Pays de la Loire : l’association Fibois veut mettre autour de la table institutions et acteurs privés de la filière bois

Huit ans après avoir signé la charte « Ensemble, mobilisons la forêt pour l’avenir », voulue pour fédérer les acteurs de la filière bois-forêt autour du développement durable, l’association interprofessionnelle Fibois Pays de la Loire a, cette fois, réitéré l’exercice en revoyant sa copie pour intégrer « l’adaptation au changement climatique » et « le dialogue avec les citoyens et les élus. »

« En huit ans, la forêt a beaucoup évolué », justifie Jean Bureau, président de l’association interprofessionnelle Fibois Pays de la Loire. Le contexte aussi a changé pour cette filière qui représente 7.100 établissements et 31.400 emplois, confrontés à de nouveaux enjeux climatique, économique, sociétaux et de protection d’une forêt étendue sur 400.000 hectares dans les Pays de la Loire. C’est 90.000 hectares de plus qu’il y a vingt ans et sa surface progresse en moyenne de 2.600 hectares par an.

Au-delà des polémiques qui ont pu naître à la suite des incendies dus aux changements climatiques, la forêt régionale, composée de 90% de forêts privées, semble plutôt bien gérée. Reste qu’avec 12,5% de surface forestière, le territoire demeure relativement peu boisé au regard des 30% de la moyenne nationale. D’autant qu’au cours des deux prochaines années, 33% des acteurs privés entendent multiplier leurs investissements pour accroître leur production. 60% est récolté pour du bois d’œuvre, 26% pour le bois énergie et 14% pour le bois industrie.

Quelles ressources pour quels usages ?

Sur un territoire où un tiers des entreprises prévoit d’investir dans la construction bois pour répondre à la croissance du marché, Fibois Pays de la Loire a décidé la mise en œuvre d’une commission « Approvisionnement ». Elle permettra aux institutions et aux acteurs privés de se mettre d’accord sur un diagnostic à l’échelle de la région qui permettra de savoir s’il sera possible de répondre à la demande des entreprises.

« Les territoires sont de plus en plus demandeurs de ce type de diagnostic. On voit des entreprises qui veulent s’installer et donc la problématique sera de mettre en face des chiffres publics des évaluations de consommation de bois des entreprises, représentant tous les usages du bois dans la région. Sur la partie ressource, c’est vraiment nouveau de faire se rencontrer ces acteurs pour faire progresser la filière », mentionne Yann Petiot, chargé de mission Forêt, nouvellement recruté pour orchestrer les problématiques de ressources ou de reboisement.

Des élus de plus en plus à l’écoute

Les conclusions de cette commission « Approvisionnement » seront, en priorité, fournies à l’Ademe pour accompagner la mise en place de politique publiques mais aussi au Conseil régional, au ministère de l’Agriculture et de la forêt. Fruits de cette expérimentation, les résultats obtenus pourraient permettre d’établir une stratégie plus élaborée sur la ressource. L’idée est aussi de mettre sur la table les projets privés pouvant avoir un impact significatif sur la forêt.

Une sorte de désamorçage des potentiels conflits d’intérêts entre le bois industrie et le bois énergie. « Il ne s’agit plus de faire la promotion du bois mais plutôt d’accompagner et d’acculturer les élus », constate Samuel Rialland, référent Forêt, Bois & Territoires chez Fibois Pays de la Loire. A titre indicatif, la région qui comptait seulement cinquante chaufferies en 2000, en dénombre plus de cinq cents aujourd’hui. A l’échelle de la région, ces chaufferies au bois, alimentées en bois buches, bois déchiqueté, granulés, résidus bocagers et forestiers… représentent 49% de la chaleur renouvelable.

La maison individuelle plonge, la surélévation sort la tête de l’eau

En Pays de la Loire,  le pilier de la filière bois reste la construction. Celle-ci concentre 180 entreprises, près de 4000 salariés et un chiffre d’affaires de 685 millions d’euros. Avec 36% des effectifs, ce secteur constitue l’activité phare de la filière bois en Pays de la Loire, devant le commerce (19%), la fabrique de meuble (16%), le sciage et le travail du bois (15%), l’industrie du papier carton (15%).

Malgré l’impact de la hausse des matériaux, de l’inflation et la crise du logement, elle continue de progresser en Pays de la Loire, devenue la première région française en nombre de logements bois construits par habitant. En 2022, la région aura construit 2215 logements, en croissance de 10%, sur un marché compliqué où depuis deux ans, les réalisations de maisons individuelles ont chuté de +53,6% ! « Même si la crise du logement est là, et que l’on constate un ralentissement sur la construction individuelle, la maison en bois doit continuer à exister », soutient Jean Bureau, président de l’association Fibois Pays de la Loire, organisateur du salon Habiter Bois.

Les bailleurs sociaux étudient les potentiels de la surélévation

A défaut, ce sont les secteurs de l’habitat collectif public et privé, de l’isolation thermique par l’extérieur et notamment des extensions par surélévation (1800 réalisations), portées par les contraintes foncières qui prennent le relais. En hausse de 3,7% entre 2020 et 2022, ces dernières pourraient progresser de +22% en 2023, selon l’enquête nationale de la construction bois réalisée par l’institut Veïa.

