TEMOIGNAGES. « Je vis dans le noir », « je ne dors plus »… Face à la canicule, la galère des habitants des « bouilloires thermiques »

De nombreux logements ne sont pas adaptés aux fortes chaleurs, au point de devenir invivables. Leurs habitants nous racontent comment ils tentent de gagner un peu de fraîcheur.

Julien passe le moins de temps possible chez lui, surtout en plein été. Locataire d’un studio parisien sous les toits, il estime qu’il fait toujours plus chaud « à l’intérieur que dehors. » L’année dernière, en pleine canicule, il a même mesuré un record de 38 degrés dans son appartement. La nuit, il ouvre la fenêtre et allume son ventilateur, mais « il fait toujours trop chaud » et le bruit de la rue « l’empêche de dormir ». Son logement est classé E (la dernière catégorie avant de basculer dans les passoires thermiques) et son diagnostic de performance énergétique recommande à son propriétaire de réaliser des travaux d’isolation depuis plusieurs années. Ce qui n’est pas au programme.

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Heureusement, cet ingénieur qui travaille dans l’informatique est « bien entouré » et il « a les moyens » de s’échapper. À partir du mois de juin, il « boit des verres ou regarde des films au cinéma » et « évite de rentrer avant 21 ou 22 heures« . Il se fait aussi héberger « jusqu’à trois ou quatre nuits par semaine » chez des amis ou ses parents, qui habitent aussi en région parisienne et « qui sont contents de le voir ». Alors que les températures ont dépassé les 40 degrés, dimanche 20 août, dans plusieurs points du sud du pays, franceinfo donne la parole à ceux dont le logement n’offre aucun répit face aux chaleurs extrêmes.

Car Julien est loin d’être seul dans son cas. À l’été 2022, 59% des personnes interrogées ont déclaré avoir souffert de la chaleur chez eux, d’après le baromètre du médiateur national de l’énergie (document PDF). Et le phénomène risque de s’aggraver. D’ici à 2050, la fréquence des canicules va doubler en France, selon les prévisions du Giec. Un habitant sur sept vit dans un territoire qui sera exposé lors des trois prochaines décennies à plus de 20 journées considérées comme « anormalement chaudes » par été, selon l’Insee. « Les personnes précaires qui vivent en ville semblent être particulièrement touchées », commente Manuel Domergue, directeur des études à la fondation Abbé Pierre, à l’origine d’une étude sur la précarité énergétique d’été dans les logements, qualifiés de « bouilloires thermiques. »

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Gaëtan en fait partie. Cet intermittent du spectacle habite dans un studio au dernier niveau d’un immeuble de quatre étages, dans le quartier du Panier, à Marseille, classé F – une authentique passoire énergétique. L’été dernier, il s’était résolu à dormir sur son canapé, tant la température était invivable dans sa mezzanine. Il arrive à trouver le sommeil, « péniblement », quand « son ventilateur est collé à moins de trente centimètres de son visage ». Tout comme Julien, il évite de rester chez lui et il ne s’attend pas à ce que son propriétaire réalise des travaux : pour le moment, sa priorité est d’éradiquer des punaises de lit. Déménager ? « Avec son salaire », il a peur de ne pas trouver mieux. Tous ses amis sont d’ailleurs « plus ou moins dans la même situation », lâche-t-il d’un air résigné.

Dans les grandes villes, les inégalités sociales aggravent la situation. Une enquête de Mediapart montre que dans les métropoles de Marseille, de Lille et de Paris, plus les revenus sont élevés, mieux on est protégé des canicules : les quartiers riches présentent en effet davantage d’espaces verts, qui font baisser la température.

Dans les « bouilloires thermiques », chacun a ses astuces pour gagner quelques degrés. À Saint-Etienne (Loire), Walter se lève à cinq heures du matin, soit une heure plus tôt que d’habitude. Il a aussi collé des plaques d’isolant thermique sur ses fenêtres, ce qui lui permet de gagner quelques degrés.

À Paris, Anh est adepte des promenades nocturnes, quand elle n’arrive pas à trouver le sommeil. Le jour, elle « vit nue, les volets fermés », boit beaucoup d’eau et prend « des bains glacés ». Un geste qui la soulage, mais qui n’est pas recommandé, car au contact de l’eau froide, le corps lutte contre cette sensation en… produisant de la chaleur.

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Toujours dans la capitale, Bertille n’a ni stores, ni volets. En attendant de faire valider des travaux par le syndic de sa copropriété, elle a collé des couvertures de survie sur ses fenêtres. Cela lui permet « de gagner quelques degrés. » Mais ces protections de fortune « s’envolent » et « il faut les enlever à chaque fois qu’[elle] veut de la lumière… » Dans sa maison située dans un village du Loir-et-Cher, Béatrix a installé des rideaux partout, qu’elle asperge d’eau quand il fait trop chaud. « Ça va mieux que l’année dernière, le thermomètre ne dépasse plus 25 degrés », se réjouit-elle. Une température qui nécessite déjà une vigilance accrue pour les personnes sensibles (âgées ou présentant des troubles cardiaques, par exemple).

En dernier recours, certains s’équipent de climatiseurs. Mais ces équipements rejettent de l’air chaud et des fluides frigorigènes à effet de serre. Et leur coût (environ 700 euros pour l’installation d’un appareil fixe d’entrée de gamme) est dissuasif : 37% des catégories supérieures en possèdent un, soit deux fois plus que les ménages sans emploi ou inactifs, selon une étude de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie.

Philippe a néanmoins investi pour mieux supporter la chaleur dans son appartement en banlieue de Lyon, où il fait souvent « entre 28 et 30 degrés, jour et nuit ». Sauf que, comme l’équipement consomme beaucoup d’énergie, il ne s’en sert quasiment jamais. À la place, il « vit dans le noir, les volets fermés toute la journée ». Il prend beaucoup de douches et mange des pommes, les fruits et les légumes crus étant recommandés pour éviter de se déshydrater.

