VoltR monte en puissance dans le reconditionnement de batteries

Un an après la mise en service à Angers de son site pilote de reconditionnement de batteries au lithium, VoltR voit déjà plus grand. La start-up angevine projette en effet la création d’une nouvelle usine à horizon 2026. Un site automatisé de 5.000 mètres carrés en capacité de reconditionner chaque année 2 millions de cellules de batteries avec une centaine de salariés, qui pourrait s’installer dans la région Pays de la Loire. « Ce projet nécessite un foncier de 4 à 5 hectares, et nous sommes très courtisés par d’autres régions, ainsi que par des investisseurs », appuie Alban Régnier, fondateur de VoltR.

Avec ses associés, l’entrepreneur travaille en effet à une levée de fonds en série A pour la fin de l’année afin de financer cette future usine. Un tour de table de « plusieurs dizaines de millions d’euros », selon l’entrepreneur angevin, qui suit les 4 millions d’euros réunis fin 2023 auprès des fonds français C4 Ventures et Exergon , ainsi qu’en emprunts bancaires et fonds publics. Un financement pour accompagner le développement de son démonstrateur industriel d’Angers, aujourd’hui en mesure de remettre à neuf quotidiennement 1.000 cellules de batteries avec 15 personnes.

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1er Mai : Y aura-t-il toujours du muguet en 2050 ?… « Certains producteurs jettent l’éponge

Espérons que ces jolies clochettes, symboles de bonheur et de chance, en apportent aussi un peu à la filière. Alors que des dizaines de millions de brins de muguet seront échangés partout en France ces prochains jours et surtout mercredi, le 1er mai, pourra-t-on toujours s’offrir cette petite fleur blanche au parfum si doux en 2050 ?

La question se pose quand on sait que cette année encore, la dizaine de producteurs nantais (à qui l’on doit 90 % des fleurs et pots vendus dans tout le pays) ont réalisé un tour de force, entre les aléas climatiques et la pénurie de main-d’œuvre qui s’aggrave. « C’est une culture de plus en plus exigeante, douze mois de travail pour être prêts à la bonne date, indique Thomas Loirat, conseiller technique en production au sein du comité départemental de développement maraîcher (CDDM). C’est parfois compliqué, mais le muguet de 2024 est très beau en termes de qualité, avec des brins bien longs et des clochettes en nombre. »

« Les pauvres plantes » perdues avec la météo

Si vous trouverez donc bien un petit bouquet à acheter chez votre fleuriste, la météo capricieuse et imprévisible a pourtant donné du fil à retordre aux producteurs. « Entre les tempêtes du mois d’avril, les 30°C puis les gelées le matin, les pauvres plantes ont du mal à s’y retrouver », observe Eric Harrouet, le patron de Lilyval, située à Saint-Julien-de-Concelles (Loire-Atlantique). Cette année, la cueillette a commencé chez lui dès le 13 avril, quatre jours plus tôt que prévu. Les conditions étaient heureusement favorables à la conservation de la fleur, c’est-à-dire pas trop chaudes et avec un peu de vent.

Sauf qu’à l’heure du réchauffement climatique, pas dit que l’on arrive à sauver les meubles à chaque fois. « On a l’outil et l’expérience bien sûr, mais il suffit d’un coup d’orage pour tout perdre », déplore Eric Harrouet, qui craint aussi que le muguet ne soit toujours plus précoce d’année en année. Si des tunnels en plastique, puis des chambres froides, permettent actuellement aux producteurs de ralentir ou accélérer la floraison pour quelques jours, difficile d’imaginer des brins y reposer pendant plusieurs semaines en attendant le 1er mai… A tel point que certains chuchotent carrément l’idée de « décaler » la fête du travail, ou de pouvoir démarrer la vente dès la mi-avril.

Pas de bras, pas de muguet

Sans ça, la filière, implantée dans le bassin nantais notamment pour son sol sableux et son climat adéquat, pourrait en payer les pots cassés. Les producteurs de cette culture historique se comptaient auparavant par dizaines, mais leur nombre s’est déjà considérablement flétri. « Beaucoup jettent l’éponge car financièrement, c’est de plus en plus compliqué, observe Eric Harrouet. C’est une culture très très dangereuse et qui coûte cher, où l’on investit parfois 1 million d’euros d’avance pour attendre la récolte fin avril. » La fédération des maraîchers nantais se veut rassurante, assurant que la production de brins est stable, avec des griffes (les racines) rachetées au fur et à mesure par ceux qui restent. Chez Lilyval en tout cas, le fils voudrait reprendre l’affaire mais « mentalement, il sait déjà que ça va être énormément de stress ».

