Clément Michaud, 49 ans, est nommé directeur des assurances collectives de Crédit Agricole Assurances et directeur général de Crédit Agricole Assurances Retraite. Il occupait depuis 2017 le poste de directeur financier de l’assureur. Gaël Amblard, 53 ans, devient directeur général adjoint de Pacifica, et intègre à ce titre le comité exécutif de Crédit Agricole Assurances. Gaël Amblard était le directeur adjoint depuis 2020 de la Caisse régionale Loire Haute-Loire.
Clément Michaud commence sa carrière en 2000 chez Gemini Consulting dans les domaines de la banque et des télécoms, puis au Boston Consulting Group pour des missions de conseil en stratégie, organisation et finances. En 2007, Clément Michaud intègre Axa au poste d’auditeur stratégique. En 2010, il est nommé directeur des finances de la ligne assurance dommages du groupe Axa puis s’occupe d’Axa Pologne en 2013 comme directeur des finances et comme directeur général par intérim en 2016. Clément Michaud est membre du Comité exécutif de Crédit Agricole Assurances.
Gaël Amblard a réalisé sa carrière à Crédit Agricole Assurances, aux caisses régionales de Haute Normandie et de Normandie Seine dans l’animation commerciale, le marché des particuliers et l’immobilier. En 2013, il rejoint la Caisse régionale des Savoie en tant que directeur des entreprises et de l’international.
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À l’occasion des Journées du patrimoine, Sabarot ouvrira exceptionnellement et gratuitement ses portes au grand public, les vendredi 15 et samedi 16 septembre.
Durant deux jours, les visiteurs auront la possibilité de découvrir l’entreprise familiale spécialiste depuis plus de 200 ans des légumineuses, des céréales et des champignons. Tour de tri, conditionnement, atelier champignons secs et magasin grande hauteur sont au programme. Des dégustations sont également prévues.
Attention, les visites se feront uniquement sur inscription. De plus, s’agissant d’une usine agro-alimentaire, certaines règles sanitaires sont également à prévoir : porter des chaussures fermées ; avoir les jambes couvertes (pas de jupes, ni de shorts) ; ne porter aucun bijou (aucune bague, pas de boucles d’oreilles, ou de collier…) ; ne pas apporter d’affaires personnelles (pas de sacs à main, sac à dos…). Une charlotte et une blouse seront fournies à l’entrée du bâtiment.
Entreprise Sabarot, ZI La Combe, 2 rue des Perdrix à Chaspuzac. Durée de la visite : une heure. Informations et inscriptions sur www.sabarot.com
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Au premier trimestre 2026, si le calendrier prévisionnel est respecté, 108 nouveaux logements seront livrés en bordure de la rue de Nantes à Pornic (Loire-Atlantique), en lieu et place de cinq maisons et jardins actuels, sur une emprise de 6800 m2.
Le permis de construire du futur ensemble de cinq bâtiments, aujourd’hui en cours d’instruction, a été déposé en juillet 2023.
« C’est un boulevard »
Le promoteur immobilier, Les Nouveaux constructeurs, est venu présenter publiquement son projet aux riverains, jeudi 31 août, à la maison des associations. Ils étaient près d’une quarantaine à poser de nombreuses questions, surtout sur l’avenir de la fréquentation routière, rue de Nantes.
Ce projet immobilier prévoit 153 places de stationnement dont 126 en sous-sol. Les riverains redoutent alors un afflux de voitures sur cet axe déjà très fréquenté.
Le projet en détails
Ce projet prévoit 40 logements à vocation sociale, dont 16 en accession aidée (bail réel solidaire, BRS) et 28 logements sociaux à vocation senior (T2 et T3), ainsi que des logements en accession libre (T3 au T5). Le tout pensé par le cabinet Asa Gimbert, de Guérande, qui a voulu faire une « greffe architecturale » pour coller au style balnéaire de Pornic, « avec de la fantaisie, des balcons ou des loggias pour chaque logement ». Des logements en rez-de-chaussée, au premier étage ou en double attique, sur 13 mètres de hauteur au maximum. Ce qui a aussi inquiété certains riverains concernant les éventuels vis-à-vis à venir. Côté paysage, le projet se veut travaillé là aussi, avec la coupe de huit arbres posant des difficultés sur la quarantaine d’arbres présents sur la parcelle. Le permis de construire est attendu au cours du 4e trimestre 2023, pour un début de chantier envisagé en septembre 2024.