« C’est un vieux sujet qui revient et est très porteur pour la filière bois, car c’est un vrai levier pour financer des rénovations et compenser le ralentissement sur le neuf. Les deux plus gros bailleurs sociaux de la région Nantes Métropole Habitat et Podeliha doivent d’ailleurs effectuer une étude de potentiel de surélévation de leur parc immobilier, ce qui permettra aussi de limiter l’étalement urbain et répondre aux exigences du ZAN (Zéro artificialisation Nette) », indique Maxime Baudrand, prescripteur Bois Construction au sein de Fibois Pays de la Loire.

Il est par ailleurs attentif, à la massification de rénovation énergétique engagée sur l’immobilier collectif avec le modèle Energie Sprong, visant à développer des solutions de construction industrialisées et externalisées, tout comme le développement de programmes immobiliers dans les ZAC des métropoles où de plus en plus de construction bois sont programmées pour les dix à quinze prochaines années. « Car le bois est la meilleure réponse à la décarbonation de nos activités», souligne le président de Fibois Pays de la Loire.

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Seine-et-Marne : profitez du savoir-faire et de l’expérience de Stradim pour acheter votre appartement


Stradim
Le promoteur immobilier Stradim propose des logements à des prix ultra-compétitifs sur l’agglomération de Melun, en Seine-et-Marne. (©Stradim)

Trouver un logement neuf, aux dernières normes, à moins de 3 000 euros le mètre carré aux portes de la Capitale, peut s’apparenter à une gageure en 2023. Mais rien n’est impossible avec Stradim Melun ! Alors que les taux d’intérêt augmentent, et qu’il est parfois difficile d’obtenir un prêt, c’est pourtant le moment de saisir les belles opportunités d’achat offertes par le promoteur immobilier dans le sud de la Seine-et-Marne.

« Sur l’agglomération melunaise, nous avons des prix ultra-compétitifs. Grâce à notre large gamme de produits, nous avons la capacité de proposer des projets immobiliers à moins de 3 000 euros le mètre carré en TVA réduite », souligne Alexandre Faggion, directeur Champagne et Île-de-France chez Stradim.

TVA réduite, dispositif Pinel : faites des économies !

C’est notamment le cas au sein de la résidence l’Amaryllis à Dammarie-lès-Lys où le promoteur seine-et-marnais commercialise des appartements de 2 et 3 pièces à partir de 2 986 euros le mètre carré.

Si vous êtes primo-accédant, vous pouvez ainsi bénéficier de conditions préférentielles d’achat pour votre appartement, dans le cadre de votre résidence principale, avec une TVA réduite (sous réserve d’éligibilité). Les programmes l’Aparté à Dammarie-lès-Lys, ainsi que l’Épure à Melun sont aussi concernés par la TVA à 5,5 %.

Stradim, 33 ans de savoir-faire et d’expérience

Créé en 1990 sous l’impulsion de Rémi Hagenbach, le groupe Stradim est implanté dans le Grand Est, en Île-de-France, en Pays de la Loire et en Occitanie. « Le groupe Stradim est un promoteur familial, qui a trente-trois ans d’expérience. À l’échelle nationale, Stradim compte 140 collaborateurs et réalise près d’un millier de logements par an », détaille Alexandre Faggion, directeur Champagne et Île-de-France chez Stradim. 

Dammarie laparte
Tous les programmes immobiliers développés par Stradim, comme ici L’Aparté, à Dammarie-lès-Lys, sont éligibles au dispositif Pinel. (©Stradim)

L’intégralité des programmes développés dans le sud de la Seine-et-Marne par le groupe Stradim sont par ailleurs éligibles au dispositif Pinel (Loi Pinel ou Pinel Plus). C’est d’ailleurs « le moment ou jamais d’en profiter », appuie Alexandre Faggion. Car ce dispositif de défiscalisation immobilière dédié à la location sera définitivement supprimé à la fin de l’année 2024. Actuellement, il permet de réaliser un investissement locatif tout en profitant d’une économie d’impôt.

« Le dispositif Pinel a pour objectif de réduire le montant de vos impôts. En fonction de la durée de l’engagement de location et du type de logement, entre 10,5 % et 21 % du montant de votre acquisition vient en déduction de votre imposition », résume-t-il.

31 logements, du studio au T4, à Vaux-le-Pénil

Stradim Melun propose également, en cette rentrée 2023, des prix abordables sur des logements résidentiels haut de gamme au sein de son nouveau programme immobilier Bois et Lumière à Vaux-le-Pénil.

Des studios y sont ainsi disponibles à l’achat à partir de 115 000 euros. Dans ce paisible quartier résidentiel, constellé de jardins arborés, le promoteur prévoit la construction de 31 logements, avec des typologies allant du studio au 4 pièces. La période de commercialisation vient de débuter.

Les personnes intéressées souhaitant accéder à la propriété et les investisseurs peuvent contacter dès à présent l’agence Stradim de Melun pour réserver leur appartement. La livraison de la résidence Bois et Lumière est attendue pour la fin de l’année 2025.