Car si ces prochaines années, la météo épargne le muguet, y aura-t-il encore assez de bras pour le ramasser ? Là encore, la question agite le secteur depuis plusieurs années sans trouver de réponse pérenne. A chaque printemps, des milliers d’offres d’emploi saisonnier peinent à trouver preneurs alors que des intérimaires étrangers viennent fréquemment gonfler les rangs des cueilleurs, souvent à la toute dernière minute. « Il faut renouer avec les plus jeunes, les faire revenir dans le monde agricole, estime Thomas Loirat. C’est important car cette culture traditionnelle est l’une des rares à être encore presque intégralement manuelle. »

Pendant le Covid-19, les pertes avaient été considérables en raison du confinement et des commerces fermés. Et cette année, faute de main-d’œuvre, des milliers de brins trop fleuris et donc non commercialisables ont encore été laissés dans les champs. Selon la fédération des maraîchers nantais, le chiffre d’affaires annuel dégagé par la production du muguet varie entre 20 et 30 millions d’euros.

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Immobilier Bientôt quelques mètres carrés de pouvoir d’achat de plus

Le nouveau souffle apporté par la baisse des taux de crédit, bien que progressive et lente, couplée à une baisse des prix, devrait offrir davantage de capacité d’emprunt aux Français dans les mois à venir.

Entre une multiplication quasiment par quatre des taux d’intérêt en quatre ans et des prix qui ont entamé leur baisse en septembre 2022, le marché de l’immobilier est encore à la recherche d’un nouvel équilibre.

Et si l’horizon s’éclaircissait du côté des taux de crédit ? SeLoger, portail d’annonces immobilières, dévoile le pouvoir d’achat immobilier au sein des 51 plus grandes villes françaises et projette la capacité d’achat de ces mêmes ménages d’ici la fin de l’année si les taux d’intérêt venaient à baisser.

Une pièce en moins en quatre ans

Entre le 1er avril 2020 et le 1er avril 2024, les taux d’intérêt sont passés de 1,40 % à 4,10 %. Les acquéreurs dans les 51 plus grandes villes de France ont ainsi perdu en moyenne 1 pièce, soit 10 m² de pouvoir d’achat immobilier en moins (tous types de biens confondus) sur cette période, passant de 60 à 50 m² pour un ménage de deux personnes avec des revenus moyens.

Des écarts importants selon les villes

Les réalités sont différentes selon les villes : concrètement, cette perte de pouvoir d’achat peut aller de – 2 m² à Lyon pour atteindre – 32 m² à Quimper.

« Ces écarts importants d’une ville à l’autre s’expliquent surtout par l’évolution des prix immobiliers dans ces communes, souligne SeLoger. En effet, les plus grosses pertes de pouvoir d’achat en moyenne sur cette période sont observées dans les villes où les prix de l’immobilier ont fortement augmenté. Ainsi, les villes de Quimper, Saint-Étienne et Béziers, où les prix de l’immobilier ont respectivement augmenté de + 30,80 %, + 22,30 % et + 38,70 %, enregistrent les plus fortes pertes de pouvoir d’achat dans ce classement sur les quatre dernières années. » Pour ces trois villes, la perte s’élève à plus de 28 m², soit une surface supérieure à celle d’un studio.

Un gain de pouvoir d’achat à Paris !

Paris, où les prix de l’immobilier ont drastiquement baissé de – 12,40 % en moyenne sur quatre ans, est la seule ville parmi les 51 plus grandes de France à connaître un gain de pouvoir d’achat immobilier. En quatre ans et au regard des revenus des habitants, un ménage de deux personnes peut prétendre acheter 28 m² en avril 2024, contre 26 m² en avril 2020 (+ 2 m²).

« Le cycle baissier des prix dans la capitale a débuté à la suite de la crise sanitaire, ce qui a permis aux résidents parisiens de quasiment compenser la récente hausse des taux d’intérêt », explique Imane Selmane, économiste chez SeLoger.

Et si les taux de crédit tombaient à 3,50 % cet été ?