« Les gens arrivent tellement vite qu’on a peur de se faire découper, témoigne l’un des riverains. C’est un boulevard. Qu’allez-vous faire ? Mettre un radar, un feu rouge ? »
Un autre estime que l’entrée et la sortie de la résidence seront « impossibles, il faudra un rond-point ». « J’ai payé les pots cassés, j’ai subi un accident », ajoute une riveraine.
« Ce qui est aujourd’hui au plan n’est pas la solution définitive, mais cela permet toutes les évolutions, a répondu Sylvain Auvray, de City-Néo, entreprise qui assiste le promoteur en recueillant les diverses remarques des riverains.
Il pourrait être possible, par exemple, de réaliser un accès à sens unique avec une sortie par l’allée des Sorbiers Le Clion, ou bien d’autres possibilités. La voirie sera ensuite rétrocédée à la Ville, elle sera donc publique. On va traiter les problèmes. Vous aurez 100 voisins de plus. On est dans un mode collaboratif, il faut que cela se passe le mieux possible.
Des participants à la réunion évoquent l’aménagement de la rue : « On nous a empêchés de végétaliser devant notre maison. Aujourd’hui, on descend une marche pour rentrer chez nous, d’autres en ont plusieurs, c’est un peu compliqué. »
« L’idée n’est pas de nier les problèmes »
Autre sujet lié : le raccordement à la Route bleue, avec des difficultés pour entrer dans la ville au niveau du Chaudron, avec parfois la formation de bouchons sur la quatre voies.
« La question des accès depuis la Route bleue est une question posée depuis de nombreuses années par la commune de Pornic au Département, a indiqué une technicienne de la commune lors de la réunion. On a tenté de réfléchir à ces problématiques d’accès et à l’amélioration des traversées. L’idée n’est pas de nier les problèmes. On n’arrive pas à obtenir de nouvelles études pour la sécurisation des échangeurs. »
Une riveraine souhaite « un feu à déclenchement automatique, et non pas un radar pédagogique qui ne sert à rien. » Elle ajoute : « Il faut aussi des bandes blanches à effet d’optique. »
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Un manque de logements à Pornic
Reste que Pornic manque de logements, sociaux en particulier (700 demandes en attente), et que la commune veut garder son cap et créer 200 nouveaux logements par an, via de nouveaux petits collectifs.
Mais un autre riverain prévient : « On essaie de moderniser, sans prendre en compte les capacités d’accueil. On fait tout et n’importe quoi. C’est l’appât du gain au détriment de la sécurité publique. Des gens mettent en vente, car ils sont dans l’insécurité totale. »
Il regrette aussi un « manque d’information » sur le Plan local d’urbanisme au moment de sa révision.
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Si si, il y a aussi des habitants rue du Port, au Mans (Sarthe). Ils seront même plus nombreux dans quelques mois, à l’achèvement de la résidence Républica. Sur cette parcelle de 550 m2, le pari est de construire des logements et des places de stationnement. Le promoteur Écovivre s’est attelé à la réalisation de douze appartements familiaux : un T2 de 55 m2, quatre T3 de 63 à 73 m2, sept T4 de 77 à 84 m2. Le rez-de-chaussée de ce bâtiment R + 4 sera occupé par l’étude notariale, déjà installée dans la maison voisine.
Mancelle d’habitation, acquéreur de l’ensemble immobilier, proposera les douze logements à des locataires ne pouvant prétendre à des loyers du niveau HLM, mais qui ne disposent pourtant pas des revenus suffisants pour se loger dans le privé. Un tout petit appel d’air pour le bailleur qui peine à satisfaire les nombreuses demandes de logements. « Actuellement, se loger dans le privé coûte cher, alors les gens ne bougent plus et c’est l’embolie », observe Yves-Marie Hervé, directeur général de Sarthe habitat. À l’échelle de la communauté urbaine, 9 000 demandes de logements seraient en attente auprès des divers bailleurs sociaux, rappelle Christine Poupineau, élue déléguée au logement et à l’urbanisme.