Vaux-le-Pénil
Parmi les nouveaux programmes immobiliers de l’agence Stradim de Melun, le programme Bois et Lumière à Vaux-le-Pénil. (©Stradim)

Près de 750 logements livrés sur 10 ans

Acteur de proximité connu et reconnu, Stradim dispose depuis 10 ans d’une agence à Melun et a déjà livré sur cette période près de 750 logements sur le sud du département. « La prochaine mise en chantier va avoir lieu à Vert-Saint-Denis avec le Parc des Lumières où des logements sont encore disponibles à l’achat », précise Alexandre Faggion.

Tout au long de l’année, le promoteur immobilier seine-et-marnais crée des logements neufs dans des ensembles immobiliers à l’architecture soignée. Stradim travaille au mieux pour que chaque projet soit élégant, intégré à son environnement et bien situé. Le promoteur peut répondre à la demande de ses clients pour des logements sur-mesure avec une forte proportion de résidences principales.

« L’enjeu chez Stradim est de proposer un produit haut de gamme au tarif le plus abordable. Notre mission est de concevoir et de développer des appartements dans lequel il fait bon vivre, les plus qualitatifs possibles, aux meilleurs prix possibles », conclut Alexandre Faggion.

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Saint-Etienne : fumer une cigarette dans ces lieux pourra vous coûter cher

Actu Saint-Étienne

Saint-Etienne : fumer une cigarette dans ces lieux pourra vous coûter cher

Dix espaces sans tabac dans les parcs et jardins de Saint-Etienne vont être créés cette fin d’année 2023. Voici où il est interdit de fumer une cigarette sous peine d’amende.

Hier Saint-Étienne

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Haute-Loire Louer sa propre voiture : ça marche aussi en zone rurale

« Ce n’est pas parce qu’on est en province, en zone rurale, qu’on ne peut pas avoir la possibilité de louer un véhicule pour une journée ou plus, quand on en a besoin. » Pour le P.-d.g. de OuiCar, Benoît Sineau, c’est une évidence.

Alors, il n’est pas surpris qu’en Haute-Loire, de plus en plus de propriétaires franchissent le pas. « À la campagne, on a davantage besoin de son véhicule. Généralement, tous les membres d’un foyer détenteur du permis ont leur voiture. En semaine, elles sont utilisées mais pas forcément le week-end. Alors, pourquoi ne pas la louer ? »

Le postulat tient dans le sens où différentes études prouvent qu’une voiture dans un garage coûte plus cher que lorsqu’elle roule, « d’autant qu’en cette période, avoir un revenu supplémentaire, ce n’est pas forcément…

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Transition écologique : et si un « ISF vert » et un impôt mondial sur le patrimoine sauvaient le monde

Un rapport d’information de deux députés du MoDem et du PCF interrogent la fiscalité de la France concernant les très gros patrimoines. Selon eux, un rétablissement de l’impôt sur la fortune pourrait financer la transition écologique et réduire les inégalités.

Et si les riches payaient plus d’impôts, et qu’en plus ça servait à financer la transition écologique ? L’idée ne vient pas « d’anarchistes d’extrême-gauche » ni de révolutionnaires avec le couteau entre les dents, mais d’une mission d’information co-rapportée par le député MoDem Jean-Paul Mattei et par le député PCF du Cher Nicolas Sansu. Ce 26 septembre, les deux élus ont présenté leur rapport sur la fiscalité du patrimoine, assorti de 27 propositions dont pourraient s’emparer les parlementaires ou le gouvernement.

L’intérêt principal de cette mission d’information, comme l’explique Nicolas Sansu, était de fournir « un état des lieux objectif« , partagé à travers le spectre politique, de l’évolution du patrimoine des Français au cours des dernières années et de la fiscalité qui s’y applique. Rendre cette fiscalité plus juste et plus rationnelle est l’objectif des pistes de réflexion avancées par les deux co-rapporteurs.

Parmi ces dernières, une en particulier ressort : « l’ISF vert », un impôt sur le patrimoine permettant de financer la transition écologique, originellement proposé par les économistes Jean Pisani-Ferry et Selma Mahfouz dans un rapport présenté à la Première ministre le 22 mai. Selon les auteurs du rapport, « un prélèvement de 5 % étalé sur trente années, assis sur l’actif financier net des 10 % les mieux dotés (3000 milliards d’euros), procurerait 150 milliards d’euros, soit 5 points de PIB« . En effet, dans son état actuel, la France pourrait avoir de lourdes difficultés à décarboner son économie.

Car le constat du rapport, partagé par ses deux auteurs, est désormais indéniable, avance Nicolas Sansu. « Nous sommes entrés dans une société de l’héritage, une société de rentiers« , où d’un côté du spectre, d’énormes patrimoines immobiliers et financiers se consolident et grossissent, tandis que de l’autre, le travail ne rapporte plus.

Redistribuer par davantage d’impôts sur les ménages les plus riches, c’est donc « une question de justice fiscale, mais aussi une simple question de consentement à l’impôt« , continue le député vierzonnais. « Si on se refuse à faire contribuer les plus hauts patrimoines, et que dans le même temps les gens payent leur essence à 2€ le litre, ils vont finir par exploser !« 

La fortune héritée représente aujourd’hui 60% du patrimoine total, contre 35% dans les années 1970.

