Voilà 90 ans que le Loto entretient chez les joueurs le rêve d’un gros gain qui leur permettrait d’aider leurs proches, de faire des voyages ou d’investir dans l’immobilier. Le premier gagnant, Paul Bonhoure, un coiffeur de Tarascon (Bouches-du-Rhône), empocha d’ailleurs cinq millions de francs de l’époque. C’était le 7 novembre 1933, lors du tout premier tirage de Loterie nationale tout juste créée.
Lointaine descendante de la Loterie royale, héritière de la tombola des Gueules Cassées lancée en 1927, la Loterie nationale a été créée par l’État pour venir en aide aux anciens combattants et aux victimes des calamités agricoles. Concurrencée dans les années 1950 par le Tiercé, la loterie se modernise et devient en 1976 le Loto. Un an plus tard, sept millions de Français y participent. Le jeu devient une institution.
20 000 euros avec un ticket à trois euros pour Dominique
Au fil des ans, la Française des jeux se diversifie en lançant des jeux de grattage, des tirages européens, le loto du Patrimoine puis Mission Nature, et le dernier né, EuroDreams, qui propose une rente pendant 20 ans. « 100 % des gagnants ont tenté leur chance », disait le slogan publicitaire des années 1990. Et ils sont nombreux à remplir des grilles ou à gratter des cases. Aujourd’hui, la Française des jeux revendique « plus de 25 millions de joueurs, soit une personne sur deux en âge de jouer ».
Bien sûr, tous ne deviennent pas millionnaires. « Pour la première année du passage à l’euro, en 1999, j’ai gagné 20 000 euros avec un ticket Vegas à trois euros », se souvient Dominique, un habitant de Saône-et-Loire de 59 ans. « J’étais en pleine construction de ma maison, ce gain était une chance tombée du ciel », poursuit-il. Un gros gagnant forcément très heureux.
« Je perds plus souvent que je ne gagne », reconnaît Lily
En plus des jeux de grattage, Lily fait partie des deux millions de Français qui tentent leur chance toutes les semaines pour le tirage du Loto – ce chiffre montant à quatre millions lors des tirages spéciaux. « Je perds plus souvent que je ne gagne », constate cette Messine de 20 ans qui ne perd pas espoir de « remporter le jackpot ». Ses gains, « entre un et une quinzaine d’euros », sont réinvestis dans les jeux, « sauf quand je gagne plus de cinq euros. Là, je fais moitié-moitié : une partie dans de nouveaux jeux, l’autre pour mon porte-monnaie ».
Pour Isabelle, un plus gros gain de… 13 euros
« À la fin de sa vie, mon père me demandait toujours si j’avais joué son Loto et son EuroMillions. Depuis qu’il nous a quittés, il y a 12 ans, j’espère toujours gagner, mais je crois que le plus gros gain que j’ai eu c’est 13 euros », se désespère Isabelle, une habitante du Pas-de-Calais de 56 ans. En 2022, les jeux de tirage ont enregistré 6,3 milliards d’euros de mises et les jeux de loterie instantanée 9,9 milliards d’euros de mise. « L’espoir vivre », positive Isabelle. Vivre… Et dépenser.
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