ENQUÊTE (1/2). Qui est Timothée Moiroux, l’interne en médecine à Dijon qui conseille aux patients de « taper » leurs enfants

Il est propriétaire de plus de 110 biens immobiliers, entrepreneur, Youtubeur, interne en médecine, hypnothérapeute… À seulement 25 ans, le CV de Timothée Moiroux est impressionnant. Pourtant, les pratiques médicales du futur soignant ont récemment créé la polémique. Première partie de notre enquête sur ce jeune Bourguignon.

Pour Timothée Moiroux, le vent a commencé à tourner le 24 février 2024. Sur X, anciennement Twitter, un certain @PaduStream poste alors un message, accompagné d’une courte vidéo. On y voit le jeune homme de 25 ans, qui s’exprime dans un podcast filmé. Il y raconte avoir conseillé à une mère de « taper » son enfant « super mal élevé« . 

Rapidement, la vidéo disparaît. « Il a réagi en disant que c’était un montage« , détaille @PaduStream, à l’origine du tweet. Mais après quelques recherches, l’internaute retrouve l’intégralité du podcast. Le passage en question, initialement à 1:09:50, a lui aussi disparu. Découpé grossièrement. 

Ce qui pose problème à @PaduStream, outre, selon lui, l’incitation aux « violences éducatives ordinaires« , interdites depuis 2019, c’est le statut de Timothée Moiroux. Il est interne en médecine générale au CHU de Dijon, et l’échange avec cette mère se serait déroulé, selon son récit, en consultation. 

Dans les commentaires de la série de tweets, vue par près de 745 000 internautes, la sphère médicale s’insurge : « Et il bosse aux urgences…« , « Un vrai danger« … peut-on lire.

L’une écrit, dans une publication Instagram dénonçant les propos de Timothée Moiroux : « Le souci principal ici est que c’est pas le rôle du médecin de faire des leçons de morale éducative à des parents venant en consultation aux urgences, et encore moins dire de taper !« 

Au CHU de Dijon, qui n’a pas donné suite à nos sollicitations, la nouvelle se répand comme une traînée de poudre. Le personnel soignant, qui apprend que l’un de leurs internes en médecine générale tient de tels propos sur les réseaux sociaux, aurait ainsi signalé la vidéo « maintes et maintes fois« , selon une source interne. 

Le cas Timothée Moiroux arrive alors aux oreilles de l’Ordre des médecins de Côte-d’Or. Un coup d’éclat dont ils se seraient bien passé. « Est-ce que ce sont des soins consciencieux de dire à une femme il faut taper son enfant ? Je pense qu’on peut se poser la question », ironise le Dr Romain Thévenoud, le président. Ces propos, selon lui, constitueraient en outre une déconsidération de la profession, interdite dans le Code de santé publique. « C’est monté très haut, confie Romain Thevenoud. Des collèges de pédiatrie partout en France ont été très très choqués. Ils nous ont dit : « Qu’est ce qu’il se passe à Dijon ? » ».

Car la polémique ne s’arrête pas là. Timothée Moiroux, aspirant médecin, baigne aussi dans les « pseudo-sciences ». Sur les réseaux sociaux, où il comptabilise 79 000 abonnés sur Youtube et près de 74 000 sur Instagram, il fait la promotion de ses activités parallèles. 

Timothée Moiroux explique ainsi, dans une vidéo, qu’il aurait « fait une formation pendant un petit mois » pour devenir hypnothérapeute à la fin de sa première année de médecine. Il aurait par la suite donné jusqu’à 30 consultations par semaine durant ses études. En parallèle, il pratique également la programmation neuro-linguistique (PNL), qu’il a mis en application directement sur ses camarades universitaires, comme le rapporte cet article du Quotidien des médecins. 

Des pratiques à première vue bénéfiques, mais pas sans risques, rappelle le collectif No Fake Meds. Formée en 2018 à la suite de la tribune des 124 publiée dans Le Figaro, cette association de professionnels de santé se bat contre les médecines dites « alternatives ». 