Après un an et demi de hausse continue, les taux d’intérêt se stabilisent et commencent même à baisser. Le pic de 4,30 % atteint en décembre 2023 laisse place à un taux de 4,10 % en avril 2024. De quoi donner de l’espoir aux futurs acquéreurs pour les mois à venir, d’autant que la Banque centrale européenne (BCE) a évoqué une potentielle future baisse de ses taux directeurs (lesquels conditionnent les taux des crédits immobiliers).

Et si les taux tombaient à 3,50 % au 1er juillet, les Français pourraient gagner en quelques mois entre + 1 m² et + 4 m² de pouvoir d’achat, en moyenne. Avec une baisse de 0,5 point de pourcentage sur les taux, les Français retrouveraient en effet une capacité d’emprunt autour de + 5 %, augmentant leur pouvoir d’achat. Saint-Étienne gagnerait + 4 m², Nancy et Dijon + 3 m² et Paris + 1 m².

Et s’ils se rapprochaient des 3 % à la fin de l’année ?

Si les taux d’intérêt avoisinaient les 3 % en décembre 2024, les futurs acheteurs pourraient alors récupérer jusqu’à + 9 m² par rapport à avril 2024.

En tête des villes qui ont le plus à gagner : Saint-Étienne et Bourges avec + 9 m², ainsi que Limoges et Mulhouse avec + 8 m². « Ces communes sont très sensibles aux tendances de crédit du fait de prix immobiliers relativement faibles par rapport aux autres métropoles françaises, observe SeLoger. En somme, avec des prix inchangés, mais des taux d’intérêt qui baissent d’un point de pourcentage, certaines villes pourraient récupérer la pièce symboliquement perdue en moyenne dans les 51 plus grandes villes en quatre ans.

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Premier achat immobilier dans la Loire : vous pouvez trouver une maison avec travaux pour 110.000

Le marché immobilier de la Loire offre de réelles possibilités pour les primo-accédants. Pour trouver un bien dans leur budget, ils peuvent jouer sur la surface ou financer des travaux pour déclencher des aides bienvenues.

Les professionnels de l’immobilier du département sont unanimes : depuis quelques mois, des signes positifs commencent à apparaître, notamment pour les primo-accédants, qui pourraient enfin retrouver un peu de pouvoir d’achat. Les taux d’intérêt se sont stabilisés et commencent même à baisser un peu et les banques assouplissent légèrement leurs conditions de prêt. Tout cela redonne de l’air à des budgets asphyxiés au cours de la période précédente, d’autant que les prix de vente ont également amorcé un mouvement à la baisse, timide mais réel.

Des décotes sur certains biens

Selon le baromètre de la Fnaim, ils sont en replis de 1,7 % sur un an (chiffres janvier 2024) dans le département et de 2,3 % à Saint-Étienne. Cela reste modeste, mais ce chiffre cache, en fait, des décotes plus sensibles sur certains types de biens. Sont concernés en priorité les logements qui nécessitent des travaux, qui sont mal classés en DPE, qui ne disposent pas d’une place de stationnement ou d’un extérieur, ou qui se trouvent à plus de quinze minutes des centres urbains.

A Roanne

Dans le secteur de Roanne, il est difficile de trouver une maison habitable en l’état à moins de 200.000 €. Les primo-accédants qui ne disposent pas de ce budget ou de l’apport nécessaire pour le financer, pourront essayer de viser des surfaces plus petites.

Certaines maisons de 80 m2 ou moins, tombent sous la barre des 150.000 €. Elles sont, en général, situées à la sortie de la ville et demandent un peu de rafraîchissements.

Un bien à restaurer

L’autre option est de miser sur un bien à restaurer ou demandant d’importants travaux. Les nouvelles possibilités de financement, via le PTZ 2024 et les nouvelles dispositions de MaPrimeRénov’permettent de financer d’importants travaux sans alourdir le budget global. Par exemple, une maison de ville à restaurer entièrement, proche de la gare, était récemment proposée à la vente à 110.000 €. Avec les travaux et les aides qu’ils génèrent, le budget moyen peut rester sous la barre des 150.000 €, alors que le même bien, sans travaux, se serait vendu juste en-dessous des 200.000 €, hors de portée donc de bien des primo-accédants.