Nicolas Sansu

Rapport d’information sur la fiscalité du patrimoine

De fait, comme le pointe le rapport, « au début de l’année 2021, 92% de la masse de patrimoine brut est ainsi détenue par la moitié la mieux dotée des ménages ; les 5% les mieux dotés détiennent un tiers des avoirs patrimoniaux et les 1% les mieux dotés en concentrent 15%« . Paradoxalement, dans le même temps, 87% des Français voulaient voir baisser l’impôt sur l’héritage selon une enquête de 2017, alors même qu’une majorité ne paie aucun droit de succession, faute d’avoir un patrimoine assez important à transmettre.

À l’inverse, la France a multiplié les cadeaux adressés aux plus riches, comme la suppression de l’ISF et la mise en place d’un prélèvement forfaitaire unique (« flat tax ») sur les revenus du capital. « Si vous possédez deux actions L’Oréal, vous payez au même taux que Bernard Arnault« , simplifie Nicolas Sansu. Cette « flat tax », recommandent les co-rapporteurs, devrait également être réhaussée.

En outre, les deux députés préconisent une réflexion sur un « impôt mondial sur le patrimoine détenu par les ménages les plus riches, afin de financer des aides aux pays les plus pauvres« . Car c’est aussi au niveau international que la contribution des plus grands patrimoines doit être sollicitée.

Alors certes, le contexte national et mondial ne pourrait guère être moins accueillant. L’idée d’ISF vert a déjà été balayée d’un revers de main par la Première ministre Élisabeth Borne en mai, et le gouvernement vient d’utiliser pour la douzième fois en deux ans l’article 49.3 de la Constitution, pour faire passer à toute force son projet de loi de programmation des finances publiques. Pour autant, les auteurs se veulent sereins : « Ce rapport ne propose pas un ‘grand soir’ fiscal« , rassure Jean-Paul Mattéi. « Il dresse des pistes d’évolution de la fiscalité au regard des défis contemporains. »

« Au moins, c’est dans le débat public« , fait valoir pour sa part Nicolas Sansu. Et de tracer un parallèle avec un sujet qui lui est cher, les déserts médicaux et le contrôle de l’implantation des médecins dans les zones sous-dotées. Refusée par le Parlement, l’idée d’imposer l’implantation des jeunes médecins fait son chemin dans la population : « On a perdu à l’Assemblée, mais on a gagné dans le pays, on a mis les pieds dans le plat !« 

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Immobilier: en régions, des baisses de prix parfois marquées

Cet article est issu du «Figaro Magazine»

Depuis le printemps, le marché immobilier de toutes les grandes métropoles marque le pas. Le retournement de conjoncture, qui survient après une période d’euphorie totale, est assez notable. «L’afflux de demandes postconfinement a fait grimper des prix déjà élevés, maintenant que les conditions de financement sont moins favorables, les acheteurs sont très regardants et mûrissent leurs projets», constate Clément Chaillet, directeur de Guy Hoquet Nansouty à Bordeaux.

Dès janvier, une baisse notable du volume de transactions a été constatée et elle n’a fait qu’augmenter entre mars et septembre. Cette tendance se retrouve dans tous les grands centres urbains, mais est plus marquée dans certaines villes. Ainsi, à Bordeaux et à Lyon, deux métropoles où les prix avaient atteint des sommets, le choc est plus violent qu’à Marseille et à Nice, où des ventes se réalisent un peu plus rapidement.

Malgré ces légères différences, depuis le printemps dernier, les prix sont orientés à la baisse dans toutes les grandes agglomérations. «Le marché immobilier n’est clairement plus aussi porteur que l’an dernier, nous avons davantage de biens à vendre et des acheteurs bien plus regardants sur leur budget», remarque Claudine Mercier, directrice de LFI Sévigné-Thabor à Rennes.

Pourtant, si certains propriétaires ont ajusté leurs prix ou acceptent des négociations, parfois importantes, d’autres continuent de mettre en vente trop cher. Un marché à deux vitesses est donc en train de se mettre en place. D’un côté les logements de qualité – en bon état, bien placés et avec du style – dont les prix décotent faiblement, de 2 à 5 % en moyenne selon les villes. D’un autre, le gros du marché: les biens avec travaux, plus excentrés ou sans charme particulier. Pour réussir à les vendre, leurs propriétaires doivent accepter des décotes de 8 à 10 % par rapport au pic de marché d’il y a un an, voire baisser davantage s’ils sont à rénover intégralement. Comme beaucoup d’entre eux rechignent, les acquéreurs attendent, minorant encore plus la demande. La baisse des prix pourrait donc s’accélérer début 2024, même dans les secteurs cotés.

Bordeaux: coup de froid sur le volume de transactions

Les prix bordelais avaient commencé à diminuer légèrement fin 2022, la tendance s’est amplifiée au premier semestre, avec encore moins d’acheteurs et toujours plus d’offres. Bonne nouvelle depuis mai, «la majorité des vendeurs est raisonnable et a compris qu’il était impossible de trouver un acquéreur aux tarifs de la fin du confinement», affirme Carmen Milcent, directrice de l’agence Sotheby’s Realty. Selon les notaires, fin juin, le prix médian d’un appartement était de 4650 €/m² et celui d’une maison de 541.800 €.