Dans les pratiques dénoncées comme non-scientifiques, il y a la naturopathie, la chiropraxie, mais aussi l’hypnothérapie et la PNL. « L’usage du titre d’hypnothérapeute ou de praticien en hypnose n’est pas du tout régulé », remet Pierre de Bremond d’Ars, le président du collectif. Si elle peut être utile dans certains cas, l’hypnose pourrait aussi mener à des dérives : « Il y a déjà le risque de rester seul face au patient lorsqu’un confrère aurait fait mieux. L’autre risque, c’est celui d’une position ascendante voire d’emprise, de dérives sectaires. »

« L’autre risque, c’est celui d’une position ascendante voire d’emprise, de dérives sectaires ».

Pierre de Bremont d’Ars, président du collectif No Fake Meds

Pour la PNL, une pratique originellement populaire dans les milieux sportifs et de coaching, même constat : « Ce sont des techniques qui empruntent beaucoup à l’hypnose. Dès qu’on creuse un peu, on s’aperçoit qu’il y a beaucoup de choses farfelues : par exemple la lecture des mouvements oculaires n’est pas forcément très solide scientifiquement ». Le collectif qualifie donc volontiers la PNL de « pseudo-science » : « Elle se base sur des postulats au mieux extrêmement optimistes au pire farfelus et mensongers avec des techniques marketing pour « ramener » des gens. »

► À LIRE AUSSI : INTERVIEW. Les médecines alternatives, « au mieux c’est extrêmement optimiste, au pire c’est farfelu et mensonger », affirme le collectif No Fake Meds

Dans le cas de Timothée Moiroux, il appuierait sa qualité d' »enseignant en programmation neuro-linguistique et en hypnose ericksonienne dans diverses écoles de commerce » en introduction de cette vidéo intitulée : « Comment manipuler n’importe qui?« .

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Timothée Moiroux est en droit de pratiquer ces médecines alternatives. Ce qui pose question au collectif, c’est son double statut. « Ce qui est compliqué, c’est que ces pratiques qu’il a sont des pratiques commerciales et pas de soins. Elles ne sont pas encadrées par le code de santé publique, on ne peut pas les recommander au patient. Etre étudiant en médecine et en même temps pratiquer l’hypnose et la PNL pose un certain nombre de questions au niveau déontologique. »

Un avis partagé largement par l’Ordre des médecins, mais qui les met dans l’embarras. Lorsqu’il a entendu parler de Timothée Moiroux, Romain Thévenoud s’est immédiatement rapproché du Conseil national de l’Ordre. La réponse ? « Cette personne est un étudiant en médecine, non titulaire d’une licence de remplaçant, vous n’avez donc aucun moyen de pression sur lui ». 

Malgré nos relances, Timothée Moiroux n’a pas donné suite à nos sollicitations. Pour l’heure, il est toujours interne en médecine générale au CHU de Dijon. Il vient de finir son troisième semestre. 

L’Université de Bourgogne ne cautionne en aucun cas ni les propos ni l’attitude de M.Moiroux.

Université de Bourgogne

C’est la faculté qui décidera ou non de lui accorder son diplôme. Sollicitée, elle nous répond par ce message : « Les équipes de l’université sont informées. L’université de Bourgogne ne cautionne en aucun cas ni les propos ni l’attitude de M. Moiroux sur les réseaux sociaux. Il est seul responsable de ses propos, et ne représente en aucune manière l’établissement. »

Le président de l’Ordre des médecins de Côte-dOr, lui, n’exclut pas que Timothée Moiroux s’installe un jour dans son département. Il en doute, puisque le père de l’influenceur est médecin en Saône-et-Loire, mais l’affirme : « s’il s’inscrivait chez moi, je le convoquerai et je lui demanderai des comptes ». Dans le viseur, ses propos polémiques et ses activités parallèles, dont une qui pose souci à l’Ordre : celle, très visible sur les réseaux sociaux, d’influenceur en investissements immobiliers. 

À SUIVRE : Dans les formations en investissement immobilier à 4000€ de Timothée Moiroux, un « festival de n’importe quoi » et des accusations de plagiat 

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Finances 900 millions d’euros récupérés chez les plus riches en 2023

Le contrôle fiscal des plus riches a sa propre direction, la DNVSF, qu’a rencontrée vendredi à Paris le ministre aux Comptes publics Thomas Cazenave – qui souhaitait montrer que l’Etat oblige les plus aisés à payer ce qu’ils doivent à la collectivité – plutôt que d’augmenter leurs impôts.