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Saint-Étienne, la ville la moins chère de France

La situation est assez semblable sur les marchés de Feurs et de Montbrison, qui se situent sensiblement au même niveau que celui de Roanne. Reste le cas particulier de Saint-Étienne. La préfecture de la Loire demeure la ville la moins chère de France et donc la plus accessible pour les primo-accédants.

Selon le baromètre de la Fnaim, le prix au mètre carré moyen y est de 1.400 €, près de 300 € de moins que la moyenne départementale (1.676 €/m2). 

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L’avis de l’expert : Corine Chapelon, Le Toit Forézien

Le Toit Forézien propose de l’achat via le Prêt social location-accession (PSLA). Quel est son principe ?
Il s’agit d’une accession sociale à la propriété, uniquement dans le neuf. Pour y être éligible, il ne faut pas dépasser un certain plafond de ressources et s’engager à faire de son acquisition sa résidence principale. Les plafonds viennent d’ailleurs d’être relevés et beaucoup plus de personnes devraient y être éligibles. Avec le PSLA, la TVA est de 5,5 % au lieu de 20 % et il y a une exonération de taxe foncière pendant 15 ans.

Concrètement, comment cela se passe-t-il ?
L’acquéreur signe d’abord un contrat de location-accession. Il est locataire accédant pendant une période qui va de 6 mois à un an. Il paye une redevance qui est équivalente à un loyer et une part acquisitive, qui viendra ensuite en déduction du prix de vente. Durant cette année avant la vente définitive, on travaille son financement avec lui. S’il est éligible au PSLA, il l’est aussi au PTZ et parfois au prêt accession logement. La redevance est comme une préparation au remboursement qui viendra ensuite. Notre rôle est vraiment d’accompagner les personnes à devenir propriétaires. Et, précisons qu’il s’agit d’une vente sécurisée. En cas de revente forcée, due à des difficultés diverses, le bailleur s’engage à racheter le logement et nous sommes tenus de reloger les personnes.

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Crézançay-sur-Cher (18190)

La ville : Crézançay-sur-Cher

Caractéristiques et informations pratiques à propos des habitants de Crézançay-sur-Cher

Avec un territoire de 7,88 km², on évaluait à 58 le nombre d’habitants de Crézançay-sur-Cher, ce qui représente 7,4 habitants par kilomètre carré en 2018. Pour ce qui est de la densité de population, cette ville figurait donc en 197e position au sein du département du Cher.

Caractéristiques et informations pratiques sur le parc immobilier de Crézançay-sur-Cher

À Crézançay-sur-Cher, on comptabilise près de 58 habitants répartis sur 7,88 km². Pour les loger, la municipalité dispose d’environ 40 logements. La densité résidentielle et la densité de population de la localité sont très faibles : 7,4 habitants par km² et 0,1 log/ha. Elles sont toutes deux inférieures à celles du département (41,5 habitants/km² et 0,2 log/ha).

Caractéristiques et informations pratiques sur la répartition du parc immobilier de la municipalité

On compte actuellement une plus grande part de propriétaires que de locataires à Crézançay-sur-Cher. Environ 4,2 % des résidences principales sont occupées par des locataires alors que 91,7 % sont occupées par des propriétaires. Parmi les habitations de la ville, 25 % sont des résidences secondaires, 12,5 % des logements vacants et 60 % des résidences principales. La plupart des 24 ménages se sont installés il y a entre 20 et 29 ans à l’échelle de la municipalité.

Découvrez les chiffres clés des pièces des logements de la ville

Le parc immobilier de Crézançay-sur-Cher est uniquement composé de maisons. Elles comportent pour la plupart 3 pièces (35 % du nombre total de maisons) pour une superficie généralement comprise entre 60 et 80 m². On trouve également de nombreuses maisons familiales de 4 pièces (27,5 %). Les moins nombreuses, à l’inverse, sont les maisons de 6 pièces et plus. On notera qu’elles ont, pour la plupart, plus de cent ans (construites avant 1919).

Quelques chiffres à la loupe concernant l’impôt sur le revenu à Crézançay-sur-Cher

On comptabilise, au total, 29 foyers fiscaux à Crézançay-sur-Cher. L’impôt sur le revenu des habitants est en moyenne de 931 € par foyer. Ce dernier est donc inférieur à celui du Cher qui s’élève à 1 184 €. Par ailleurs, 17 foyers (soit 58,6 %) déclarent percevoir une pension ou une retraite.