Lorsqu’il est question de réaliser des travaux, même les propriétaires les plus volontaires peuvent se retrouver en difficulté. Alexia fait partie des habitants les plus exposés de son immeuble haussmannien, très bétonné, situé dans le 18e arrondissement de Paris : elle habite au cinquième étage (sur six), et son appartement est orienté plein sud. Elle souhaite isoler le bâtiment, mais la décision doit être validée par sa copropriété. Et tous ses voisins ne voient pas la même urgence à agir. Alors, cet été encore, elle redoute les insomnies qui la « rendent dingue. »

Dans le Val-de-Marne, Gérard désire poser un enduit isolant sur les murs de sa maison. Mais comme il habite à plusieurs centaines de mètres d’un pont classé parmi les monuments historiques, il doit faire valider les travaux par l’architecte du Bâtiment de France, garant de la préservation du patrimoine. Or, ce dernier a constaté que ses volets n’étaient pas aux normes. Résultat : il doit les changer avant de procéder à l’isolation, ce qui lui « fait perdre du temps ». Les travaux ne seront pas terminés cet été.

Pour la Fondation Abbé Pierre, il y a urgence à agir pour améliorer le sort des habitants des « bouilloires thermiques ». L’association plaide en faveur d’un « plan national » pour équiper tous les logements de volets, avec une prise en charge des frais pour les ménages les plus modestes. Elle demande aussi que les bailleurs sociaux installent des stores et sécurisent l’ouverture des fenêtres de leur parc immobilier, et de simplifier les règles dans les zones soumises à l’appréciation des Bâtiments de France.

L’association souhaite encore végétaliser les villes et repeindre les toits en blanc pour gagner de la fraîcheur. Enfin, tous ces dispositifs ne doivent pas faire oublier une réponse à plus long terme : « la rénovation énergétique globale des cinq millions de passoires thermiques en priorité », mais aussi, « sans doute, à terme, de tous les logements. » 

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Le chantier est énorme. À Paris, par exemple, 90% de la population est exposée à un îlot de chaleur urbain à forte intensité, avec trois à six degrés de différences avec le reste de la ville, car il y a peu d’espaces verts. Ce qui a des conséquences sur la santé de ses habitants : il s’agit aussi de la capitale européenne au risque de surmortalité le plus élevé en cas de canicule.

Avec le retour de la vague de chaleur, Julien cherche à déménager de son appartement sous les toits. Mais, même avec un budget de 1 000 euros par mois, les appartements qu’il visite « ne sont pas dans un bon état ». Il sait qu’il « finira par trouver », mais il s’inquiète déjà pour la ou le futur locataire de son logement actuel. « J’espère que jamais personne ne récupérera cet appartement… »


Les épisodes de fortes chaleurs peuvent être dangereux pour la santé, en particulier pour les personnes âgées, handicapées ou isolées, qui sont plus vulnérables. Afin de limiter les risques, pensez à boire de l’eau régulièrement, à éviter les sorties et les efforts physiques aux heures les plus chaudes de la journée, ainsi qu’à fermer les volets et les rideaux des fenêtres exposées au soleil. Si des symptômes inhabituels surviennent (crampes, fatigue soudaine, nausées, vomissements, maux de tête…), n’hésitez pas à contacter le 15. Pensez enfin à prendre des nouvelles de vos proches les plus fragiles durant ces fortes chaleurs.

L’objectif de laforet-loiretcher.com est de discuter autour de Agence immobilière Loir-et-Cher dans la transparence la plus générale en vous offrant la visibilité de tout ce qui est publié sur ce sujet sur internet Cet article, qui traite du thème « Agence immobilière Loir-et-Cher », vous est spécialement proposé par laforet-loiretcher.com. Cet écrit se veut réédité de la façon la plus fidèle qui soit. Il est possible d’utiliser les coordonnées inscrites sur notre site pour apporter des détails sur ce post parlant du thème « Agence immobilière Loir-et-Cher ». Il y a de prévu plusieurs articles sur le sujet « Agence immobilière Loir-et-Cher » sous peu, nous vous incitons à consulter notre site plusieurs fois.

Charentonnay (18140) – Actualités

Découvrez les chiffres clés de la population de Charentonnay

Charentonnay couvre une superficie de 22,08 km². En 2018, la ville affichait une population de 291 habitants, sa densité s’élevait donc à 13,2 habitants/kilomètre carré. En ce qui concerne la densité de population, cette ville se classait alors au 155e rang dans le département du Cher.

Découvrez les chiffres clés du parc immobilier de Charentonnay

On comptabilise un total de 199 logements à Charentonnay. Avec environ 290 habitants et une superficie de 22,08 km², la densité résidentielle et la densité de population de la municipalité sont très basses : 13,2 habitants par km² et 0,1 log/ha. Elles sont toutes deux inférieures à celles de la France (106 habitants/km² et 0,6 log/ha).

Découvrez quelques informations pratiques sur la répartition du parc immobilier de la ville

On compte actuellement bien plus de propriétaires que de locataires à l’échelle de la localité. Environ 75 % des résidences principales sont occupées par des propriétaires pour 23,6 % occupées par des locataires (dont 3,5 % à titre gratuit). Parmi les habitations de Charentonnay, 16,1 % sont des résidences secondaires, 11,6 % des logements vacants et il y a 72,4 % de résidences principales. Quant aux logements sociaux, ils forment 7,6 % des habitations. La majorité des ménages se sont installés il y a entre 10 et 19 ans au sein de la localité.

Caractéristiques et informations pratiques sur les pièces des logements de la municipalité

Parmi les logements de la ville, on trouve une très grande majorité de maisons (99,5 %). Ce sont essentiellement des maisons familiales de 4 pièces (29,8 % du nombre total de maisons) ayant une superficie généralement comprise entre 60 et 80 m². On trouve également de nombreuses maisons de 3 pièces (23,2 %). On notera qu’elles sont, pour la plupart, anciennes (construites avant la Première Guerre mondiale).

Quelles sont les caractéristiques de l’impôt sur le revenu à Charentonnay ?

On compte un total de 168 foyers fiscaux à Charentonnay. Près de 55,4 % de ceux-ci ne sont pas imposables, contre 50,8 % au niveau du département et 50,2 % à l’échelle de la France. Le revenu médian de la municipalité se chiffre à 20 840 € annuels, soit 250 € de moins que celui du Cher. L’impôt sur le revenu des habitants est en moyenne de 898 € par foyer. Ce dernier est donc plus bas que celui du département qui s’élève à 1 184 €. D’autre part, 42,3 % des foyers ont déclaré percevoir une pension ou une retraite.