Frappé par l’explosion du coût des matières premières, le chantier a pris du retard, les travaux n’ayant débuté qu’en avril. La livraison du bâtiment, espérée en début d’année 2025, supprimera une dent creuse dans cette artère très fréquentée le soir. Une satisfaction pour Christophe Counil, élu chargé de l’urbanisme et de la politique durable : « Les terrains à construire vont devenir rares dans les zones périurbaines. Au Mans, nous maintenons notre volonté de reconstruire la ville sur elle-même. » Pendant des années, l’emplacement a compté une discothèque, jusqu’à ce qu’un incendie, le 25 décembre 2009, détruise la boîte de nuit et deux établissements de restauration rapide.
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Découvrez les chiffres clés des habitants de Charly
En 2018, Charly avait une population de 247 habitants sur un territoire s’élevant à 26,14 kilomètres carrés. Sa densité de population atteignait donc 9,4 habitants par km². Pour ce qui est de la densité de population, cette ville occupait alors le 181e rang parmi les localités du département du Cher.
Quelles sont les caractéristiques du logement à Charly
On comptabilise 247 habitants répartis sur 26,14 km² à Charly. Ils se partagent les 168 logements de la localité. La densité résidentielle et la densité de population de la ville sont très basses : 9,4 hab/km² et 0,1 log/ha. Elles sont toutes deux inférieures aux moyennes départementales (0,2 log/ha et 41,5 habitants par km²).
Découvrez les chiffres clés de la répartition du parc immobilier de la municipalité
À Charly, on dénombre bien plus de propriétaires que de locataires. Environ 20,7 % des résidences principales sont occupées par des locataires (dont 3,6 % à titre gratuit) alors que 79,3 % sont occupées par des propriétaires. Parmi les habitations de la ville, 13,7 % sont des logements vacants, 20,2 % des résidences secondaires et 66,1 % des résidences principales. Par ailleurs, 1,8 % de ces dernières sont des logements sociaux. La majorité des 111 ménages ont emménagé il y a entre 10 et 19 ans au sein de la municipalité.
Quelles sont les caractéristiques de l’aménagement intérieur des logements de la municipalité
Parmi les logements de Charly, on trouve une très grande majorité de maisons (98,8 %). Les maisons familiales de 6 pièces et plus sont les plus nombreuses. Elles représentent 31,3 % de celles-ci et ont une surface principalement supérieure à 120 m². On trouve également de nombreuses maisons familiales de 5 pièces (24,7 %). Elles sont, pour la plupart, anciennes (construites avant la Première Guerre mondiale). Les appartements, en ce qui les concerne, sont beaucoup moins nombreux ; ils sont principalement composés de 3 pièces. Le plus souvent, leur surface est comprise entre 60 et 80 m². Les appartements datent pour la plupart d’entre 1919 et 1945.
Caractéristiques de l’impôt sur le revenu à Charly
Charly décompte un total de 139 foyers fiscaux. Près de 54,7 % de ces derniers sont non imposables, contre 50,8 % dans le département et 50,2 % au niveau national. Le revenu médian des habitants de Charly se chiffre à 21 770 € annuels, soit 680 € de plus que celui du Cher. L’impôt sur le revenu des habitants est en moyenne de 654 € par foyer fiscal. Ce dernier est donc plus faible que celui du département qui s’élève à 1 184 €. Par ailleurs, 74 foyers (soit 53,2 %) ont déclaré percevoir une pension ou une retraite.
Caractéristiques et informations pratiques à propos de l’emploi à Charly
Sur les 131 habitants âgés de plus de 15 ans que comptait Charly en 2018, 100 étaient actifs, le taux d’activité s’élevait donc à 76,34 %. C’est 4,44 points de plus que dans l’ensemble de la France, où le taux d’activité était de 71,9 %.
On recensait 16 chômeurs parmi la population active de la municipalité, ce qui représente un taux de chômage de 16 %. Il y avait alors un très fort écart avec les statistiques sur l’ensemble du territoire national, qui affichait un taux de chômage de 9,1 %.
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Propriétaires frileux face aux colocations étudiantes, tarifs des loyers qui s’envolent, les étudiants avec un budget serré perdent espoir. Trouver un appartement étudiant sur Rennes est un parcours du combattant. Témoignages.