Les 20 000 plus riches ciblés

La Direction nationale de vérification des situations fiscales occupe un immeuble très discret du XVIIe arrondissement, sans enseigne ni plaque distinctive.

A l’intérieur s’activent 259 agents, d’une moyenne d’âge de 42 ans, inférieure à celle de l’ensemble des agents du fisc.

Leur cible exclusive: les quelque 20 000 foyers français les plus riches, ceux dont les revenus annuels dépassent un million d’euros et/ou dont le patrimoine immobilier excède 6,9 millions d’euros.

« Des dossiers sensibles, en raison de la notoriété de certains de ces concitoyens… qui méritent comme tout un chacun la protection la plus absolue du secret professionnel », commente le directeur Stéphane Créange.

Ici, « j’aime la recherche et les investigations », témoigne une agente, « c’est un travail qui a du sens et me donne le sentiment d’être utile », affirme une autre.

« Un travail très varié »

D’autres relèvent « un travail très varié », « des montages intéressants » à débusquer. Contrôler « des revenus importants », « avec plusieurs zéros », plaît aussi aux agents. « Difficile de ne pas avoir une passion pour la DNVSF », résume carrément la plus âgée, à la direction depuis sa sortie d’école. « Je ne peux que vous encourager », sourit Thomas Cazenave, qui rencontrait cette direction pour la première fois depuis son arrivée à Bercy en juillet.

Les brigades de la DNVSF ont traité 1 600 dossiers en 2023 et mis en recouvrement 900 millions d’euros, entre droits à recouvrer et pénalités. 80 % ont été récupérés l’année-même.

Des montages souvent complexes

Les agents ont présenté au ministre plusieurs cas anonymisés de montages complexes, avec des titres en forme de résumé pour les rendre plus simples à comprendre des non spécialistes.

Ainsi, « Jamais sans mon package » – revenus salariaux déguisés, 16 millions d’euros à récupérer -, « Mon paradis fiscal » – défaut de déclaration concernant un trust à l’étranger, 30 millions -, « Mes boîtes aux lettres belges » – domiciliation fictive en Belgique d’un contribuable et de sa société, 20 millions -, « Ma tirelire » – recours frauduleux aux avantages du « Pacte Dutreil », dans une transmission patrimoniale, 15 millions.

« Vous êtes au cœur du plan de lutte contre les fraudes », lancé en mai dernier par le Premier ministre Gabriel Attal, alors ministre des Comptes publics, a relevé M. Cazenave.
Il a observé qu’en 2023, à l’échelon national, la cible d’augmentation des contrôles avait été atteinte pour l’impôt sur le revenu (IR). Le montant des rappels a progressé de 25% (plus de 500 millions d’euros) par rapport à 2022, à 2,2 milliards d’euros.

Coopération internationales

Le ministre a souhaité que la progression sur les droits de succession et la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus s’élève désormais au même niveau.
En 2023, les rappels sur les droits de succession ont atteint près de 3 milliards d’euros (+300 millions d’euros), et ceux sur la contribution exceptionnelle, 1,7 milliard (+200 millions d’euros).

Thomas Cazenave a salué les bons résultats de la coopération internationale en matière de données fiscales, notant que le partage automatique des données bancaires avait permis de diviser par trois l’évasion fiscale des particuliers en une décennie.

Il a souhaité la généralisation du recours à l’intelligence artificielle et au « webscrapping », collecte en masse des données sur les réseaux sociaux, pour débusquer les fraudeurs, ainsi qu’une utilisation accrue par le fisc du nouveau délit de « mise à disposition des schémas de fraude fiscale » par des professionnels du droit ou de la comptabilité peu scrupuleux.

Alors que de plus en plus de voix, y compris dans la majorité, réclament une taxation supplémentaire des très riches, le gouvernement refuse d’augmenter les impôts, préférant baisser les dépenses : « Ce que je défends, alors que les plus riches dans notre pays ont déjà une fiscalité importante – c’est que les impôts qui sont dus, soient effectivement payés », a indiqué Thomas Cazenave.