Dans la ville, les délais de vente continuent de s’allonger et il faut au moins deux mois pour céder un logement sans défaut rive gauche et plus de trois sur la rive droite. «L’été a permis une prise de conscience, avec des baisses de prix de mise en vente spontanées de la part de propriétaires qui deviennent un peu inquiets», relate Clément Chaillet, directeur de Guy Hoquet Nansouty.

En hypercentre, entre le Jardin public et la place des Quinconces, à Saint-Pierre et aux Chartrons, les prix restent élevés et les beaux appartements avec un extérieur se négocient toujours entre 6000 et 7000€/m². Sans extérieur ou avec des travaux, ils trouvent preneur à moins de 4000 €/m². Dans les quartiers proches, à Saint-Paul, Saint-Genès ou Saint-Sernin, il devient compliqué de dépasser les 4500 €/m², même pour un bel appartement. Un peu partout à l’intérieur des boulevards, les petites surfaces, essentiellement recherchées par les parents d’étudiants, décotent. «Depuis la mise en place de l’encadrement des loyers le 15 juillet 2022, nous avons beaucoup moins d’investisseurs», confie Clément Chaillet. Entre la place de la Victoire et celle des Capucins, les tarifs ont dévissé et oscillent entre 3700 et 4900 €/m² en moyenne. Les studios et 2-pièces se négocient environ 5 % de plus en hypercentre et 10 % de moins près de Saint-Jean, au nord des Chartrons ou sur la rive droite. Avec des travaux, les appartements ne trouvent preneur qu’en dessous de 3500 €/m² dans les quartiers cotés.

Crédit Photo : Le Figaro

» LIRE AUSSI – Immobilier: les Français prêts à quitter les grandes villes pour devenir propriétaires

Le marché reste aussi atone pour les maisons, car leur prix a – pour le moment – un peu moins diminué. Pourtant, la hausse des taux de crédit a rogné le budget des acquéreurs. «Beaucoup d’entre eux cherchent une échoppe, maison typique bordelaise, entre 400.000 et 550.000 € et ne dépassent plus leurs limites de financement», confie Christelle Ziegler, directrice de Bedin Immobilier Saint-Genès. Si elles se négocient encore dans ces fourchettes dans les quartiers prisés, comme Saint-Seurin, Fondaudège ou Saint-Genès, elles valent entre 370.000 et 520.000 € à Nansouty, et de 290.000 et 430.000 € sur la rive droite ou autour de Belcier. Le marché est plus compliqué pour les jolies maisons bourgeoises, pour lesquelles les acquéreurs finançables sont encore moins nombreux et très exigeants. Elles s’achètent désormais dans des budgets de 650.000 à 850.000 €.
D’ici l’été prochain, la baisse des prix devrait atteindre 5 à 10 % en moyenne dans la ville.
«C’est bien la fin du cycle haussier que Bordeaux a connu depuis plus de dix ans», affirme Pierre-Jean Meyssan, notaire du Groupe Monassier.

Lille: le marché se grippe

Selon les notaires, fin juin, le prix médian d’un appartement à Lille était de 3900 €/m², et celui d’une maison de 238.500 €. Des tarifs qui restent élevés, mais ne reflètent pas la réalité du marché de la ville. Car en avril, «la conjoncture a changé avec un retournement très rapide, les acheteurs sont devenus attentistes», note Philippe Stephan, notaire du Groupe Monassier à Lille. Dans le même temps, le nombre de vendeurs a augmenté. «Nous sommes enfin sortis de la pénurie qui a contribué à faire grimper les tarifs toujours plus haut», constate Philippe Descampiaux, directeur des agences Citya Descampiaux. Depuis qu’ils ont davantage de choix et moins de concurrence, les acquéreurs négocient. La baisse moyenne est de 2 à 5 % sur un an et de 8 à 12 % pour les logements avec des défauts.

Les maisons souffrent plus de la désaffection des acheteurs, car leurs prix ont moins baissé que le pouvoir d’achat des acquéreurs. «Au-delà de 500.000 €, le marché est compliqué, car il y a moins de demandes et peu de visites», remarque Catherine Florent, directrice d’Immocarré Saint-Maurice. En première couronne, il faut plutôt compter entre 270.000 et 400.000 € pour une maison classique des années 1930 de 90 à 110 m² dans un secteur huppé, et plutôt de 190.000 à 240.000 € à Loos, Lomme ou Lambersart. Dans Lille, à Saint-Michel, Cormontaigne ou Montebello, les maisons bourgeoises de 130 à 150 m² sans jardin, qui frôlaient les 600.000 €, se vendent désormais autour de 550.000 € en parfait état. Les mêmes valent environ 500.000 € à Saint-Maurice et La Madeleine et 5 % de moins dans le cœur de Lambersart et de Saint-André-lez-Lille.