Découvrez quelques informations pratiques à propos de l’emploi à Crézançay-sur-Cher

À Crézançay-sur-Cher, en 2018, on comptait 27 habitants âgés de 15 ans ou plus, parmi lesquels 20 étaient actifs, ce qui représente un taux d’activité de 74,07 %. En proportion, il y avait alors à peu près autant d’actifs que dans l’ensemble de l’Hexagone, où le taux d’activité s’élevait à 71,9 %.

Il y avait quatre chômeurs parmi les actifs de la municipalité, le taux de chômage atteignait donc 20 %. C’est 10,9 points de plus qu’à l’échelle du pays, où le taux de chômage était de 9,1 %.

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Crise de l’immobilier. Constructions à l’arrêt, locations saturées, ventes bloquées, le secteur souffre : quelles conséquences en Bretagne

Des ventes qui flanchent, un marché de la location totalement saturé, le secteur de l’immobilier est en crise. La dirigeante du groupe immobilier Nexity annonce, ce vendredi 26 avril sur franceinfo, un plan social touchant 502 postes. La Bretagne n’est pas épargnée. Tour d’horizon de la crise que connaît l’immobilier dans la région.

Sur Rennes, les annonces pour louer un appartement sont rares, voire introuvables. Question achat dans l’ancien les opportunités sont là mais encore faut-il obtenir l’accord d’une banque pour se lancer.

Faire construire ? La chute des permis de construire est vertigineuse. Cette crise sur le secteur de l’immobilier n’est pas restreinte à la capitale de la Bretagne. Toute la région est touchée et l’ensemble de la chaîne de l’immobilier subit de plein fouet une crise prévisible.

Depuis 2022 la fédération des promoteurs de l’immobilier alerte sur “le recul inexorable des permis délivrés par les maires” puis “la chute du niveau de solvabilité des ménages due à la hausse des taux d’intérêt”. Du fait des difficultés d’accès au crédit, les investisseurs sont de moins en moins nombreux à se lancer. 

Conséquence, en France le nombre de transactions immobilières a chuté de 25% entre 2022 et 2023. Dans la région, la baisse est supérieure. Près de 30% de ventes en moins sur la période et dans certaines villes pour le neuf, la chute est vertigineuse : jusqu’à 70%.

À lire aussi : Prix de l’immobilier. Des logements plus chers, et plus rares : les conseils des notaires

Crise chez les promoteurs

Cette violente chute d’activité concerne d’abord “l’amont de la filière” précise Nicolas Lebon de la fédération régionale du bâtiment en Bretagne. « Les grands promoteurs immobiliers comme Bouygues, Kermarrec ou Nexity sont les premiers touchés”.   

Sur le plateau de Franceinfo, ce vendredi 26 avril 2024 la PDG du premier promoteur français, le groupe Nexity, annonce supprimer 502 postes. “Une décision pas facile à prendre” souffle Véronique Bédague qui justifie ce plan social comme la seule solution pour faire face “à la crise conjoncturelle” dans son secteur de la construction. Car les coûts de la construction pour le neuf ont flambé de “18% à la suite de la guerre en Ukraine” précise la dirigeante.

Le bâtiment dans l’attente

Pour Nicolas Lebon, l’activité de la construction n’est pas encore autant touchée par la chute des transactions. “Il y a une inertie entre le moment où les contrats sont signés et la mise en chantier des constructions”. Mais les chiffres sont là et la région dénombre déjà un quart de logements livrés en moins sur un an.

À lire aussi : Logement : le nombre de permis de construire a chuté de 23,7% en 2023 par rapport à 2022

En Bretagne la moitié des programmes immobiliers de construction sont des maisons individuelles. Avec près de 20.000 mises en chantier en moins par rapport à l’année passée, des entreprises voient leur carnet de commandes fondre. “Pour l’instant, il n’y a pas d’impact sur l’emploi, l’effectif des salariés est stable mais nous sommes très vigilants. Notre secteur du BTP est le 3e le plus touché par les liquidations d’entreprises.” 

Côté chiffres, “le secteur de la rénovation a augmenté de près de 5% mais cela ne compense pas les 25% de baisse dans la construction” souffle le représentant de la filière du bâtiment en Bretagne.