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Voici les deux régions de France où les taux immobiliers sont les plus bas

Depuis le début de l’année, le marché immobilier amorce une timide reprise. Ce contexte, en partie dû au léger assouplissement des taux de crédits immobiliers, peut représenter une opportunité intéressante pour les ménages français qui souhaitent devenir propriétaires. « La détente des taux s’observe depuis la fin du mois de décembre 2023 », explique Cécile Roquelaure, directrice des études d’Empruntis. Elle est due à deux choses : la stabilisation voire la baisse du coût de refinancement des banques (le prix auquel ces dernières empruntent de l’argent sur les marchés financiers, NDLR) et le retour de la concurrence. »

En effet, contraintes de payer plus cher pour se refinancer auprès de la BCE, qui a procédé à plusieurs hausses de ses taux d’intérêt directeurs pour tenter de juguler l’inflation, les banques ont augmenté leurs barèmes ces deux dernières années… ce qui a mécaniquement désolvabilisé une partie des emprunteurs. Un certain nombre de banques ont également durci leurs conditions d’accès au crédit ou tout simplement arrêté de proposer ce type de produits. Mais avec l’amélioration de la situation économique, les établissements bancaires reviennent depuis quelques mois sur ce segment de marché pour conquérir de nouveaux clients.

Si cette conjoncture est globalement favorable aux emprunteurs, les 13 régions françaises ne sont pas toutes logées à la même enseigne.  » Quand les banques sont situées dans un secteur qui attire de nouveaux emprunteurs, elles vont entrer en concurrence, rappelle Cécile Roquelaure. Et pour conquérir ces potentiels clients, elles vont être un peu plus offensives en matière de politique tarifaire. « 

Au mois d’avril 2024, deux régions sortent du lot. Il s’agit de la Bretagne et des Pays de la Loire, qui affichent toutes les deux des taux immobiliers moyens à 3,85% sur 20 ans, contre 3,95% en moyenne en France, selon Empruntis. Ces deux territoires affichent, une importante attractivité économique. Selon les chiffres de l’Insee, le taux de chômage au 4e trimestre 2023 s’y établit respectivement à 6,1 et 5,9%, contre 7,5% en moyenne à l’échelle nationale. Ils disposent aussi de réseaux de transports performants, qui offrent une connexion directe avec l’Île-de-France. « Ces régions ont une très bonne dynamique locale, observe Cécile Roquelaure. Il y a des entreprises qui s’implantent, qui se créent. Il y a donc une très forte attractivité. »

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Placement immobilier : les SCPI en pleine crise de confiance

Prisées pour la régularité métronomique de leur rendement depuis plus de 10 ans, les SCPI ou sociétés civiles de placement immobilier font grise mine. Pour certains véhicules, touchés par la décote de leurs actifs et la méfiance des investisseurs, c’est même la déconfiture.

Le marché ne s’écroule pas mais plusieurs indicateurs virent au rouge. Depuis plus d’un an, les SCPI qui achètent principalement des immeubles de bureaux – plus de 60 % de leur patrimoine – mais aussi des commerces et autres locaux pour les louer ont été rattrapées par le changement de paradigme. A l’instar d’autres placements immobiliers, elles ont dû affronter la hausse brutale des taux d’intérêt, dans un contexte inflationniste. Ce qui a entraîné une correction des actifs dont elles sont propriétaires partout en Europe.

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Immobilier : comment gagner plus d’argent avec des loyers moins élevés

Donner du sens à son investissement est une nouvelle tendance chez les particuliers. 220 Selfmade studio – stock.adobe.com

NOS CONSEILS – Accepter de baisser son loyer ou investir dans des logements abordables peut être avantageux pour vos finances.

Dans un marché locatif tendu, le bras de fer est rude entre locataires et propriétaires. Les uns estiment ne pas avoir les revenus suffisants pour payer des loyers trop élevés, du fait de la pénurie de logements disponibles à la location. Les autres, au contraire, considèrent que les loyers sont trop faibles au regard des dépenses qu’ils doivent engager pour entretenir leur logement. «Ce n’est pas normal que la hausse des loyers soit plafonnée et pas celle de la taxe foncière !, dénonce Laurent 58 ans, habitant la région parisienne. Sans compter les lourds travaux pour la rénovation énergétique.» Que Laurent se rassure : le plafonnement de la hausse des loyers, qui aura duré deux ans, prendra fin dans trois mois. Mais ils resteront néamoins soumis au respect d’une indexation respectant les évolutions de l’Indice de référence des loyers (IRL).