Pour les appartements, beaucoup de petites surfaces ont été achetées par des parents d’étudiants. Aujourd’hui, un studio de 25 m² à Vauban se trouve entre 75.000 et 80.000 €. Dans le Vieux-Lille, «seul le luxe flirte encore avec les 6000 €/m², un logement haut de gamme se vend entre 5000 et 5500 €/m² et s’il a un léger défaut, il se négocie en dessous», affirme Bruno Gras, directeur de Barnes Lille. Même dans ce secteur recherché, il n’y a plus de surenchère et les délais s’allongent. Dans les autres quartiers, il faut compter entre 3200 et 4000 €/m² à République, Mairie ou Vauban ; de 2500 à 3300 €/m² à Gambetta, Bois-Blancs ou le nord de Wazemmes et moins de 2000 €/m² dans les quartiers populaires de Fives ou Lille Sud. «Nous constatons que les prix s’écrêtent, il n’est plus possible de vendre au-delà du tarif moyen du secteur, à moins que le bien ne soit exceptionnel», confie Benoît Dupont, directeur de Century 21.

D’ici à l’été, les prix vont continuer de s’éroder légèrement de mois en mois pour les logements en bon état. En revanche, ceux des grosses maisons à rénover et des copropriétés énergi vores risque de s’effondrer de 10 à 15 %, car elles sont de plus en plus nombreuses à la vente.

Lyon: un atterrissage en douceur

Le manque d’engouement des acheteurs pour le marché immobilier lyonnais s’est amplifié au printemps et les prix ont continué de baisser. Aujourd’hui, «il y a encore de l’activité pour les logements à moins de 300.000 € ; au-delà et jusqu’à 600.000 € l’activité a ralenti depuis mars, et au-dessus et jusqu’à 800.000 €, des transactions se réalisent encore», confie Olivier Garel-Galais, notaire du Groupe Monassier. Selon les notaires, le prix médian d’un appartement dans la ville était de 5060 €/m² fin juin et celui d’une maison de 701.500 €.

Dans les arrondissements centraux, il faut tabler sur un budget de 80.000 à 150.000 € pour un studio, entre 150.000 et 250.000 € pour un 2-pièces et entre 250.000 et 350.000 € pour un 3-pièces. Dans les copropriétés énergivores de l’est ou du sud de Lyon, ou au nord du 9e arrondissement, les tarifs sont de 10 à 20 % inférieurs à cette moyenne. Depuis mai, les biens familiaux dans les beaux quartiers ont nettement plus de mal à trouver preneur. Logique, «leur prix de mise en vente a trop faiblement baissé, car leurs propriétaires n’acceptent pas le retournement de marché», souligne Anne Monard Bretin, directrice de Guy Hoquet Immobilière du Plateau. Dans le «Triangle d’or», entre Foch, Masséna et le boulevard des Belges, les grandes surfaces de 120 à 180 m² valent aujourd’hui entre 5300 et 6300 €/m² et frôlent 6500 €/m² en parfait état et avec un extérieur.

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À la Cité internationale, les copropriétés des années 1990 avec une jolie vue se négocient 6000 €/m² en moyenne. Aux Brotteaux, «les logements avec des gros travaux se trouvent aujourd’hui entre 4800 et 5500 €/m², selon le standing de l’immeuble», confie Romain Billard, responsable de Sotheby’s Realty. Plus au sud, les prix baissent, aux abords de la Part-Dieu et à Saxe-Gambetta, ils oscillent entre 4700 et 5300 €/m², et vont de 4300 à 5000 €/m² autour de Jean-Macé. La moyenne baisse de 10 % au sud des voies ferrées et elle ne dépasse pas 3500 €/m² à la Guillotière.

Crédit Photo : Le Figaro

Sur la Presqu’île, les prix se stabilisent entre 5400 et 6000 €/m² autour de la place Bellecour. À Ainay, les grands appartements familiaux valent entre 4800 et 5500 €/m². Enfin, un appartement sur le Plateau de la Croix-Rousse se négocie en moyenne de 4700 à 5900 €/m² et environ 5 à 20 % de moins s’il est situé sur les pentes. De l’autre côté de la Saône, dans le vieux Lyon, les petites surfaces se vendent autour de 5000 €/m² et sur les contreforts de Fourvière, les grands logements peinent à dépasser les 4000 €/m².

Le marché des maisons est encore plus atone, car les vendeurs espèrent trouver preneur aux prix du postconfinement. Un rêve impossible à atteindre, car aujourd’hui dans les monts d’Or, les maisons bourgeoises de 200 m² ne dépassent le million d’euros que si elles ont une vue, un grand jardin et sont en parfait état. Pour les autres, les prix d’estimation oscillent entre 750.000 et 950.000 €, mais pour le moment, peu de propriétaires acceptent de mettre en vente dans ces fourchettes.

D’ici la fin de l’année, les prix devraient continuer de diminuer partout dans la ville, de l’ordre de 5 % et de 10 %, voire plus pour les appartements énergivores, encore proposés trop chers au goût des acquéreurs.

Rennes: acheteurs très raisonnables et propriétaires trop gourmands

Le dynamisme du marché immobilier rennais a stoppé net début 2023. «Beaucoup d’acquéreurs ont ajourné leurs projets à cause de la hausse des taux de crédit, mais ceux qui restaient actifs sont très décidés», note Anne Vestu, directrice de LFI Cleunay. Cette baisse de la demande, environ 20 % au premier trimestre, a continué au printemps et perdure en septembre. Selon les notaires, fin juin, le prix médian d’un appartement était de 3840 €/m² et celui d’une maison de 495.800 €.