Découvrez quelques informations pratiques à propos de l’emploi à Charentonnay

Charentonnay affichait en 2018 un taux d’activité de 77,84 % : sur les 167 habitants en âge de travailler que comptait la municipalité, 130 étaient actifs. C’est 5,94 points de plus qu’au niveau national, où le taux d’activité s’élevait à 71,9 %.

On comptabilisait 17 chômeurs parmi la population active de Charentonnay, ce qui représente un taux de chômage de 13,08 %. La part de chômeurs était donc supérieure de 3,98 points à celle de la France, où le taux de chômage était de 9,1 %.

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Iran Un agent immobilier arrêté pour la vente d’une maison à un chien

Le directeur d’une agence immobilière en Iran a été arrêté pour « atteinte aux valeurs morales » après avoir vendu un appartement à un chien, a annoncé la police ce dimanche.

Les policiers ont lancé une enquête « à la suite de la diffusion d’une vidéo montrant la signature de la vente d’un appartement à un chien par une agence immobilière de l’ouest de Téhéran », a indiqué la police.

Empreinte de patte

Cette vidéo, rapidement devenue virale sur les réseaux sociaux, montre un couple déclarant vendre un appartement à son chien Chester, un shih tzu, faute d’avoir un héritier. D’après ces images, le petit chien blanc, installé sur le bureau de l’agent immobilier, signe le contrat avec l’aide de la femme en apposant l’empreinte de sa patte sur le document.

« Samedi matin, le patron de l’agence a été arrêté par la police et son bureau a été fermé sur ordre de l’autorité judiciaire », a indiqué le procureur général adjoint de Téhéran, Reza Tabar, cité par Mizan Online, l’organe de communication de la justice. « L’acte engagé par cette agence immobilière n’a aucune base juridique », a-t-il ajouté, en accusant le patron de « vouloir porter atteinte aux valeurs morales de la société ».

Comme dans de nombreux pays musulmans, le chien est considéré comme impur en Iran mais la loi n’interdit pas d’en posséder. De plus en plus d’Iraniens issus des classes moyenne ou supérieure sont propriétaires d’animaux domestiques, notamment de chiens et de chats.

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Le Journal de Saône et Loire

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Quand a lieu le brevet 2023 (DNB) ?

Les épreuves du brevet 2023 sont prévues le lundi 26 et le mardi 27 juin 2023.

Combien y a-t-il d’épreuves pour le brevet ?

Le brevet comporte 4 épreuves écrites et une épreuve orale, qui valent 400 points.
Une partie de la note provient d’un contrôle continu (évaluation du socle commun), qui vaut également 400 points.

Quand sont annoncés les résultats du brevet ?

Le gouvernement indique que les résultats du brevet devraient être annoncés à partir du 7 juillet. La date varie en fonction des académies.

A quoi sert le brevet ?

Le brevet est le premier examen que passent les élèves : ils reçoivent une convocation, les copies sont anonymisées, les sujets portent sur le programme de 4e et de 3e, il est nécessaire de faire un travail de révision. S’il n’est pas obligatoire pour passer au lycée, c’est un réel entraînement pour les futurs examens, comme le baccalauréat. Les élèves boursiers peuvent demander une bourse au mérite s’ils obtiennent une mention bien ou très bien.

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Immobilier Cinq bonnes raisons d’investir dans l’immobilier en été

Nombreux sont ceux qui préfèrent attendre la rentrée pour acheter. Mais l’été peut présenter des opportunités pour les investisseurs immobiliers en raison d’un plus faible nombre d’acquéreurs sur le marché et de la possibilité de négocier les prix dans le contexte actuel de hausse des taux de crédit. 

1) Moins de concurrence sur le marché

Alors que de nombreux investisseurs suspendent leurs projets pendant les vacances estivales, les mois de juillet et d’août peuvent être une période propice pour prendre une longueur d’avance, acheter par exemple un logement étudiant en vue de le louer.

« La majorité des mises en vente se font au printemps, mais l’été est un moment idéal pour investir en raison de la baisse de la concurrence », explique Émilie Malengo, cofondatrice avec Julien Malengo, d’Invest-Preneur, société spécialisée dans l’investissement immobilier à très haute rentabilité. Cela facilite la recherche de biens et la négociation de conditions d’achat avantageuses.

Selon Invest-Preneur, les acheteurs ont 50 % plus de chance de conclure un accord pendant la période estivale. D’autant que l’activité immobilière tourne au ralenti depuis le printemps.

2) Davantage de négociations sur les prix

Les vendeurs, ayant souvent refusé des offres plus basses au printemps, sont plus enclins à accepter des négociations de prix pendant l’été, affirme Invest-Preneur. En juin, sur un an, les marges de négociation sur le marché des maisons ont augmenté de 68 % sur un an et sur celui des appartements de 53 %, selon le dernier Baromètre LPI-iad.

Dans le contexte actuel de hausses des taux de crédit et d’un volume de transactions en baisse, les prix immobiliers sont sur une tendance baissière. Selon Meilleurs Agents, spécialisé dans l’estimation immobilière en ligne, le 3e trimestre 2023 devrait ressembler assez fortement aux tout premiers mois de l’année avec des prix en baisse dans certaines communes.

Même constat du côté du portail d’annonces immobilières des notaires Immonot.com : la part des notaires qui anticipent une baisse des prix cet été est de 78 % (à fin juin), tandis que 22 % estiment leur maintien à leur niveau actuel et 0 % envisagent une hausse. 

3) Avant une nouvelle hausse des taux de crédit

Si cet été les taux de crédit frôlent les 4 % sur les durées de prêts entre 20 et 25 ans, leur hausse devrait se poursuivre dans les prochains mois et au moins jusqu’à la fin de l’année, indiquent les courtiers en prêts immobiliers.

En septembre, les taux devraient s’élever à plus de 4 % et se stabiliser autour de 5 % en moyenne en 2024.

4) Des visites à la lumière du jour

Grâce à des conditions météorologiques plus clémentes, les visites de maisons, en particulier celles nécessitant des travaux de rénovation, sont plus aisées l’été.

Cela permet également de mieux apprécier le jardin, les espaces extérieurs, les aménagements intérieurs… 

5) Économiser la taxe foncière

Si vous achetez un bien en cours d’année, le vendeur, propriétaire au 1er janvier, demeure le seul redevable de la totalité de la taxe foncière pour l’année entière. Toutefois, comme l’indiquent les Impôts, lors de l’achat, l’acte de vente peut inclure un accord entre le vendeur et l’acquéreur sur un paiement au « prorata temporis » de la taxe, soit de répartir le montant à régler en fonction de la date de la transaction.