Pour satisfaire propriétaires et locataires, un dispositif, pour le moins attrayant, existe. Son nom ?

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Carcassonne : les élèves de 5e du collège de Grazailles en voyage aux châteaux de la Loire

53 élèves de 5e du collège de Grazailles ont voyagé du 3 au 6 avril dans le Val de Loire afin de promouvoir le parcours d’éducation artistique et culturelle de l’établissement.

Les 53 élèves chanceux étaient accompagnés de leurs professeures de mathématiques Mme Ait Aissa, de lettres modernes, Mme Langlais et de leurs professeurs d’histoire-géographie M. Gros et Mme Verlaine. Ce voyage a été l’occasion de découvrir le patrimoine culturel du Val de Loire et d’aiguiser l’appétit culturel et scientifique des élèves.

Un voyage à travers le temps et les sciences

C’est un voyage en trois étapes dont les élèves ont pu profiter. La première leur a permis de plonger dans l’univers balzacien au musée du Saché. Les élèves ont pu trouver tour à tour l’inspiration en expérimentant la lecture à haute voix tel qu’elle était pratiquée au XIXe siècle. Le séjour s’est ensuite poursuivi par un rallye-découverte de la ville d’Ambroise et de la visite du château Royal d’Ambroise. C’est dans cette ville, haut lieu de la Renaissance, que les élèves ont pu appréhender également le génie visionnaire de Léonard de Vinci au château Clos-Lucé. Lors de la dernière journée, le groupe a pris la direction du château de Chenonceau aussi appelé « Le château des Dames », chef-d’œuvre architectural surplombant le Cher avant de terminer le voyage en visitant les allées des jardins potagers et d’ornement du Château de Villandry.

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Immobilier : un mauvais diagnostic énergétique (DPE) peut plomber le prix d’un bien de plus de 15%

Les notaires l’avaient déjà constaté, l’Observatoire du Crédit Logement/CSA le confirme : les étiquettes énergétiques DPE (diagnostic de performance énergétique), pourtant de plus en plus contestées sur le fond, ont une forte influence sur les prix de l’immobilier.

En prenant comme référence une étiquette D, l’Observatoire a en effet mesuré l’écart de prix de moyen au mètre carré par l’étiquette concerné. Et le constat est sans appel. En 2022, l’écart de prix par rapport à une étiquette G est de -5,4% et, à l’inverse, il est de + 2,4 % pour une étiquette A (excellent DPE).

« Ce phénomène était donc visible dès 2022 », souligne Jean-Marc Vilon, directeur général de Crédit Logement. Et, en 2023, cet écart s’est encore creusé : un bien immobilier avec une étiquette G s’est vendu moins cher de près de 10 % (9,7%) qu’un bien avec un DPE D alors qu’un bien avec une étiquette A se vendre en moyenne 4,2 % plus cher. Ces écarts ont donc pratiquement doublé en un an en moyenne.

Disparités géographiques

Toutefois, il existe de très grandes disparités entre les régions. Sur certaines régions, une « mauvaise étiquette » peut plomber le prix d’un bien de 15 % à 18 %, comme en Bourgogne-Franche-Comté (-16,3%), Centre-Val de Loire (-17,9%), Centre Est (-14, 7%) ou Hauts-de-France (-15,9%). Le pari n’est pas forcément gagnant en cas d’étiquette A, avec des hausses par rapport à une étiquette D, de 3% à 7,5% (hors Paris et Ile-de-France).

Logiquement, cet écart est plus réduit, dans des régions au climat plus doux, comme Occitanie et Provence-Alpes-Côte d’Azur, ou sur des marchés en tension comme l’Ile-de-France. A Paris, où la demande est également forte et le logement neuf quasiment inexistant, l’impact est quasi-nul (-3% pour une étiquette G).