Ils ont entre 19 et 20 ans, sont étudiants à Rennes et s’épuisent à chercher leur premier logement. Romane et Manolo rêvent d’un appartement en colocation ou en solo mais leur budget loyer de 400 euros par personne ne leur permet pas de trouver à se loger à Rennes. “J’ai commencé mes recherches début mai, au moment où les appartements étudiants se libèrent” soupire Romane, “nous sommes en septembre et je n’ai eu que des refus”.
“550 euros pour mon loyer étudiant, c’est trop.”
Romane, étudiante en Master à Rennes
La capitale de la Bretagne est une ville étudiante dont le marché locatif est particulièrement difficile. “Le marché est connu pour être vraiment tendu, surtout en cette période de rentrée universitaire” appuie un responsable d’agence immobilière du centre-ville.
Tellement tendu que Romane, en master de puéricultrice après son diplôme d’infirmière, doit rester vivre chez ses parents près de Rennes. “J’ai travaillé à temps plein tout l’été dès le lendemain de l’obtention de mon diplôme d’infirmière” s’impatiente la jeune femme de 20 ans. “J’ai gagné 2000 euros par mois en juillet et en août. Je mets de côté, mais je ne peux pas mettre 550 ou 600 euros dans un loyer. C’est trop”.
La jeune femme ne reçoit pas d’aide financière de sa famille. “Mon budget n’est pas illimité. Entre les frais d’inscription en master, l’école, les repas et quelques sorties, mon loyer doit être limité à 400 euros”. Avec ce budget soit les appartements de Rennes “font tout juste 9m2 et ne sont pas en bon état” ou sont des chambres chez l’habitant. Romane qui continue de travailler comme infirmière, en plus de sa formation, ne souhaite pas partir de chez ses parents pour vivre ailleurs qu’en colocation. “Pour m’en sortir financièrement, je dois partager les frais d’appartement avec des amis et cela me rassure de ne pas être seule chez moi”.
Manolo, 19 ans, est en contrat de formation avec l’hôpital Pontchaillou. Le jeune homme termine sa dernière année de formation comme infirmier et est déjà assuré d’un poste au CHU de Rennes dès la fin de ses études. Salaire net promis autour de 2000 euros net dès la fin de l’année scolaire. Pour lui aussi, trouver à se loger est une galère. “Je n’y crois plus. Je sens que je n’arriverai pas à me loger tant que je n’ai pas de CDI”.
Je n’y crois plus. Je sens que je n’arriverai pas à me loger
Manolo, étudiant en dernière année d’infirmier à Rennes
Comme Romane, Manolo ne peut pas mettre plus de 400 euros par mois dans son loyer.
“Bien sûr ceux qui peuvent mettre 600 euros ou plus dans un loyer finissent par trouver” commente le jeune homme obligé de rester vivre chez ses parents. “C’est exaspérant, quand on n’a pas cette somme, on est bloqué”. Comme Romane, Manolo a revu à la baisse ses exigences immobilières. “Je n’ai même plus aucune” plaisante Romane. “Au début dans la colocation de mes rêves, je voulais une chambre par personne, un salon comme pièce de vie et être proche du centre. À trois, pour 1200 euros de loyer, nous n’aurons pas mieux que deux chambres et un salon transformé en troisième chambre dans un quartier de la ville”.
La lutte au meilleur dossier est rude. Même si ces deux étudiants ont la promesse d’embauche et de rester sur la durée à Rennes, les propriétaires favorisent toujours des candidats avec des revenus personnels ou familiaux plus importants.
“Les propriétaires ne souhaitent pas de colocation” certifie un directeur d’agence immobilière rennaise. “Les expériences sont trop souvent mauvaises. Les jeunes promettent toujours d’être des anges mais quelque temps après, trop souvent, les colocations perturbent la vie des copropriétés”.
Beaucoup de propriétaires à Rennes sont échaudés par les colocs et demandent aux agents immobiliers de trouver des familles pour le marché des T3 ou T4.
Exception à cette règle, le quartier de Villejean où se trouve la faculté de Rennes 2. “Des immeubles complets se sont transformés en résidence universitaire privée. Il n’y a que des colocations et les rares propriétaires résidant vendent leurs appartements, désabusés par le bruit…” souffle un agent immobilier rennais.
Sur le marché du particulier à particulier, les prix peuvent devenir très très élevés.