Si l’achat est conclu cet été, l’acte authentique de vente sera signé chez le notaire en fin d’année, la taxe foncière sera donc à la charge du vendeur, les avis d’impôt étant envoyés entre la fin août et la mi-septembre et le paiement à effectuer fin octobre.

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Canicule : mais pourquoi cette étrange lenteur dans l’adaptation de nos maisons et nos villes

Adapter les villes est essentiel.

Alors que les inondations et canicules, ou autres aléas climatiques se multiplient, il semble que les villes et les logements peinent à s’adapter. A quel point les technologies existent pour se protéger des aléas climatiques ?

Éric Daniel-Lacombe : Les villes ne peinent pas à s’adapter faute de technologies, mais parce que nombre d’acteurs influents croient ou veulent faire croire que les technologies peuvent apporter des protections matérielles qui mettraient à l’abri des aléas climatiques. 

Isabelle Thomas : Disons qu’il y a deux axes majeurs. Il est indiscutablement crucial d’intégrer le bâtiment dans son contexte. En effet, même si nous concevons le bâtiment pour être très résilient, il ne fonctionnera pas seul s’il est placé dans un contexte d’inondations graves, de désert aride ou d’une forêt sujette aux incendies. La considération des échelles différentes est primordiale. Il faut intégrer et s’adapter intelligemment, en tenant compte du cadre bâti et de et du contexte local.

 De nombreuses réflexions sur les matériaux sont menées de même que les produits. À l’école d’architecture, les experts apportent des idées innovantes sur les matériaux à utiliser en fonction des enjeux climatiques. Nous pouvons même suivre l’évolution du bâtiment en relation avec le climat. Il est certain qu’une innovation croissante est indispensable pour s’adapter aux enjeux actuels. Par exemple, en ce qui concerne les inondations, nous pouvons simuler comment le niveau et la vitesse de l’eau qui atteint le bâtiment et ainsi trouver des stratégies d’adaptation, voire de relocalisation si le risque est trop élevé.

Les méthodes et les savoirs existent. Le défi majeur réside dans le changement des savoir-faire, de la mise en œuvre des connaissances sur les milieux e vie, des comportements et de l’aménagement urbain lui-même. Bien que le dérèglement climatique soit souvent évoqué, nous devons reconnaître que nous avons nous-mêmes contribué à des îlots de chaleur en créant des zones densément peuplées, avec des pavés imperméables et des bâtiments peu écologiques et économiquement inadéquats. Nous devons donc repenser complètement notre approche de l’aménagement du territoire et de la planification urbaine en gardant en tête des principes tels que l’anticipation, l’innovation, l’adaptation et la co-construction . Il est évident que beaucoup de collectivités ont empiété sur des environnements qui peuvent aujourd’hui présenter des risques, comme par exemple le littoral atlantique, les bords de Seine ou de Loire.  Nous devons nous adapter en construisant différemment, en réutilisant ou en transformant les bâtiments existants. Par exemple, il y a beaucoup de bâtiments  qui n sont pas aux normes, ce qui nous amène à réfléchir à leur utilisation dans les centres urbains. Par ailleurs, en France, certains immeubles dans des quartiers totalement imperméables et sujets aux ilots de chaleurs  peuvent ne pas être appropriés à un milieux de vie viable et pourraient être des cas exemplaires de transformation visant le bien-être et l’inclusion de la population en visant une adaptation aux dérèglements du climat.

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Atlantico : Qu’est-ce qu’il est aujourd’hui possible de faire pour rendre une habitation ou un bâtiment résistant aux aléas climatiques ? Quelles sont les stratégies et matériaux utilisés ?

Éric Daniel-Lacombe : Il convient de développer des régulations naturelles des effets du climat, à l’échelle des quartiers et non pas à l’échelle d’une habitation. Il faut aussi donner aux habitants la possibilité d’être attentif aux fluctuations du temps et de la nature où ils vivent. La résilience est une force mentale qui se construit à travers des expériences vécues non traumatisantes. Voilà le matériau qu’il faut utiliser :

  • La transformation du quartier Matra à Romorantin laissant plus de place à la rivière, a permis de résister sans dommage à une crue lente et majeure d’un mètre cinquante (2016),

  • La mise en place d’un jardin réduisant les effets des crues (2015) à Mandelieu-la Napoule dans le sud de la France contribuera à la régulation de la rivière Riou en crue rapide,

  • En 2022, j’ai aidé dix communes sinistrées par la tempête Alex dans les vallées de la Roya, la Tinée, la Vésubie et le Var à retrouver un horizon d’aménagement entre prudence et développement adaptés aux crues transportant des rochers.

Pour autant, ces technologies sont-elles intégrées comme il le faut dans la réflexion sur la manière de construire ou d’adapter les logements à l’heure actuelle ?

Éric Daniel-Lacombe : Absolument pas. On fait semblant de croire que l’abus de techniques dont on n’avait pas éprouvé les conséquences à long terme, peuvent apporter la solution des problèmes auxquels elles contribuent. Les solutions techniques, comme les levées le long de la Loire, ou les diguettes de la région Parisienne, ou les digues en cours de construction à Manhattan ou au japon, ne connaissent que le phénomène hydrologique. Elles proposent une réponse unique à des problèmes multiples, et elles conduisent souvent à des travaux très importants et coûteux qui laissent en souffrance les problèmes sociaux et économiques.

Isabelle Thomas : Je ne souhaite absolument pas généraliser en ce qui concerne les promoteurs immobiliers. Cependant, il est impératif de réfléchir sérieusement et de bien comprendre les avantages et les coûts des projets. Cela ne se limite pas à la construction de tours à forte densité avec des condos de luxe coûteux. Actuellement, on commence à quantifier les bénéfices de la végétalisation des parcelles et à les quantifier. En vérité, concevoir une ville implique une réflexion à moyen et long terme, avec une considération pour le bien-être et la santé mentale des citoyens. La pandémie de COVID-19 l’a clairement démontré, la ville doit être viable, accueillante et démocratique en particulier par la beauté et qualité de son cadre de vie. Cela implique également d’intégrer de nouveaux savoir-faire et technologies dans les projets, ce qui inévitablement engendre des coûts et des changements dans les pratiques. Il est réellement nécessaire de peser les coûts et les avantages à moyen et long terme en innovant avec de nouveaux indicateurs de santé, de bénéfices environnementaux et de fiscalité municipale, complémentaires aux indicateurs traditionnels qui se concentrent sur le cadre bâti.