Le neuf en chute libre en Bretagne

Rennes a été la première ville impactée par la crise du secteur de l’immobilier affirme le baromètre de l’immobilier des notaires bretons, dans son étude diffusée ce 27 mars 2024. 

Depuis, cette tendance s’est généralisée à Brest, Vannes ou même au Centre-Bretagne. La cause est connue, la hausse des taux de prêt immobilier de ces deux dernières années bloque les acheteurs. Une baisse de ce taux est attendue, tout comme un assouplissement des conditions de crédits, précise les notaires bretons qui espèrent une reprise de l’activité immobilière. En attendant, le secteur souffre et les acteurs les plus solides doivent se restructurer. 

Terrains à bâtir, constructions d’appartements, les ventes de biens immobiliers dans le neuf se font de plus en plus rares. Comme sur le plan national, selon les derniers chiffres pour la Bretagne, les baisses les plus importantes se situent sur cette frange du marché : -40,8% pour la vente d’appartements neufs et -34,4% dans la vente de terrains à bâtir dans la région sur un an selon les chiffres de mars 2024.

À l’échelle départementale, c’est dans les Côtes d’Armor et en Ille-et-Vilaine que le marché dévisse le plus. -46,5% de vente d’appartements neufs pour les Costarmoricains et -42,7% pour les Bretilliens. Les chiffres sont similaires pour la vente de terrains.

Dans le Morbihan la baisse est de -35,5% et elle se situe à -24,9% dans le Finistère.

L’ancien également au ralenti

Dans l’ancien, la baisse des ventes est plus contenue avec une chute de -18,2% pour les appartements et de -17,7% pour les maisons selon les derniers chiffres établis au mois de mars vis-à-vis de l’année dernière.

Cette chute autour de -18% de transactions immobilières dans l’ancien se retrouve autant dans les Côtes d’Armor, le Morbihan et l’Ille-et-Vilaine. Dans le Finistère, la baisse est plus importante, -29,4% dans le volume de vente des appartements.

Primo accédants et locataires en première ligne

Si des professionnels perdent leur emploi, du côté des particuliers la douche est également glaciale. Les premières victimes de la crise sont les primo-accédants, qui, pour financer les achats de biens ont besoin d’une épargne conséquente.

À lire aussi : « C’est tellement la galère », armé de ses 5000 flyers, un habitant de Saint-Servan aide les gens à trouver un toit

Un agent immobilier spécialiste du secteur rennais depuis 20 ans l’assure “je n’ai jamais connu une telle situation”. Les dossiers de prêts “ne passent pas pour les demandes de crédits pour un premier bien et sur la location, j’ai parfois près de 100 dossiers pour un appartement”. 

L’espoir de la baisse des taux d’intérêt

Ce 11 avril 2024, pour la toute première fois depuis début 2022, la Banque de France a constaté une baisse du taux de crédit moyen. Il est passé de 4,17% à 4,11% (hors frais et assurance). François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, avait annoncé dès le mois de février que les taux allaient baisser graduellement d’ici la fin du mois de juin.

“Le gouverneur de la Banque de France doit annoncer ce 6 juin le nouveau taux d’intérêt. On a l’espoir que cela baisse d’une vraie baisse » insiste Nicolas Lebon depuis ses bureaux de Rennes. Pour le secrétaire général de la fédération régionale du bâtiment, “avec une baisse de l’inflation et un taux d’intérêt qui chute, nous pouvons espérer un effet mécanique positif pour la filière”.   

Le secteur du bâtiment a besoin d’un vrai électrochoc monétaire. « Plus les taux baisseront, mieux on se portera », affirme Véronique Bédague de Nexity. Mais elle invite surtout le gouvernement à agir. 

Sur le plateau de Franceinfo, la directrice générale du groupe immobilier Nexity exprime des réserves quant aux mesures prises jusqu’à présent par le gouvernement. Elle rappelle que lors du Conseil national de la refondation du Logement de l’année dernière, l’ancienne Première ministre Élisabeth Borne avait promis que le gouvernement « prendrait des mesures pour rendre l’investissement dans le logement plus attrayant » dès la prochaine loi de finances.