Un agent immobilier sur Rennes
Le prix moyen d’une petite surface à Rennes est de 350 euros pour un 9m2 ou 450 euros pour un T1 quand on passe par une agence, analyse un professionnel de l’immobilier. “Sur le marché du particulier à particulier les prix peuvent devenir très très élevés, indécents, j’ai vu des 19m2 à 600 euros” lâche cet expert du marché rennais. “Des étudiants se font avoir car ils n’ont pas le choix”.
Rennes est confronté à une hausse du nombre d’étudiants chaque année. En face, le nombre d’appartements qui se louent sur les plateformes comme AirBNB augmente. “Cela réduit d’autant le parc locatif étudiant” s’alarme Ulysse David, vice-président du syndicat étudiant FAHB. Autre problème les places au CROUS ne suivent pas la demande. “Chaque année le taux de renouvellement des chambres au CROUS baisse. Les étudiants qui obtiennent une place gardent leur chambre l’été pour l‘année suivante et cela ne permet pas de prendre des nouveaux dans le besoin” assure celui qui est également élu au CROUS Bretagne.
Manolo et Aurore continuent leurs recherches de logement. Le jeune homme se promet de réussir ses études au plus vite pour intégrer l’hôpital et enfin avoir une vie sociale épanouie.
“Le CHU me finance mes études contre un CDI à la sortie, je pourrai alors me loger et sortir sur Rennes. Aujourd’hui pour sortir en ville, je dois dormir chez des amis, mais je sens que ma présence régulière perturbe la vie de ceux qui m’accueillent”.
Lueur d’espoir, l’arrivée du mois d’octobre. “Chaque année, des appartements se libèrent de nouveaux fin septembre, début octobre. Des étudiants se trompent de voie ou arrêtent et remettent leurs logements sur le marché de la location” confie un agent immobilier du centre-ville de Rennes.
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Il figure dans le top 10 des plus importants aménageurs français. Mais son travail de l’ombre ne le met pas souvent sur le devant de la scène, contrairement aux constructeurs et promoteurs… Pourtant, Viabilis réalise l’aménagement foncier de nombreux projets depuis 2004, pour des terrains à bâtir libres de constructeur ou des logements collectifs de toutes tailles. Siégeant à Saint-Grégoire, l’entreprise peut se targuer de voir livrés plus de 700 logements par an, pour lesquels elle a réalisé en amont la mise en valeur des terrains. « Nous avons à ce jour plus de 70 programmes en cours de commercialisation, et plus de 200 en cours d’étude, uniquement sur du logement », indique Arnaud Gotreau, président de Viabilis, qui affiche aujourd’hui une ambition nationale doublée d’une diversification.
Aujourd’hui seul à la tête du groupe, le chef d’entreprise a démarré l’aventure de Viabilis avec son père, il y a près de vingt ans. « Mon père gérait une entreprise de travaux publics. Il s’est posé la question de la succession, et lorsqu’il l’a cédée, nous avons uni nos compétences pour nous lancer dans l’aménagement foncier. C’était le trait d’union entre nous : lui avec son expertise travaux, moi avec mes études de droit », raconte Arnaud Gotreau. Le duo familial réalise ses premiers projets en Ille-et-Vilaine, puis rapidement en Loire-Atlantique (2007) et Picardie (2008), « uniquement par opportunité », poursuit le dirigeant.
Ouverture d’agences de proximité en régions
L’essentiel des programmes réalisés reste alors bretillien. Peu à peu, Viabilis remporte quelques projets sur une zone allant des Hauts-de-France au Centre-Val-de-Loire en passant par la Normandie. Et il y a cinq ans, l’aménageur tente de se développer au-delà : il commence à prospecter en Nouvelle-Aquitaine, Rhône-Alpes, Occitanie et PACA. « Cette année, nous nous étendons aussi sur le Grand Nord-Est, de Lille à Strasbourg », confie Arnaud Gotreau. Pour le chef d’entreprise, il s’agit de bâtir « un maillage global du territoire national. » Mais les marchés ne s’abordent pas de la même manière selon les territoires. Il a donc besoin d’ancrer ses équipes en local, pour créer des relations de proximité comme cela a pu fonctionner à Rennes. « Nous avons une ambition nationale tout en souhaitant garder un ancrage territorial fort. Pour accompagner notre croissance, nous avons décidé d’ouvrir des bureaux partout en régions, en structurant nos équipes. » Arnaud Gotreau est épaulé dans sa stratégie de développement par son directeur général, François Gueguen, et son directeur opérationnel, Erwan Dumont.