L’élément fondamental à comprendre est que nos méthodes d’analyse et de réflexion en matière de résilience sont assez avancées. Là où nous devons vraiment concentrer nos efforts, c’est dans le changement de mentalité, la formation des décideurs et des acteurs du secteur immobilier. Il est crucial de fournir aux acteurs locaux et aux promoteurs immobiliers les moyens de construire en tenant compte de la résilience et de l’adaptation. Il est également nécessaire d’aider les citoyens, car de nombreux logements existants ne sont pas adaptés aux changements climatiques.

Pour illustrer ce propos, je me suis récemment rendue à la Nouvelle-Orléans, où j’ai rencontré un citoyen qui bénéficie d’un programme fédéral de réaménagement et d’adaptation de sa maison en vue de réduire les risques. Les autorités fédérales ont compris qu’il était plus judicieux de favoriser des transformations structurelles adaptatives pour éviter les coûts récurrents de reconstruction à l’identique. Rehaussement de la maison 30 cm au-dessus de la ligne des plus hautes eaux, dé-perméabilisation de la parcelle, aménagement paysagé sont plusieurs stratégies possibles. Dans ce genre de situation, tout le monde est gagnant : la maison est métamorphosée et adaptées aux enjeux climatiques, elle prend de la valeur, la ville garde un citoyen engagé et en sécurité, les taxes foncières augmentent et le quartier profite d’un cadre de vie amélioré. Ce type de stratégie est possible quand le risque n’est pas trop élevé. Il est par ailleurs utile d’anticiper les enjeux de justice sociale sur le long terme et d’apporter des baisses de couts récurrents, comme c’est le cas dans ce contexte avec une baisse drastique des prémium d’assurance.

En fin de compte, il est primordial de mettre en place des programmes d’accompagnement pour les citoyens, les promoteurs immobiliers et les décideurs. Le besoin de changement est évident et omniprésent et implique un suivi des actions choisies. La situation est  préoccupante au Québec et au Canada cette année, où nous avons dû faire face à des inondations et à des feux de forêt. Il est donc impératif de repenser la construction des bâtiments. Cependant, cela ne se limite pas aux bâtiments eux-mêmes, car si les infrastructures environnantes ne sont pas résilientes, la qualité de vie des habitants sera sérieusement compromise. Il est donc crucial de considérer les diverses échelles spatiales et temporelles lors de ces réflexions.

Comment faire pour sensibiliser au mieux sur ce questions ?

Isabelle Thomas : C’est réellement un changement majeur à opérer. Il s’agit de développer une nouvelle culture de la gestion des risques. Au Québec, nous investissons énormément d’efforts dans ce domaine. Suite aux inondations en 2019, un chantier majeur a été lancé, principalement pour repenser l’aménagement du territoire en zone inondable. Cela implique la mise en place de nouveaux programmes pour soutenir les municipalités, ainsi qu’une transformation culturelle concernant la gestion des risques. Mon équipe et moi-même travaillons sur différents outils de communication à cet égard. Le changement de perception passe par la communication adaptée à divers publics. Par exemple, nous avons créé la première bande dessinée au Québec sur la résilience urbaine en collaboration avec la ville de Coaticook. Cette bande dessinée sensibilise les enfants aux risques et aux mesures à prendre, de manière interactive et engageante.

Il est clair que la communication doit être ciblée en fonction des publics. Par exemple, pour les enfants, nous utilisons des jeux et des illustrations pour les sensibiliser aux différents types de risques et aux comportements sécuritaires. Nous avons aussi développé d’autres supports tels que des accroches-portes, des podcasts et des documentaires pour un public plus large.

Le besoin de changement est également évident dans le comportement des citoyens. Nous avons observé des décès tragiques cet été en Nouvelle-Écosse, où des personnes ont tenté de fuir les inondations en voiture, ce qui aurait pu être évité avec une communication adéquate.

L’objectif ultime est d’aider les citoyens, les élus municipaux et les promoteurs immobiliers à s’adapter. Pour cela, il est utile de concevoir des formations qui abordent les questions d’adaptation. Il est essentiel de fournir un encadrement et un suivi continus, car le changement prend du temps à se concrétiser à court, moyen et long terme.

Nous envisageons également la mise en place de cas pilotes avec des leaders dans le domaine de la résilience. Ces champions servent d’exemple et encouragent d’autres à suivre. En France, les « Cours Oasis » sont souvent citées comme de bons exemples, et nous cherchons à développer des initiatives similaires. Cependant, il est crucial de ne pas isoler ces exemples dans un océan de problèmes. Il faut envisager la ville comme un écosystème urbain et environnemental cohérent, où la résilience est intégrée à tous les niveaux de développement, du bâti au naturel.

A quel point résilient et durable sont des notions qui se chevauchent, ou non ?

Isabelle Thomas : En effet, les termes ne sont pas strictement identiques. Il y a même eu des analyses menées par des chercheurs qui ont démontré que des stratégies de viabilité, de durabilité et de résilience peuvent parfois entrer en contradiction. C’est pourquoi je préfère de plus en plus évoquer l’adaptation, car la résilience s’est avérée assez complexe. Lors de notre récente visite à la Nouvelle-Orléans avec mes étudiantes, nous avons constaté un exemple concret d’un quartier résilient nommé « Gentilly Resilience District ». Plusieurs projets y sont en cours de réalisation et se montrent extrêmement intéressants et efficaces.

Ainsi, lors de l’ouragan Ida, un projet a permis de capter des milliers de gallons d’eau à la Nouvelle-Orléans, évitant ainsi les inondations dans le quartier. Cette approche a clairement amélioré la qualité de vie et l’environnement du quartier. Cependant, un autre enjeu auquel ils n’avaient pas anticipé a émergé, à savoir l’éco-embourgeoisement ou l’éco-gentrification. Cela démontre que la résilience d’une ville peut être biaisée selon les aspects considérés. Une ville peut être résiliente dans certains domaines et ne pas l’être dans d’autres, créant ainsi des contradictions au sein du même terme. C’est précisément pour cette raison qu’une approche interdisciplinaire et pluridisciplinaire est essentielle : afin de construire une ville qui soit véritablement inclusive et équitable.