Cependant, selon Véronique Bédague, ces mesures n’ont pas été mises en œuvre. Elle reconnaît néanmoins l’engagement du nouveau Premier ministre, Gabriel Attal, qui, lors de son discours de politique générale, a affirmé qu’il serait prêt à se battre pour obtenir des logements « jusqu’à en user ses dents ». Pour les salariés Bretons de Nexity qui ont appris ce 26 avril la mise en place du plan social, rien n’est encore défini. « Nous sommes au début de la période de négociation, il est encore trop tôt pour savoir comment cela se mettra en place en Bretagne » assure Cyril Rizk du premier groupe immobilier français.    

   

  

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Cluny-Mâcon Raid Greenwheel (3) : une nuit chez le chef des douaniers entre le Sénégal et la Guinée

Grande étape de transition pour rejoindre la Guinée.

Pour cela nous devons traverser tout le Sénégal et passer la frontière.

A la première douane, au poste de Boundoufourdou, nous faisons connaissance de Henri, le commissaire qui chapeaute un service d’une dizaine de policiers.

En voyant notre accoutrement et en comprenant notre mission, Henri nous a généreusement invité dans une de ses cases de terre cuite et de paille pour y passer la nuit.

Henri, le chef des douaniers nous accueille chez lui

Nous avons passé la soirée ensemble autour d’un bon diner préparé par ses soins. Henri travaille à la douane de Boundoufourdou la semaine et redescend à Conakry, capitale du pays, le week-end.

C’était une excellente rencontre, pleine de sincérité, de gratitude et de fraternité. Les Guinéens ont un sens de l’accueil incroyable, ce qui a été vérifié à chaque nouvelle rencontre dans ce pays

Des kits solaires similaires aux notres font leur preuve en Guinée

Boundoufourdou n’est pas relié au réseau électrique et les cases sont autonomes en électricité par le biais de kits solaires semblables à ceux que nous allons installer au Togo et au Bénin !

Henri nous a clairement expliqué les avantages de ces installations contrairement au réseau national coûteux, peu fiable et difficile à installer. De quoi motiver encore plus la mission Greenwheel pour continuer sur cette belle lancée  !

Carnet de voyage : une différence de paysage entre le Sénégal et la Guinée.

Nous avons repris la route pour rejoindre Conakry, en observant la nette différence de climat entre le Sénégal et la Guinée : de la végétation variée et abondante, une terre rouge écarlate, un air plus frais et plus humide… On sent qu’on se rapproche d’une région plus tropicale.

L’objectif est désormais simple : rejoindre la capitale pour faire nos visas pour la Côte d’Ivoire et rejoindre la première destination de notre mission, le Togo où nous commencerons à installer les nouveaux kits solaires !

L’objectif de laforet-loiretcher.com est de discuter autour de Agence immobilière Loir-et-Cher dans la transparence la plus générale en vous offrant la visibilité de tout ce qui est publié sur ce sujet sur internet Cet article, qui traite du thème « Agence immobilière Loir-et-Cher », vous est spécialement proposé par laforet-loiretcher.com. Cet écrit se veut réédité de la façon la plus fidèle qui soit. Il est possible d’utiliser les coordonnées inscrites sur notre site pour apporter des détails sur ce post parlant du thème « Agence immobilière Loir-et-Cher ». Il y a de prévu plusieurs articles sur le sujet « Agence immobilière Loir-et-Cher » sous peu, nous vous incitons à consulter notre site plusieurs fois.

Voiture d’occasion : Simplici Car ouvre une agence à La Flèche

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Spécialisée dans la vente de voiture d’occasion récente et premium, la société Simplici Car vient d’ouvrir, début avril 2024, une agence à La Flèche (Sarthe), avenue de Verdun. 

Créée en 2015, la marque possède désormais plus de 100 agences qui sont ouvertes sur le territoire français.

À lire aussi

« Les agents immobiliers du véhicule »

Notre historique et notre savoir-faire entre le vendeur et l’acheteur font de nous les agents immobilier du véhicule.

Romain Lemoine, responsable de l’antenne fléchoise

Outre une transaction sécurisée entre les différents acteurs d’une vente, l’agence offre une garantie d’un an sur tous les véhicules et propose un service clé en main. « Nous permettons aussi de vendre un véhicule 20 % plus cher que de particulier à particulier. »

À lire aussi

Simplici Car, c’est aussi la moto avec Simplici Bike et Simplici Lease, pour la location professionnelle ou location d’utilitaires. « Nous proposons aussi du financement et des assurances. »

Ouvert du lundi au vendredi de 10 à 12 h et de 14 h à 18 h. La société peut également s’organiser pour des rendez-vous en dehors de ces horaires. Contact : Simplici Car, 14 avenue de Verdun, 07 60 00 11 43.