Une équipe étoffée
Viabilis mise sur le terrain. Après avoir recruté des développeurs fonciers en régions, il structure ses équipes en ouvrant actuellement des bureaux en Nouvelle-Aquitaine, Occitanie, Centre-Val de Loire, Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur et dans le Nord-Est. Des postes de fonctions support y sont ainsi créés dans chaque bureau (responsables de région, chefs de projets urbanisme, commerciaux, fonctions techniques…). De 70 collaborateurs fin 2022, le groupe compte déjà 10 salariés de plus depuis début 2023, atteignant un effectif de 80 personnes. Viabilis mise aussi sur « l’excellence du marché rennais, indique Arnaud Gotreau. Ici, le marché est très particulier. C’est un laboratoire sur la mixité sociale et sur les sujets environnementaux. Rennes Métropole est pointu et précurseur là-dessus. Notre objectif est de dupliquer ailleurs ce qui fonctionne chez nous. »
Diversification vers la promotion
Cette ambition pour l’activité d’aménageur est doublée d’une ambition de diversification. « L’évolution de notre métier nous mène vers plus de densité. Avec la ZAN (Zéro Artificialisation Nette), nous devons optimiser les terrains sur les formes d’habitat, sur le social, etc. Pour répondre de manière plus globale, nous intégrons une activité de promotion immobilière, qui est une activité connexe et complémentaire de l’aménagement. Nous avons cette demande et c’est le sens de l’histoire », explique Arnaud Gotreau. Mais le marché de la promotion est hypercompétitif à Rennes, où les acteurs sont très nombreux, avec des entreprises familiales très ancrées et des groupes régionaux puissants notamment. Là encore c’est une spécificité de terrain. Et c’est pour cela que Viabilis a commencé par lancer des programmes en dehors de l’Ille-et-Vilaine ! « Avant de prétendre devenir une référence, nous voulons faire nos preuves hors de Rennes, indique le dirigeant. Nous travaillons depuis trois ans au lancement de cette nouvelle activité, car la promotion est un travail au long cours. Nous sortons donc tout juste nos premiers programmes ». C’est ainsi en Normandie, à Verson (Calvados) que le tout nouveau promoteur a livré sa première résidence de 26 logements. Une deuxième opération, constituée de 47 logements du T2 au T4, démarre aussi à Carpiquet, toujours dans le Calvados.
Doubler d’ici à trois ans
L’objectif pour Viabilis est d’optimiser les fonciers d’aménagement. « Nous sommes désormais promoteur et aménageur. Pour nous différencier, nous essayons d’être réactifs, plus innovants, plus souples. Notre petite taille nous donne ces capacités », explique Arnaud Gotreau. Viabilis Construction (nom de la nouvelle structure dédiée à la promotion) vise ainsi notamment des projets avec plus de mixité et de densité. Il met en avant son savoir-faire en adaptation des terrains et en connaissances sur la limitation de l’impact carbone. À terme, il s’agit pour Viabilis de proposer une offre plus globale, et d’équilibrer ses activités aménagement foncier et promotion immobilière. Le groupe, qui réalise actuellement autour de 50 millions de chiffre d’affaires (fluctuant en fonction des programmes réalisés), a doublé ces cinq dernières années. « Pour les trois ans qui viennent, nous imaginons encore multiplier par deux notre chiffre d’affaires… sous réserve du contexte économique », confie Arnaud Gotreau.
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La bulle immobilière post-Covid se dégonfle dans la cité girondine. Les prix sont désormais en nette baisse et les acheteurs négocient plus fermement. Découvrez la carte des tarifs immobiliers à Bordeaux, quartier par quartier.
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sSi l’immobilier bordelais a commencé à tourner au ralenti dès 2022, les propriétaires viennent tout juste de se résigner à la nouvelle donne. «Ils ont constaté la réalité de la baisse de la demande et compris que des biens proposés trop chers ne trouvaient plus preneur», note Clément Chaillet, directeur de Guy Hoquet Nansouty-Bordeaux Sud. Beaucoup ont accepté de baisser leurs prétentions, ce qui a permis de conclure des transactions. La dynamique à la baisse est enclenchée, et, de mois en mois, l’offre de logements sur le marché augmente.