Ce travail minutieux souligne l’importance du DPE pour la valorisation d’un bien. Une récente étude du Conseil d’analyse économique (CAE) a pourtant démontré que la rénovation énergétique d’un bien n’est pas forcément rentable du point de vue du consommateur. C’est l’un des paradoxes soulevés par l’étude : lorsqu’un ménage vit dans une passoire énergétique, il fait très attention à sa consommation d’énergie alors que ce même ménage aura tendance à augmenter sa consommation dans un logement rénové.

Mauvais calcul économique

Sur le papier, une rénovation énergétique pour un logement moyen est de l’ordre de 50.000 euros pour une valeur moyenne d’un logement en France de l’ordre de 200.000 euros. Ce qui fait que chaque logement a une dette écologique de l’ordre de 25 % de sa valeur. Et c’est sans parler des problèmes de fissures dans les zones argileuses en raison des sécheresses ! Et finalement, le gain espéré des travaux ne sera que de l’ordre de quelques centaines d’euros par an sur la facture d’énergie.

En outre, comme le montrent les données de Crédit Logement, le DPE a un impact négatif sur les prix dans un marché déjà en correction, qui peut être violent pour les maisons individuelles dans les petites villes de province. Certes, les biens rénovés se défendent mieux que les biens non rénovés, surtout pour les étiquettes E, F et G. En revanche, un logement avec une étiquette A ou B ne se vendra pas beaucoup plus cher qu’un bien C et D, qui représente l’essentiel du parc.

Conclusion du CAE, mais aussi de nombreux professionnels de l’immobilier ou de banquiers : il est urgent de réformer le DPE, qui est pourtant le pilier de la politique de rénovation du logement du gouvernement. Tout le monde se doutait des insuffisances méthodologiques du DPE, mais personne dans les ministères, n’avait anticipé les effets économiques colossaux de cette politique, de la richesse immobilière des Français au manque à gagner pour les collectivités en termes de droit de mutation.

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Pourquoi cette résidence sur les bords de Loire, près d’Orléans, irrite-t-elle les riverains

Des riverains, qui avaient d’abord contesté ce projet immobilier érigé sur les bords de Loire à Saint-Jean-de-la-Ruelle, se mobilisent, désormais, contre la hauteur du bâtiment qui ne respecte pas le permis de construire.

Les balcons de la résidence du clos Montespan ressemblent à des plongeoirs au-dessus de la Loire. Seulement, la hauteur des sauts déplaît à un collectif de riverains. Trop haut.
La construction de cet ensemble d’une vingtaine de logements ne respecte pas le permis de construire ; il n’est pas davantage en conformité avec le plan local d’urbanisme. Un géomètre a été sollicité, un huissier a assuré les constatations. Et le rapport de l’expert judiciaire, daté du 28 novembre 2022, est clair : la façade avant affiche un dépassement de 1,20 mètre et la façade arrière, 1,73 mètre.

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Crédit immobilier : la baisse du taux moyen sous les 4 % ne convainc pas les acheteurs

Le taux moyen des crédits immobiliers est repassé sous la barre des 4 % au premier trimestre, à 3,99 %, selon les données de l’Observatoire CSA/Crédit logement publiées mardi, dans un marché qui tourne toujours au ralenti.

La baisse est légère mais notable par rapport au quatrième trimestre 2023, quand le taux moyen culminait à 4,18 %. Elle marque surtout à l’échelle du trimestre un mouvement inverse de celui constaté depuis deux ans.

Taux à peine supérieurs à 1 % en 2022

Le marché du crédit immobilier a en effet changé de visage depuis le début de l’année 2022, lorsque les taux moyens étaient à peine supérieurs à 1 %.

La hausse des taux de la Banque centrale européenne (BCE) pour contrer l’inflation est venue tout chambouler : elle a renchéri le coût de l’argent pour les banques, qui ont répercuté ce surcoût à leurs clients pour conserver leurs marges.

Le taux donné par Crédit Logement, fruit d’un retraitement sur la base de données partielles, est légèrement différent de celui de la Banque de France, qui a une vision exhaustive mais avec un léger retard : il était de 4,11 % au mois de février selon cette dernière, mais avait amorcé lui aussi une baisse par rapport à la marque précédente, en janvier.

Ces taux s’entendent hors frais et assurance. Tous frais compris, le taux était entre janvier et mars de 4,79 % sur 20 ans et plus, selon la Banque de France.