Dans les secteurs recherchés, beaucoup de propriétaires continuent de proposer leur bien trop cher et les délais de vente s’allongent. Aujourd’hui, une jolie maison rénovée de 120 à 140 m² à Jeanne-d’Arc se vend entre 600.000 et 800.000 €. La même se négocie entre 880.000 € et 1,2 million d’euros à Sévigné et au Thabor, à condition d’être sans défaut. «Il devient compliqué aux acheteurs de dépasser le seuil du million d’euros pour un bien sans cachet ou atout particulier», précise Claudine Mercier, directrice de LFI Sévigné-Thabor. Pour les bâtisses de 180 à 200 m², le marché est apathique, car les vendeurs exigent autour de 2 millions d’euros, alors que le budget des acquéreurs ne dépasse plus 1,5 million.

L’ambiance est différente dans les quartiers moins chics, «les propriétaires ont compris qu’il fallait baisser leurs prétentions et nous retrouvons les prix préconfinement», constate Gwendal Mallet, directeur de LFI Nord. Dans ces secteurs, contrairement à l’an dernier, les appartements se vendent plus vite que les maisons. À Beaulieu, les petites surfaces des années 1980 se négocient entre 4000 et 4500 €/m² et de 3600 à 3800 €/m² pour les appartements plus grands. Autour du parc des Gayeulles, il faut compter de 3000 à 3500 €/m² pour un logement équivalent et moins de 3000 €/m² pour les copropriétés des années 1960 et 1970. Les mêmes se vendent entre 2600 et 2800 €/m² à Patton et la Bellangerais. Dans le nord de la ville, une maison des années 1960 à 1970 à rafraîchir vaut entre 400.000 et 450.000 € et de 500.000 à 550.000 € si elle est plus récente et en parfait état.

Dans le cœur de Rennes, la tendance est aussi à la modération. Désormais, en hypercentre et ses abords proches, un studio a du mal à se vendre au-delà de 5000 €/m² et les appartements plus grands valent de 3400 à 4000 €/m².

«Les tarifs s’ajustent et sont bien plus doux qu’il y a encore un an», note Christophe Poylo, directeur d’Orpi Rennes. Au sud-ouest, à Cleunay, et Lorient-Saint-Brieuc les tarifs oscillent entre 2800 et 3200 €/m² pour des constructions des années 1950 à 1990. Autour de la Cité judiciaire, ils grimpent entre 3000 et 3300 €/m² avec balcon et parking. Les maisons sont plus nombreuses au sud, vers Saint-Jacques, où un pavillon de 150 m² vaut de 480.000 à 600.000 € selon son état. Enfin, au-delà des boulevards, les appartements se négocient autour de 2800 €/m² à La Poterie et de 1800 à 2300 €/m² au Blosne. «L’ajustement de prix a commencé dès juillet avec des baisses de 3 à 5 % et il risque de s’amplifier», confie Damien Gueguen, responsable de la communication des notaires d’Ille-et-Vilaine.

L’objectif de laforet-loiretcher.com est de discuter autour de Agence immobilière Loir-et-Cher dans la transparence la plus générale en vous offrant la visibilité de tout ce qui est publié sur ce sujet sur internet Cet article, qui traite du thème « Agence immobilière Loir-et-Cher », vous est spécialement proposé par laforet-loiretcher.com. Cet écrit se veut réédité de la façon la plus fidèle qui soit. Il est possible d’utiliser les coordonnées inscrites sur notre site pour apporter des détails sur ce post parlant du thème « Agence immobilière Loir-et-Cher ». Il y a de prévu plusieurs articles sur le sujet « Agence immobilière Loir-et-Cher » sous peu, nous vous incitons à consulter notre site plusieurs fois.

Immobilier Mais qui peut encore acheter un logement en France en 2023

Hausse brutale des taux d’intérêt (passés en moyenne de 1,07 % en janvier 2022 à 3,61 % en juillet 2023, selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA), baisse significative de la production de crédit, chute du volume des ventes…

Depuis janvier 2022, le marché de l’immobilier a dû s’adapter aux nouvelles conditions de financement. Selon le site MeilleursAgents, spécialisé dans l’estimation immobilière en ligne, plus aucun segment du marché n’échappe au ralentissement, voire à la baisse des prix.

Mais cela ne suffit pas à compenser la hausse des taux qui contracte le pouvoir d’achat immobilier des ménages. 

2023 : un coup de frein généralisé

Conséquences des nouvelles conditions d’emprunt : le volume des transactions et les prix sont en recul. Le nombre de ventes devrait ainsi largement passer sous le million pour atterrir à 890 000 (- 20 % par rapport à 2022).

Les prix ont diminué de 0,4 % au niveau national (contre + 6,2 % en 2022). Ils sont à la baisse dans plus de la moitié des villes françaises.

Bordeaux et Lyon sont les deux grandes métropoles où ils ont le plus diminué (respectivement de – 8,6 % et – 8,1 %). A contrario, Nice poursuit son accélération au niveau des prix (+ 7,9 % sur un an).

Désormais, plus aucun segment du marché n’échappe à ce ralentissement, y compris les zones rurales avec une hausse des prix de 3 % sur les 12 derniers mois, contre + 7,8 % entre septembre 2021 et septembre 2022. 