Il est vrai que la capitale girondine a profité à plein de l’exode urbain qui a suivi la crise sanitaire, favorisée par sa qualité de vie et sa ligne TGV qui la relie à Paris en moins de deux heures quinze. Aujourd’hui, le retour de bâton est l’un des plus sévères du marché. Au premier semestre 2023, les prix ont chuté de –5,7%, selon le baromètre MeilleursAgents, avec, sur le seul mois de juin, le plus fort recul observé dans les 10 plus grandes villes françaises, à savoir –1% !
Aujourd’hui, il est difficile d’écouler un bien au-dessus des 6.500 euros le mètre carré, même dans le très haut de gamme. A contrario, certains logements se cèdent désormais au-dessous de 3.000 euros le mètre carré, un tarif que les Bordelais n’avaient pas vu depuis des années. A noter aussi que les délais de vente s’allongent. Il faut plus de trois mois pour qu’un logement sans défaut trouve preneur. Seul point positif, les prix tendent à s’homogénéiser entre les quartiers et les types de biens. «Les acquéreurs n’acceptent plus de payer très cher pour des logements avec des travaux ou avec un petit défaut », constate Christelle Ziegler, directrice de Bedin Immobilier Saint-Genès. Maîtres de leur choix, ils privilégient le meilleur rapport qualité-prix. Les secteurs plus populaires – nord de la ville, sud de la gare Saint-Jean ou rive droite loin du tramway – souffrent davantage de la crise que les autres.
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Sur le segment haut de gamme, qui se concentre autour de la place des Quinconces, au début des quais des Chartrons et aux abords du Grand-Théâtre, le marché est désormais assez stable. Là aussi, on observe que le nombre de logements à céder va croissant. «Les biens se vendent grâce à des prix stabilisés, surtout s’ils sont dotés de ce qui semble désormais être des atouts indispensables : terrasse, balcon ou jardin», affirme Carmen Milcent, directrice de l’agence Sotheby’s Realty.
Ailleurs dans la ville, les acheteurs se recentrent vers les valeurs sûres et des quartiers centraux. Dès qu’un bien affiche le moindre défaut, ou est situé dans un quartier moins coté, ils négocient de fortes baisses de prix, de l’ordre de 3 à 10%. Ainsi ce trois pièces de 83 mètres carrés dans une résidence des années 1980 située cours Louis-Fargue aux Chartrons nord, pourtant nanti d’un parking et d’un balcon, a été cédé à 247.000 euros (2.975 euros le mètre carré) début juin, car il était à rafraîchir et éloigné des lignes de tramway.
Les maisons davantage demandés que les appartements
La désaffection des acquéreurs est plus forte pour les appartements, d’autant que les investisseurs ont quasiment tous disparu depuis la mise en place de l’encadrement des loyers, le 15 juillet 2022. Les petites surfaces dans les quartiers étudiants, autour de la place de la Victoire et dans le quartier des Capucins notamment, se trouvent donc en grand nombre et leur prix baisse plus vite que celui des autres. Exception dans les communes limitrophes proches des universités, comme Mérignac ou Pessac, où les tarifs ne font que s’éroder de 1 à 3%, car l’encadrement des loyers n’y a pas été mis en place. L’ouverture du prolongement du tramway A vers l’aéroport de Mérignac, en avril 2023, a permis de désenclaver ce secteur et aussi contribué à maintenir, pour le moment, sa cote.
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Pour les maisons, la tendance n’est pas tout à fait la même, car elles restent davantage demandées et sont un peu plus rares à la vente. Néanmoins, là aussi, les acheteurs ne paient plus le prix fort, même pour les plus demandées. Pour preuve, cette échoppe (maison bordelaise typique), en pierre, d’une surface de 90 mètres carrés, située à côté de l’hôpital Saint-André, entre les quartiers Saint-Pierre et Saint-Genès, dotée d’un jardin de 50 mètres carrés, proposée à 545.000 euros, mais qui avait été estimée à 520.000 euros en fourchette haute, s’est finalement échangée à 490.000 euros (5.445 le mètre carré). La raison de cette décote ? Des travaux de rafraîchissement et, surtout, une chambre à l’étage mansardée qui rebutait tous les acquéreurs.