Mais les solutions de résilience coutent cher, individuellement et collectivement….

Isabelle Thomas : Effectivement, ces initiatives peuvent avoir des coûts significatifs. Cependant, c’est précisément pour cette raison que, au sein de mon équipe, nous avons développé deux approches de réflexion. La première se concentre sur les indicateurs. Lorsque nous examinons les coûts, nous remarquons que souvent, seuls les coûts liés au cadre bâti sont pris en compte. Pourtant, lorsqu’on parle de résilience urbaine, cela englobe bien plus que les bâtiments. Nous avons intégré des aspects tels que la santé, qui ont des répercussions énormes. En évitant des problèmes comme la dépression, les arrêts de travail, les divorces, voire même les suicides, les bénéfices sont indéniables. C’est ce qu’on appelle une évaluation coûts-avantages intégrée.

Un autre élément crucial est l’environnement. Un chercheur au Québec, Jérôme Duprat, a développé une science économique passionnante sur les avantages environnementaux et a chiffré ces avantages. Désormais, lorsque je travaille sur des scénarios, des projets de relocalisation ou d’adaptation du cadre bâti, je montre que oui, il y a des coûts, mais que les avantages à court et moyen terme sont considérables, même du point de vue des infrastructures municipales. En prenant en compte une planification préalable soigneuse, ces infrastructures bénéficient non seulement aux quartiers, mais également à toutes les parties prenantes.

Comment penser l’action individuelle et collective quand les coûts sont si élevés ?

Isabelle Thomas : C’est un élément majeur nécessaire au commencement de tout projet, il est essentiel de réfléchir à la manière dont on intègre une proportion d’habitat incluant des logements à des coûts abordables. L’habitat reste primordial, mais les coûts doivent être adaptés à certaines catégories de population pour favoriser l’inclusion. Cela englobe des groupes comme les familles monoparentales, les personnes âgées, et bien d’autres. Une constatation cruciale qui émerge de nos retours d’expérience est la nécessité de considérer également l’aspect local. En effet, les locataires sont souvent exclus lorsque les loyers deviennent inabordables. C’est pourquoi je pense que les projets intelligents, soutenus par l’État, devraient inclure des quotas. Dans les projets de réaménagement,  un certain pourcentage pour ce type d’inclusion devrait être réservé À l’époque où j’étais professeur à Houston, nous avions constaté la mise mis en place d’un système similaire : des appartements à loyer modéré ne pouvaient pas être revendus rapidement afin d’empêcher des gains spéculatifs.

Cette approche permet non seulement de garantir une certaine stabilité dans le quartier, mais aussi de préserver une dimension plus collective. D’ailleurs, Éric abordera probablement demain le projet en cours dans la ville d’Orléans, qui illustre le concept de l’architecture inclusive. Dans cette ville, des maisons individuelles coexistent avec des logements collectifs. Lorsque nous évoquons l’action collective, il est impératif de considérer les coûts et les bénéfices. En effet, grâce à ce genre de projet, il est possible d’envisager des relocalisations depuis des zones dangereuses vers des zones plus sûres, tout en créant des espaces verts à accès collectif. Cela améliore non seulement la santé mentale et physique des habitants, en leur offrant un accès à la nature auparavant inaccessible, mais aussi la dynamique sociale. C’est pourquoi il est crucial de concevoir le projet dans sa globalité.

Pourquoi avons-nous tant de mal à faire cette transition ?

Éric Daniel-Lacombe : Parce que la division du travail, tant technique que bureaucratique, impose d’additionner des points de vue étroitement spécialisés pour résoudre des problèmes globaux, autant culturels que naturels.

Isabelle Thomas : Je crois que le principal obstacle réside peut-être dans le déni. Depuis 2005, je travaille sur ces questions et peut-être que nous manquons d’une prise de conscience suffisamment forte concernant les grands enjeux. Nous avons également été malheureusement absorbés par les défis posés par la COVID-19, ce qui a mis en arrière-plan les enjeux liés aux extrêmes climatiques. Il ne faut pas attendre les catastrophes pour réagir, mais plutôt les anticiper. Il faut comprendre qu’en développant un environnement bâti résilient, nous pouvons aussi répondre à d’autres problématiques, telles que des enjeux de santé mentale pendant une pandémie, en offrant un accès à des espaces verts de qualité par exemple.

La lenteur du changement est liée à la difficulté inhérente à tout processus de changement. Cette résistance s’observe à tous les niveaux de gouvernance. Des prises de position sont nécessaires, depuis le niveau de l’État fédéral  jusqu’aux niveaux provinciaux. Un exemple concret est l’expérience du Canada où des réflexions s’orientent vers l’adaptation et les assurances. Parfois, les chocs tels que les tempêtes Xynthia en France ont conduit à des prises de position plus fermes. Ces chocs peuvent faciliter le déblocage de fonds et encourager un changement de comportement.

Ce changement de comportement doit être valorisé, car il nécessite un courage politique considérable. Prenez par exemple le quartier Matra en France, en collaboration avec le maire de Romorantin. Ces démarches exigent du courage politique pour prendre des risques calculés. En prenant ces risques, nous devenons des pionniers qui, peu à peu, dévoilent les avantages. Cependant, il est primordial de s’assurer que les personnes âgées et les populations vulnérables ne soient pas laissées de côté. Il est essentiel de promouvoir l’équité, un élément crucial pour façonner le futur.

Dans cette perspective, les diagnostics sont nécessaires. Nous pouvons commencer par là, en utilisant des méthodes de diagnostic de risque, d’aléa, de vulnérabilité, et ainsi de suite. Ensuite, nous pouvons progresser vers la mise en place de stratégies d’adaptation et d’aménagements résilients.

Dans notre combat contre le réchauffement climatique négligeons nous trop la part d’adaptation au changement ? 

Éric Daniel-Lacombe : Certes elle est complétement négligée. La recherche de protection individuelle, le château fort climatique, est un fantasme qui met seulement en lumière l’espoir vain de maintenir nos modes de vie inchangés, et fait obstacle à la construction collective par toute la société de nouvelles cultures.