Pour un prêt de 100 000 euros sur 25 ans, cela représente un coût du crédit de plus de 55 000 euros, trois fois plus qu’il y a deux ans, une donnée que les candidats à l’achat doivent intégrer dans leur projet.

Des solutions pour faire repartir la machine

Les prix de l’immobilier n’ayant pas baissé d’autant, le marché se retrouve grippé. La production de nouveaux crédits à l’habitat (hors renégociations) est tombée à 7,3 milliards d’euros au mois de février, selon la Banque de France, un plus bas depuis près de dix ans.

Le gouvernement et certains parlementaires cherchent des solutions pour faire repartir la machine. Ainsi le député Renaissance Lionel Causse porte une proposition de loi, examinée à l’Assemblée nationale le 29 avril, visant à réformer le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), qui édicte entre autres des règles encadrant l’octroi de crédit immobilier.

« Le problème du logement, c’est qu’il est trop cher (…), c’est là-dessus qu’il faut agir », lui avait rétorqué le président de la commission des Finances de l’Assemblée Eric Coquerel (LFI) mercredi dernier.

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Crédit immobilier : le nombre de prêts remonte en flèche et signe le retour des emprunteurs

Le marché du crédit immobilier, après son effondrement au second semestre 2023, amorce un nouveau cycle. « C’est clairement un paysage de sortie de crise que nous observons », résume Michel Mouillart, professeur des Universités et conseiller scientifique de l’Observatoire Crédit Logement, lors de la présentation de son étude sur le premier trimestre. Une sortie de crise qui sera « lente, avec peut-être des déconvenues », tempère cependant cet expert reconnu du marché de l’immobilier.

La baisse des taux moyens de crédits à l’habitat (hors assurances et frais) se confirme, et ce depuis le début de l’année, sur un rythme soutenu de l’ordre de dix points de base par mois.

Sur le premier trimestre, le taux moyen relevé par Crédit Logement (dès l’octroi de la garantie, soit un ou deux mois avant le décaissement effectif du crédit qui est lui comptabilisé par la Banque de France) s’établit à 3,99%, contre une moyenne de 4,20 % au trimestre précédent. Selon les derniers pointages, le taux moyen poursuit sa décrue à la mi-avril à 3,83%, une baisse qui ne ralentit donc pas. Selon les prévisions de Crédit Logement, ce taux moyen devrait tomber à 2,75% à la fin de l’année et retrouver ses niveaux des années 2013-2014.

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Peu d’impact sur la capacité d’emprunt

« 75% des emprunteurs bénéficient aujourd’hui de conditions dont nous n’aurions pas rêvé il y a quelques mois encore », décrit Michel Mouillart. Et cette baisse des taux bénéficie à toutes les catégories de prêts et toutes les catégories d’emprunteurs, même ceux dont le profil est jugé plus risqué. Cela témoigne aussi du retour des banques sur le marché du crédit alors même que les conditions de refinancement ne sont pas améliorées aussi rapidement que prévu.

Pour autant, cette baisse des taux n’a pas encore véritablement influé sur la capacité d’emprunt des ménages. En décembre 2023 et mars 2024, l’annuité moyenne a reculé de seulement 3 %. Reste que les contraintes de crédit devraient s’alléger progressivement.

Ainsi, le coût moyen d’une opération (différent du prix au m2) a tendance à se stabiliser (-2%) sur le premier trimestre – il augmente même en mars – après la chute de 2023 (-5,9%). Ces deux années de crise ont, en effet, profondément transformé le marché du crédit immobilier, avec un déplacement de clientèle sur de nouvelles zones géographiques plus accessibles ou l’abandon de centres urbains, ce qui s’est traduit par une baisse du coût moyen d’une opération.

Situation paradoxale

Mais là aussi, le marché semble sur un point d’inflexion. En revanche, l’apport personnel continue de grimper fortement, sur des rythmes de croissance de 2020 à 2022. C’est bien cette forte hausse de l’apport personnel depuis 2019 – il a même bondi de 55 % sur le logement neuf – qui souligne l’éviction du marché des jeunes, des ménages les plus modestes, des familles nombreuses.

