 et 19 ans au sein de la localité.

    Caractéristiques et informations pratiques sur les pièces des logements de la municipalité

    Parmi les logements de la ville, on trouve une très grande majorité de maisons (99,5 %). Ce sont essentiellement des maisons familiales de 4 pièces (29,8 % du nombre total de maisons) ayant une superficie généralement comprise entre 60 et 80 m². On trouve également de nombreuses maisons de 3 pièces (23,2 %). On notera qu’elles sont, pour la plupart, anciennes (construites avant la Première Guerre mondiale).

    Quelles sont les caractéristiques de l’impôt sur le revenu à Charentonnay ?

    On compte un total de 168 foyers fiscaux à Charentonnay. Près de 55,4 % de ceux-ci ne sont pas imposables, contre 50,8 % au niveau du département et 50,2 % à l’échelle de la France. Le revenu médian de la municipalité se chiffre à 20 840 € annuels, soit 250 € de moins que celui du Cher. L’impôt sur le revenu des habitants est en moyenne de 898 € par foyer. Ce dernier est donc plus bas que celui du département qui s’élève à 1 184 €. D’autre part, 42,3 % des foyers ont déclaré percevoir une pension ou une retraite.

    Découvrez quelques informations pratiques à propos de l’emploi à Charentonnay

    Charentonnay affichait en 2018 un taux d’activité de 77,84 % : sur les 167 habitants en âge de travailler que comptait la municipalité, 130 étaient actifs. C’est 5,94 points de plus qu’au niveau national, où le taux d’activité s’élevait à 71,9 %.

    On comptabilisait 17 chômeurs parmi la population active de Charentonnay, ce qui représente un taux de chômage de 13,08 %. La part de chômeurs était donc supérieure de 3,98 points à celle de la France, où le taux de chômage était de 9,1 %.

    L’objectif de laforet-loiretcher.com est de discuter autour de Agence immobilière Loir-et-Cher dans la transparence la plus générale en vous offrant la visibilité de tout ce qui est publié sur ce sujet sur internet Cet article, qui traite du thème « Agence immobilière Loir-et-Cher », vous est spécialement proposé par laforet-loiretcher.com. Cet écrit se veut réédité de la façon la plus fidèle qui soit. Il est possible d’utiliser les coordonnées inscrites sur notre site pour apporter des détails sur ce post parlant du thème « Agence immobilière Loir-et-Cher ». Il y a de prévu plusieurs articles sur le sujet « Agence immobilière Loir-et-Cher » sous peu, nous vous incitons à consulter notre site plusieurs fois.