Isabelle Thomas : Tout à fait, et je pense que c’est également un indicateur de la progression lente dont tu parlais. Au départ, lorsque nous évoquions les plans climat, lors de rencontres et discussions au Québec, il y avait une focalisation sur les émissions de gaz à effet de serre. Bien sûr, cela est nécessaire de les diminuer, mais nous ne pouvons pas nous limiter à cela. Il aurait été essentiel dès le début de s’engager dans l’adaptation. À présent, nous constatons que cette vision évolue considérablement. Les villes résilientes émergent, les municipalités se positionnent en fonction de cette perspective. Je suis convaincue que les véritables municipalités gagnantes sont celles qui parviennent à concilier les deux approches. Travailler sur la marchabilité, promouvoir la mobilité active dans un quartier, développer la canopée pour réduire les îlots de chaleur et simultanément s’engager dans l’adaptation. Les projets qui réunissent ces deux aspects sont ceux qui obtiennent les avantages mutuels, les co-bénéfices.

L’adaptation représente une action fondamentale. Cela démontre également à chacun qu’il peut apporter une différence. C’est pourquoi notre emblème, pour l’équipe ARIACTION est le colibri. Chacun peut faire sa part. Ce qu’il faut du courage politique, du leadership et une volonté de changement, mais aussi du soutien. Dire à un citoyen qu’il doit s’adapter parce qu’il vit en zone inondable est une chose, mais lui fournir les moyens et les ressources nécessaires en est une autre. Cela implique des programmes, un suivi, et une assistance concrète.

C’est très important de travailler dans chaque spécialité sur de l’innovation. Mais la plus grande force, c’est quand on travaille en équipe. Le nerf de la guerre, c’est le financement, mais c’est réussir aussi à ouvrir sur l’idée qu’on y gagne collectivement en s’y mettant tous. L’interdisciplinarité, elle est nécessaire et ce jusqu’aux médias. Plus on parle des projets réussis plus cela incite à les reproduire. C’est comme ça qu’on lancera une transformation qui réussira, aussi, à inclure les plus vulnérables et à construire une culture de la résilience.

Éric Daniel-Lacombe : Les hommes ont appris à vivre dans les montagnes, en dépit du froid, de la neige et des avalanches depuis la nuit des temps. Il faut permettre à un nombre croissant de nos contemporains d’apprendre à leur tour comment vivre dans leurs régions avec le nouveau climat, les nouveaux insectes, les nouvelles restrictions alimentaires sans les effrayer en permanence par des images de catastrophe. La peur ne favorise par l’audace qui permet l’invention de conduites adaptées et de nouvelles voies de la création architecturale. Tout au contraire il faut faire découvrir d’une manière nouvelle les beautés de la nature, en même temps que la prudence vis-à-vis des dangers qu’elle recèle. L’architecte a donc, à mon sens, pour responsabilité d’assurer l’ouverture en même temps que l’abri. L’architecture que je dessine est un abri assurant à la fois la sécurité de ses occupants et leur conscience du risque, un abri ouvert sur le développement d’une culture du soin pour la nature.

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Immobilier Logements neufs: les réservations en baisse de près de 40% sur un an

Les réservations de logements neufs auprès des promoteurs immobiliers ont chuté de 39,9% au deuxième trimestre 2023, selon les statistiques provisoires du ministère de la Transition écologique publiées ce jeudi.

Avec 18 000 logements réservés, la commercialisation enregistre un cinquième trimestre de baisse consécutif. Le niveau de réservations est également inférieur à celui connu au plus fort des effets de l’épidémie de Covid-19: -18% par rapport au deuxième trimestre 2020. Ce repli est plus fort pour les maisons (-44,9% sur un an et -16,3% par rapport au trimestre précédent) mais concerne aussi les appartements (-39,5% sur un an et -10,1% par rapport au trimestre précédent).

Baisse des mises en vente

Les promoteurs pâtissent d’un contexte économique très défavorable, pris entre la hausse des coûts de construction et les difficultés d’accès au crédit pour les acquéreurs. La diminution, annoncée par le gouvernement, des aides à la construction neuve, avec la suppression programmée de la niche fiscale Pinel et le recentrage des prêts à taux zéro, inquiète aussi dans le secteur.

Les mises en vente, qui représentent l’offre nouvelle des promoteurs, tombent à 21 000, avec une baisse de 10,3% en un trimestre et de 29,5% sur un an. La baisse des réservations concerne particulièrement les zones les plus denses qui restent peu dynamiques, alors que la zone C, qui comprend les petites communes, se singularise par une progression de mises en vente de 15,7%.

Ainsi les niveaux des mises en vente et des réservations retrouvent leur niveau d’avant crise sanitaire. Le niveau de l’encours des logements dans cette zone est en constante augmentation depuis le début 2022: il atteint désormais 9 000 logements.

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Locations étudiantes : le marché toujours tendu à La Roche, quelques pistes pour se loger

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Transports, logement… En 2018, le coût de la vie étudiante augmente de 1,31% selon les chiffres de l’Unef dévoilés lundi 20 août 2018.
Se loger n’est pas facile en Vendée, d’autant plus lorsqu’on est étudiant. La collocation ou la location intergénérationnelle peuvent être des solutions. ©Adobe Stock/Illustration

« Le marché du logement étudiant est corollaire au marché », explique Antoine Vercelletto, président de la Chambre FNAIM Pays de la Loire (Fédération nationale de l’immobilier).

Et le constat est sans appel : « On a une forte baisse du nombre de mandats en location. » 

Les prix de l’immobilier s’étant envolés, il est plus difficile d’acheter, donc des gens restent locataires. Il y a donc moins de turn-over. Selon lui, il n’y a pas, non plus, assez de construction.

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Antoine Vercelletto ressent également une diminution du nombre d’investisseurs pour du locatif.

Tous ces éléments mis ensemble aboutissent à un constat clair :

La difficulté de logement était déjà prégnante, mais ça s’accentue aujourd’hui.

Antoine Vercelletto, président de la Chambre FNAIM Pays de la Loire

Spécifiquement pour les étudiants : « L’offre et la capacité du Crous [Centre régional des œuvres universitaires et scolaires] n’ont pas été en adéquation avec la hausse du nombre d’étudiants et le développement des structures d’enseignement. »

S’y prendre à l’avance

Une chose est sûre, lorsqu’on est étudiant, mieux vaut s’y prendre à l’avance, si l’on souhaite être certain de pouvoir se loger.

