Les prix à Avignon ont augmenté de 8,7 %, une hausse à l’image de celle qui touche plusieurs villes de la région. Les prix à Avignon ont augmenté de 8,7 %, une hausse à l’image de celle qui touche plusieurs villes de la région.

Premier enseignement fourni à la fois par les notaires, les différents réseaux d’agences et la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) : le pourtour méditerranéen résiste à la baisse des prix. « Le soleil et la mer attirent toujours même si on ne sait pas jusqu’à quand », affirme Delphine Morgant, agente immobilière chez IAD à Saint-Martin-de-Crau (Bouches-du-Rhône). Antibes (Alpes-Maritimes), Fréjus (Var), Nice (Alpes-Maritimes), Nîmes (Gard), Perpignan (Pyrénées-Orientales) voient toujours leurs prix monter.

Dans ces villes, il faut compter entre 2 000 et 5 000 euros le mètre carré. Certaines affichent même des prix parisiens et ne semblent pas baisser. « C’est notamment le cas d’Antibes, où on frôle les 10 000 euros le mètre carré. La ville voisine, Cannes [Alpes-Maritimes], n’est pas en reste, avec 12 000 euros le mètre carré », indique l’observatoire des agences Guy Hoquet.

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Tout se passe comme si le secteur touristique était épargné par la tendance à la baisse. La Fnaim constate ainsi que les stations de ski et les stations balnéaires voient leurs prix monter respectivement de 6 % et 3,8 % cette dernière année. En moyenne, les biens dans le département de l’Hérault ont ainsi augmenté de 4 %, même chose en Savoie et Haute-Savoie. « Dans ces secteurs où des retraités s’installent et où des gens fortunés s’offrent une résidence secondaire, les acheteurs n’ont pas nécessairement besoin de crédit immobilier. Ils sont donc moins touchés par les taux élevés et soutiennent la demande », analyse Loïc Cantin, président de la Fnaim.

Les villes de la côte atlantique ne baissent pas non plus. La Rochelle (Charente-Maritime) est en légère augmentation avec un prix au mètre carré qui atteint 5 000 euros. Lorient (Morbihan) et Quimper (Finistère) restent également en hausse. L’Ille-et-Vilaine grimpe de 2 % et le Morbihan de 3,8 %. « On sent malgré tout à ce stade un début de stabilisation des stations balnéaires après des années de hausse », avance Emmanuel Perray, directeur des études économiques à la Fnaim. Dans les Pyrénées-Atlantiques, il faut tout de même compter pas loin de 10 000 euros le mètre carré à Biarritz ou 7 000 euros à Anglet.

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En revanche, les prix dans le département de Loire-Atlantique baissent de 2,4 %, avec Nantes qui perd 3,1 %. Saint-Nazaire, où les prix ont beaucoup monté ces trois dernières années, perd aussi presque 7 %. La Baule, la station balnéaire prisée du secteur, affiche cependant des prix à plus de 7 000 euros le mètre carré et continue de monter (+ 2,6 % en un an). Comme Nantes, les grandes villes semblent être victimes de désamour. La plupart voient leurs prix baisser ou stagner, notamment Bordeaux, Lyon et Toulouse.

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