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A proximité des boulevards ou sur la rive droite à Bacalan, une autre échoppe traditionnelle en bon état, d’une superficie de l’ordre de 100 mètres carrés, se négocie aujourd’hui entre 300.000 et 450.000 euros. Pour les maisons bourgeoises en pierre avec un jardin dans les quartiers familiaux, comme Saint-Genès, Saint-Seurin ou Fondaudège, il faut compter un budget compris entre 680.000 et 880.000 euros.
D’ici l’été prochain, les prix vont continuer de baisser dans la métropole et même de dégringoler pour les biens à rénover ou excentrés. Car même si Bordeaux est en pleine mutation urbaine – la nouvelle municipalité convertit le centre-ville aux mobilités douces de type vélo notamment, et verdit les grands axes –, les acquéreurs ne suivent plus les prétentions des vendeurs. Les temps ont résolument changé. Le retour à la raison est brutal, mais salutaire !
Les professionnels qui ont participé à notre enquête à Bordeaux : Bedin Immobilier Saint-Genès, Blue West, Guy Hoquet Chartrons, MeilleursAgents, Orpi Chartrons, Floirac et Fondaudège, Sotheby’s Realty.
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Situé dans le quartier de Confluence, l’appartement le plus cher de Lyon a été vendu pour 2,6 millions d’euros.
Il avait été mis en vente il y a plus d’un an, cette fois-ci, il a été vendu !
L’appartement le plus cher de Lyon, situé au 14e étage de la tour Ycone, dans le quartier de Confluence, était mis à prix à 3,45 millions d’euros. Finalement, il a été vendu à 2,650 millions, soit 16.000 euros le mètre carré.
Piscine et toit terrasse
Le bien qui date de 2020, fait 216m2 de surface, six pièces, dont une piscine chauffée, trois garages et une vue à 360 degrés sur Lyon avec une terrasse de 330m2.
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Entre la pénurie de logements et la concurrence féroce entre les candidats, des loyers déjà élevés en hausse de 8 % à 10 % entre les rentrées 2022 et 2023 selon la Fédération des associations générales étudiantes (Fage), des propriétaires intransigeants, mais aussi l’augmentation du coût de la vie quotidienne… les aspirations des étudiants et jeunes actifs à l’indépendance se heurtent à des obstacles de plus en plus difficiles à surmonter.
C’est ce que révèle l’étude * réalisée par l’institut OpinionWay pour la plateforme Wellow, qui propose des colocations clé en main.
Le manque de logement, un frein aux études et à l’indépendance
Pour une majorité de jeunes, quitter le domicile familial est une obligation pour poursuivre des études ou accéder à l’emploi.
Alors que la crise du logement s’intensifie, nombreux sont ceux qui ont été contraints de réviser leurs projets d’avenir : 12 % des moins de 35 ans ont dû renoncer à poursuivre leurs études, 31 % ont dû retarder leur passage à une vie autonome et 20 % ont dû retourner vivre chez leurs parents.
Des propriétaires bailleurs trop sélectifs
Parmi les difficultés exprimées par les jeunes, 1 sur 2 déplore les conditions trop sélectives imposées par les propriétaires bailleurs (nature du contrat, salaire minimum, etc.). Par exemple, près de 2 jeunes sur 10 ont déjà été confrontés à l’impossibilité de répondre à l’exigence d’une caution parentale (16 %).
Selon l’étude, 41 % des jeunes enchaînent les visites tout en sachant que leur dossier a peu de chances d’être accepté.
Une situation d’autant plus complexe que les étudiants recherchent davantage de souplesse quant à la durée de leur location : 22 % des répondants rencontrent des difficultés à trouver une solution de logement flexible adaptée à leurs besoins.
Un frein également à l’emploi
Faute de pouvoir se loger à un loyer qui correspond à leurs moyens, 26 % des jeunes ont été obligés de retarder leurs projets de reconversion professionnelle, 22 % ont renoncé à s’orienter vers des métiers en tension en raison du décalage entre les salaires proposés et le coût du logement, 14 % ont été obligés de refuser un emploi et 12 % ont été obligés de refuser une formation.
* Enquête réalisée auprès d’un échantillon de 1 013 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Les interviews ont eu lieu par questionnaire auto-administré en ligne du 22 au 23 mars 2023
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