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Mai-juin est la meilleure période : de nombreux étudiants rendent leur appartement à ce moment-là. Il y a donc plus de disponibilités.

Dès qu’on sait la ville, il faut s’occuper du logement.

Antoine Vercelletto

Une fois le constat d’un marché de la location toujours tendu, étudions les pistes.

La première : aller dans des petites communes situées aux alentours. Pour Antoine Vercelletto, c’est une fausse bonne idée.

Pourquoi ? Déjà parce qu’il faut vérifier les transports, qu’il s’agisse de la desserte ou des coûts. Ces derniers mettent à mal cette solution.

Si on a une voiture personnelle, là encore, le prix du carburant a explosé…

La collocation, une bonne idée

Autre difficulté : la Vendée étant attractive et comptant beaucoup d’entreprises, les logements dans les villes plus petites, particulièrement celles où il y a de grandes entreprises, sont pris d’assaut par les salariés.

Deuxième idée : la collocation. Pour le président de la chambre FNAIM Pays de la Loire, c’est plutôt une bonne idée.

La réglementation a bien évolué. C’est plutôt bien encadré et identifié. C’est rentré largement dans les mœurs.

Antoine Vercelletto

Troisième idée : la location intergénérationnelle. « On va y revenir. »

Le principe est simple, il consiste pour un étudiant, à louer une chambre chez une personne retraitée. Cela peut permettre de rompre l’isolement de la personne âgée et/ou de l’étudiant, si celui-ci est éloigné de sa famille.

L’investissement, une bonne idée ?

Enfin, une quatrième solution, et qui est approuvée par Antoine Vercelletto : investir.

Cela consiste, pour les parents, à acheter pour loger ses enfants étudiants, et à terme, éventuellement mettre l’appartement en location.

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Il y a un peu plus de biens à vendre, donc des investisseurs peuvent être plus incités. Il est ici intéressant de comparer le montant de la mensualité que représenterait un achat avec le loyer moyen.

Malgré un marché de la location tendu, en particulier pour les étudiants, certaines pistes peuvent être intéressantes à observer.

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Suèvres (41500) – Actualités

Quelques chiffres à la loupe concernant les habitants de Suèvres

En 2018, on estimait à 1 641 le nombre d’habitants de Suèvres répartis sur 36,78 km² de superficie. Ainsi, sa densité était de 44,6 habitants/kilomètre carré. Parmi les villes du département du Loir-et-Cher, cette municipalité occupait donc la 86e position pour ce qui est de la densité de population.

Découvrez quelques informations pratiques sur le logement à Suèvres

D’une superficie de 36,78 km², Suèvres comptabilise actuellement environ 1 600 habitants et 841 logements. La densité de logement et la densité de population de la localité sont assez basses : 44,6 hab/km² et 0,2 log/ha. Elles sont toutes deux inférieures à celles du département (51,4 habitants par km² et 0,3 log/ha).

Découvrez quelques informations pratiques sur la répartition du parc immobilier de la municipalité

On dénombre actuellement une plus grande part de propriétaires que de locataires au sein de la ville. Environ 83,9 % des résidences principales sont occupées par des propriétaires pour 16 % occupées par des locataires (dont 1 % à titre gracieux). Parmi les habitations de Suèvres, 5,1 % sont des résidences secondaires, 10,7 % des logements vacants et il y a 84,1 % de résidences principales. Par ailleurs, les logements sociaux représentent 1,6 % de ces dernières. La majorité des ménages de la localité ont emménagé il y a plus de 30 ans.

Découvrez les chiffres clés de la distribution des pièces des logements de la ville

Les logements de la municipalité sont en très grande majorité des maisons (96,1 %). Ce sont essentiellement des maisons familiales de 4 pièces (25,9 % du nombre total de maisons) ayant une superficie généralement comprise entre 80 et 100 m². On trouve également de nombreuses maisons de 6 pièces et plus (24 %). Elles ont, pour la plupart, plus d’un siècle (construites avant 1919). Les appartements, moins nombreux (30), sont principalement composés de 3 pièces. Leur surface moyenne est le plus souvent comprise entre 40 et 60 m². Les appartements datent pour la plupart d’entre 1991 et 2005.

Découvrez les chiffres clés de l’imposition sur le revenu à Suèvres

On recense un total de 864 foyers fiscaux à Suèvres. Près de 43,6 % de ces derniers sont non imposables. Ce taux est plus faible que celui du Loir-et-Cher qui est de 50,3 %. Le revenu annuel médian des habitants de Suèvres s’élève à 22 620 €, soit 690 € de plus que celui du pays. Les habitants s’acquittent en moyenne d’un impôt sur le revenu de 1 785 € par foyer fiscal. Ce dernier est donc plus élevé que celui du département qui s’élève à 1 266 €. Par ailleurs, 319 foyers déclarent percevoir une pension ou une retraite.

Quelques chiffres à la loupe concernant l’emploi à Suèvres

À Suèvres, le taux d’activité était de 78,95 % au 31 décembre 2018 : on recensait en effet 1 007 habitants de 15 à 64 ans, parmi lesquels 795 étaient actifs. C’est 7,05 points de plus que dans l’ensemble de la France, où le taux d’activité s’élevait à 71,9 %.

Le taux de chômage de la municipalité atteignait 6,79 %, 54 actifs étant en situation d’inemploi. En proportion, il y avait alors moins de chômeurs qu’à l’échelle de l’Hexagone, où le taux de chômage était de 9,1 %.

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APPEL À TÉMOIGNAGES. Vous galérez à trouver une location immobilière? Racontez-nous

l’essentiel Dans le cadre d’un dossier consacré à la crise du logement en France, La Dépêche du Midi cherche à contacter des personnes qui connaissent des difficultés à trouver un logement en location et qui souhaitent raconter leur expérience.

Garanties de plus en plus importantes, présélection avant visite, pénurie de biens locatifs, il est de plus en plus compliqué de trouver une location. Afin de réaliser un dossier sur le sujet, la Dépêche du Midi cherche des témoignages liés à ce sujet. Si vous souhaitez partager votre expérience, il suffit de remplir le formulaire suivant, l’anonymat est garanti. (Si vous ne voyez pas le formulaire, pensez à désactiver votre bloqueur de publicités)

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