Un début de pénurie sur le marché de la location

Ces baisses de prix ne suffisent pas à compenser la contraction du pouvoir d’achat immobilier des ménages.

« Au point de créer aujourd’hui un déséquilibre offre/demande non seulement sur le marché de la transaction mais aussi de la location, souligne MeilleursAgents. Alors que le stock de biens actuellement à la vente explose (+ 42 % depuis janvier 2022), le nombre de biens à louer se réduit pour sa part drastiquement (- 18 %) 1. Ce début de pénurie contribue à accélérer la hausse des loyers dans toute la France (+ 3,2 % en un an 2, contre + 2,1 % l’année précédente). » 

Un marché de secundo-accédants

Si 90 % des primo-accédants ont la capacité d’acheter un 50 m², il leur faut en moyenne 12 ans pour rentabiliser cet achat dans les conditions actuelles, soit une durée multipliée par huit en deux ans.

« La perspective de devoir garder au minimum cette petite surface jusqu’en 2035 rend cette opération financièrement peu attractive pour les primo-accédants, souligne MeilleursAgents. Conséquence : devenir propriétaire en 2023 pour les primo-accédants ne vaut le coup qu’à condition de pouvoir acquérir immédiatement un bien adapté au long terme, c’est-à-dire dont la superficie correspondra encore à leurs besoins dans 12 ans. Malheureusement, si 57 % des communes du territoire national restent accessibles aux primo-accédants pour y acheter dès à présent un 120 m², ils sont seulement 17 % à y vivre. »

Le marché est de fait principalement porté par les secundo-accédants dont l’apport personnel est mécaniquement plus élevé et les revenus souvent plus importants que ceux des primo-accédants.

Au total, 92 % des villes françaises sont accessibles aux secundo-accédants pour acheter un bien d’au moins 120 m². 

Quelles perspectives pour les 12 prochains mois ?

Selon MeilleursAgents, « l’octroi de crédit ne devrait plus être un facteur bloquant pour le marché immobilier d’ici quelques mois. En effet, à la faveur de la spectaculaire hausse des taux de ces derniers mois, les marges des banques sont en train de se reconstituer leur permettant de rouvrir le robinet du crédit. »

Mais si cela permet de régler le problème de l’offre de crédit, « la hausse des taux a asséché la demande qui devrait continuer à se dégrader dans l’année à venir. De plus, les biens à vendre vont continuer de s’accumuler. Par conséquent, la baisse des prix devrait s’accélérer et le nombre de transactions encore diminuer l’année prochaine. »

Pour les 12 prochains mois, MeilleursAgents anticipe un recul des prix de 4 % et un volume annuel de 800 000 transactions, ce qui représenterait une baisse de 10 % par rapport à 2023.

1 Volume d’annonces disponibles entre janvier 2019 et août 2023 sur le site SeLoger pour le marché de la location 

2 Indices des loyers observés sur les annonces publiées sur le site SeLoger au 1er août 2023

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Les prix ont diminué de 0,4 % au niveau national (contre + 6,2 % en 2022). Ils sont à la baisse dans plus de la moitié des villes françaises.

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Un marché de secundo-accédants

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Le marché est de fait principalement porté par les secundo-accédants dont l’apport personnel est mécaniquement plus élevé et les revenus souvent plus importants que ceux des primo-accédants.

Au total, 92 % des villes françaises sont accessibles aux secundo-accédants pour acheter un bien d’au moins 120 m². 

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Vente appartement 2 pièces à Juigné-Sur-Loire (49) : 1 annonce

182 000 € 2 pièces 1 chambre 48.25m²

NOUVEAU aux Ponts de Cé, la résidence se développe sur 3 uniques niveaux, en offrant aux habitants la jouissance d’un vaste parc paysager inspiré de ceux des belles demeures situées le long de la Loire. Arrêt de bus à moins de 100m et accès direct à l’A87 et l’A11.
A VENDRE grand type T2 neuf de 48.25 m² situé au 1er étage dans cette nouvelle résidence contemporaine comprenant un séjour cuisine de 27.52 m² exposé nord Ouest et ouvert sur un balcon de 16.39m², une chambre de 12.92 m², une salle d’eau de 5.56 m² et WC séparé .Une place de parking privative et sécurisée complète les lieux. De nombreuses commodités en proximité immédiate: (Intermarché, pharmacie, médecins, centre commercial, restaurants, décathlon) idéal investisseur ou résidence principale
Qualité Label Energie RT2020 NF Habitat E+C-
Prix: 182000 euros (+Frais de notaire 2.5%) (Prix direct promoteur)
REF: 25909tdcA105-1
Informations auprès de Bruno Gombourg au 02 41 05 63 19, spécialiste neuf Centre-ville d’Angers, quartiers de la Gare, la Madeleine, Doutre, Lafayette, Visitation, place du lycée, Quinconce, Saint Léonard, Jeanne d’Arc et du Lac de Maine, Belle-beille, Avrillé, Saint Barthélemy, Trélazé … pour trouver votre solution immobilière en Résidence principale ou secondaire, Défiscalisation, Pinel, LMNP, Location, Gestion immobilière. ‘Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr’
Copropriété de 79 lots.

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