, Immobilier : ces stations balnéaires où les prix sont plus chers qu’à Paris

De façon générale, les prix des biens sont à la baisse dans les stations balnéaires. Après une longue période de hausse, l’accalmie est au rendez-vous, mais la demande reste forte puisque le nombre de biens mis en vente reste faible. C’est ce qui ressort d’une étude de la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) que relayent Les Échos. Mais les prix restent élevés, puisque le prix des logements a bondi de 30% dans les stations balnéaires en trois ans, contre 20% sur l’ensemble de la France. Les causes sont multiples, mais l’afflux de retraités, qui n’ont parfois pas besoin d’emprunt pour s’installer, peut être une explication. Ils sont aussi parfois moins regardants sur les prix.

Seulement, comme le relayent Les Échos, le « redoux » de ces tarifs n’est pas arrivé jusqu’à certaines stations balnéaires. Cinq communes affichent des prix au mètre carré plus élevés que la pr, qui sont déjà à plus de 10.000 € (10.462 € en moyenne pour être précis). La palme du mètre carré le plus élevé revient à Saint-Jean-Cap-Ferrat (Alpes-Maritimes) qui affiche une moyenne de 17.407 €. C’est bien plus que les deux communes varoises, Ramatuelle (15.590 €) et Saint-Tropez (14.673 €). Deux autres communes sont également bien au-dessus : Lège-Cap-Ferret, en Gironde (12.927 €), et Eze, dans les Alpes-Maritimes (10.053 €).

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Des disparités selon les régions

À noter que dix communes au total affichent un mètre carré moyen plus cher que dans la capitale. En dehors des stations balnéaires, Val-D’isère (Savoie), Courchevel (Savoie), Les Allues (Savoie), Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) et Megève (Haute-Savoie) sont au-dessus de 10.400 € le mètre carré. Et si l’on se penche de nouveau sur les stations balnéaires, d’autres talonnent Paris. C’est le cas de Villefranche-sur-Mer, du Cap-d’Ail ou de Soorts-d’Hossegor, toutes au-dessus de 9.300 € le mètre carré. Plus globalement, le marché s’est calmé, avec des disparités néanmoins selon les régions. Des prix en baisse en Bretagne sur les trois derniers mois (avril à juin), ou dans les Pays de la Loire. Ils sont stables en Normandie mais augmentent légèrement en Provence-Alpes-Côte d’Azur et en Nouvelle Aquitaine.

En revanche, les hausses sont plus nettes dans les Hauts-de-France (+1,4%), en Occitanie (+1,8%) et surtout en Corse (+4,6%). En Bretagne, il faut compter en moyenne 3.622 € au mètre carré, contre 3.604 € en Normandie et 3.871 € dans les Hauts-de-France. C’est plus cher en Nouvelle-Aquitaine (5.363 €) et en PACA (5.774 €). Selon la Fnaim, les 479 communes de bord de mer sont 50% plus chères que la moyenne nationale. La pandémie de Covid-19 et la volonté de se mettre au vert dans une maison ont fait grimper les prix ces trois dernières années. Sans oublier les effets du réchauffement climatique qui profitent à la Bretagne par exemple.

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