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Mais, selon les données de l’Observatoire, la baisse des taux n’a pas permis de redresser l’indicateur de solvabilité des ménages, qui stagne au même niveau depuis un an et demi. Cet indicateur clé est tiraillé par des vents contraires, entre rebond du coût des opérations, hausse de l’apport et stagnation des revenus.

« Nous sommes dans une situation un peu paradoxale. D’un côté, nous avons des indicateurs qui nous disent le marché reprend progressivement des couleurs. Mais, de l’autre côté, les indicateurs conventionnels d’évaluation des capacités des ménages à emprunter ou à entrer sur le marché semblent flotter, en tout cas, ne donnent pas de signes très convaincants d’évolution du marché, dans un sens comme dans l’autre », avance Michel Mouillart.

Évolution spectaculaire

Pour autant, la baisse des taux est un signal fort à destination des ménages pour enfin imaginer, à nouveau, des projets immobiliers. « Nous sommes quand même dans une situation où beaucoup de conditions font que probablement la décision d’acheter un bien immobilier l’emporte désormais sur la décision de ne pas le faire », ajoute l’économiste.

Pourtant, en glissement annuel (premier trimestre 2024 vs premier trimestre 2023), rien de bouge sur la production de crédit. Le nombre de prêts en toujours en fort recul de 35% et la production tombe de plus de 40%. Mais, ces chiffres du premier trimestre masquent en réalité, selon l’Observatoire, des évolutions « spectaculaires ».

En glissement trimestriel (premier trimestre 2024 vs le trimestre précédent), le nombre de prêts a augmenté de 1% et la baisse de la production est limitée à 2%. Ce qui marque un retournement après l’effondrement de la production au second semestre 2023. L’ouverture du robinet à crédit et le retour des emprunteurs a même permis sur le mois de mars, comparé à décembre, un bond de 46% du nombre de dossiers et de 52% de la production. Certes, décembre fut sans doute un point bas, mais « nous n’avons jamais connu un rebond d’une telle ampleur », note Michel Mouillart.

Pour autant, la production de crédit ne devrait pas connaître en 2024 une hausse spectaculaire, mais plutôt prendre la forme d’une lente remontée après une période très déprimée. Au total, la production, cette année, devrait rester autour de 150 milliards d’euros, soit le même niveau qu’en 2023, avant de connaître une progression à deux chiffres, dans le sillage du second semestre 2024, et pourrait atteindre les 165 ou 170 milliards d’euros fin 2025. Une certitude : le marché ne retrouvera jamais les belles années de 2019 ou de 2021 (200 milliards) !

Le diagnostic énergétique a une forte influence sur les prix

 Les notaires l’avaient déjà constaté, l’Observatoire du Crédit Logement/CSA le confirme : les étiquettes énergétiques DPE (diagnostic de performance énergétique), pourtant de plus en plus contestées sur le fond, ont une forte influence sur les prix de l’immobilier.

En prenant comme référence une étiquette D, l’Observatoire a en effet mesuré l’écart de prix de moyen au mètre carré par l’étiquette concerné. Et le constat est sans appel. En 2022, l’écart de prix par rapport à une étiquette G est de -5,4% et, à l’inverse, il est de + 2,4 % pour une étiquette A (excellent DPE). « Ce phénomène était donc visible dès 2022 », souligne Jean-Marc Vilon, directeur général de Crédit Logement.

En 2023, cet écart s’est encore creusé : un bien immobilier avec une étiquette G va se vendre moins cher de près de 10 % (9,7%) qu’un bien avec un DPE D alors qu’un bien avec une étiquette A se vendre en moyenne 4,2 % plus cher. Ces écarts ont donc pratiquement doublé en un an en moyenne.

Toutefois, il existe de très grandes disparités entre les régions. Sur certaines régions, une « mauvaise étiquette » peut plomber le prix d’un bien de 15 % à 18 %, comme en Bourgogne Franche Comté (-16,3%), Centre Val de Loire (-17,9%) ou Hauts de France (-15,9%). En revanche, cet écart peut-être plus réduit, voire négligeable, dans des régions au climat plus doux, comme Occitanie et Provence-Alpes-Côte d’Azur, ou sur des marchés en tension comme l’Ile-de-France. A Paris, où le logement neuf est quasiment inexistant, l’impact est quasi-nul (-3% pour une étiquette G).

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