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Achat biens immobiliers à Montrouveau (41) : 429 annonces


3 pièces2 chambres60m²Terrain 5093m²

iad France – Brigitte Vengeon (06 83 12 80 69) vous propose : Charmante maison de campagne à Saint-Arnoult, idéale pour les amoureux de la nature et du calme. Cette maison de 60m² offre un espace de vie chaleureux, sur 5000m² de terrain non clôturé, avec accès à la rivière. Couloir d’entrée, cuisine, salon (avec baignoire), salle d’eau avec lavabo et WC, deux chambres en plain-pied. Grenier aménageable, toiture refaite, fenêtres et volets PVC récents. Habitable de suite mais travaux à prévoir (isolation, électricité, salle d’eau, rafraichissements, etc.). Plusieurs dépendances sont attenantes à la maison : une grange, une cave et un pressoir couvert. C’est l’endroit idéal pour créer un cocon à votre image. N’hésitez pas à me contacter pour planifier une visite et découvrir tout le potentiel de cette maison de campagne. Honoraires d’agence à la charge du vendeur.Information d’affichage énergétique sur ce bien : classe ENERGIE G indice 654 et classe CLIMAT C indice 26. Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr. La présente annonce immobilière a été rédigée sous la responsabilité éditoriale de Mme Brigitte Vengeon EI (ID 63793), mandataire indépendant en immobilier (sans détention de fonds), agent commercial de la SAS I@D France immatriculé au RSAC de BLOIS sous le numéro 905041430, titulaire de la carte de démarchage immobilier pour le compte de la société I@D France SAS.
Retrouvez tous nos biens sur notre site internet. www.iadfrance.fr

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Loire : baisse des intentions d’embauche en 2024

Selon la dernière enquête Besoin de Main d’Œuvre réalisée par France Travail avec le Crédoc, le département de la Loire enregistre une baisse significative des intentions d’embauche par rapport à 2023. Toutefois, près de 20 600 projets de recrutement ont été communiqués sur le territoire, avec des secteurs plus en tension que d’autres.

En 2024 dans la Loire, les intentions d’embauche sont en baisse. Selon l’enquête BMO publiée ce jour par France Travail, et menée avec le Crédoc, on dénombre 20 600 projets de recrutement dans le département cette année. C’est 4 600 de moins qu’en 2023, soit une baisse de 18,25 %. Au niveau de la région Rhône-Alpes, cette baisse est de 13 %, et de 8 % à l’échelle nationale. Dans la Loire, il faut remonter à 2018 pour retrouver un volume équivalent.

76 % de ces projets ne sont pas saisonniers

Lorsque l’on se penche sur la répartition des secteurs qui recrutent dans notre département, ceux qui ont le plus l’intention de recruter sont la santé humaine et l’action sociale (16 %), l’industrie agricole et alimentaire et l’agriculture (13 %), le commerce (12 %), le transport et l’entreposage (12 %), les services aux entreprises (10 %) et l’hébergement et restauration. Sur l’ensemble des intentions annoncées dans le département, 76 % ne sont pas liés à une activité saisonnière.

Au total, 61 % des projets sont jugés comme étant difficiles à réaliser par les employeurs. Dans la région Auvergne Rhône-Alpes, la difficulté de recrutement s’élève à 57,2 % et à 57 % pour la France entière. Elle l’est a à hauteur de 78 % dans le secteur de la construction, de 74 % dans la banque/assurance/immobilier/information, de 70 % dans l’industrie manufacturière, ou encore de 69 % pour les associations et autres services personnels.

Impossible ou presque de recruter des coiffeurs

Toujours dans la Loire, c’est chez les coiffeurs/ esthéticiens que la plus forte proportion de recrutements est jugée difficile puisqu’elle atteint les 100 % (73 % à l’échelle régionale), de même que pour les ouvriers, techniciens et agent de maîtrise de l’habillement (90 % pour la région). Ils sont suivis par les plombiers chauffagistes (92 %), les techniciens médicaux et préparateurs (87 %), ainsi que par les aides à domicile et auxiliaires de vie (86 %).

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