Carcassonne : les élèves de 5e du collège de Grazailles en voyage aux châteaux de la Loire

53 élèves de 5e du collège de Grazailles ont voyagé du 3 au 6 avril dans le Val de Loire afin de promouvoir le parcours d’éducation artistique et culturelle de l’établissement.

Les 53 élèves chanceux étaient accompagnés de leurs professeures de mathématiques Mme Ait Aissa, de lettres modernes, Mme Langlais et de leurs professeurs d’histoire-géographie M. Gros et Mme Verlaine. Ce voyage a été l’occasion de découvrir le patrimoine culturel du Val de Loire et d’aiguiser l’appétit culturel et scientifique des élèves.

Un voyage à travers le temps et les sciences

C’est un voyage en trois étapes dont les élèves ont pu profiter. La première leur a permis de plonger dans l’univers balzacien au musée du Saché. Les élèves ont pu trouver tour à tour l’inspiration en expérimentant la lecture à haute voix tel qu’elle était pratiquée au XIXe siècle. Le séjour s’est ensuite poursuivi par un rallye-découverte de la ville d’Ambroise et de la visite du château Royal d’Ambroise. C’est dans cette ville, haut lieu de la Renaissance, que les élèves ont pu appréhender également le génie visionnaire de Léonard de Vinci au château Clos-Lucé. Lors de la dernière journée, le groupe a pris la direction du château de Chenonceau aussi appelé « Le château des Dames », chef-d’œuvre architectural surplombant le Cher avant de terminer le voyage en visitant les allées des jardins potagers et d’ornement du Château de Villandry.

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Immobilier : un mauvais diagnostic énergétique (DPE) peut plomber le prix d’un bien de plus de 15%

Les notaires l’avaient déjà constaté, l’Observatoire du Crédit Logement/CSA le confirme : les étiquettes énergétiques DPE (diagnostic de performance énergétique), pourtant de plus en plus contestées sur le fond, ont une forte influence sur les prix de l’immobilier.

En prenant comme référence une étiquette D, l’Observatoire a en effet mesuré l’écart de prix de moyen au mètre carré par l’étiquette concerné. Et le constat est sans appel. En 2022, l’écart de prix par rapport à une étiquette G est de -5,4% et, à l’inverse, il est de + 2,4 % pour une étiquette A (excellent DPE).

« Ce phénomène était donc visible dès 2022 », souligne Jean-Marc Vilon, directeur général de Crédit Logement. Et, en 2023, cet écart s’est encore creusé : un bien immobilier avec une étiquette G s’est vendu moins cher de près de 10 % (9,7%) qu’un bien avec un DPE D alors qu’un bien avec une étiquette A se vendre en moyenne 4,2 % plus cher. Ces écarts ont donc pratiquement doublé en un an en moyenne.

Disparités géographiques

Toutefois, il existe de très grandes disparités entre les régions. Sur certaines régions, une « mauvaise étiquette » peut plomber le prix d’un bien de 15 % à 18 %, comme en Bourgogne-Franche-Comté (-16,3%), Centre-Val de Loire (-17,9%), Centre Est (-14, 7%) ou Hauts-de-France (-15,9%). Le pari n’est pas forcément gagnant en cas d’étiquette A, avec des hausses par rapport à une étiquette D, de 3% à 7,5% (hors Paris et Ile-de-France).

Logiquement, cet écart est plus réduit, dans des régions au climat plus doux, comme Occitanie et Provence-Alpes-Côte d’Azur, ou sur des marchés en tension comme l’Ile-de-France. A Paris, où la demande est également forte et le logement neuf quasiment inexistant, l’impact est quasi-nul (-3% pour une étiquette G).

Ce travail minutieux souligne l’importance du DPE pour la valorisation d’un bien. Une récente étude du Conseil d’analyse économique (CAE) a pourtant démontré que la rénovation énergétique d’un bien n’est pas forcément rentable du point de vue du consommateur. C’est l’un des paradoxes soulevés par l’étude : lorsqu’un ménage vit dans une passoire énergétique, il fait très attention à sa consommation d’énergie alors que ce même ménage aura tendance à augmenter sa consommation dans un logement rénové.

Mauvais calcul économique

Sur le papier, une rénovation énergétique pour un logement moyen est de l’ordre de 50.000 euros pour une valeur moyenne d’un logement en France de l’ordre de 200.000 euros. Ce qui fait que chaque logement a une dette écologique de l’ordre de 25 % de sa valeur. Et c’est sans parler des problèmes de fissures dans les zones argileuses en raison des sécheresses ! Et finalement, le gain espéré des travaux ne sera que de l’ordre de quelques centaines d’euros par an sur la facture d’énergie.

En outre, comme le montrent les données de Crédit Logement, le DPE a un impact négatif sur les prix dans un marché déjà en correction, qui peut être violent pour les maisons individuelles dans les petites villes de province. Certes, les biens rénovés se défendent mieux que les biens non rénovés, surtout pour les étiquettes E, F et G. En revanche, un logement avec une étiquette A ou B ne se vendra pas beaucoup plus cher qu’un bien C et D, qui représente l’essentiel du parc.

Conclusion du CAE, mais aussi de nombreux professionnels de l’immobilier ou de banquiers : il est urgent de réformer le DPE, qui est pourtant le pilier de la politique de rénovation du logement du gouvernement. Tout le monde se doutait des insuffisances méthodologiques du DPE, mais personne dans les ministères, n’avait anticipé les effets économiques colossaux de cette politique, de la richesse immobilière des Français au manque à gagner pour les collectivités en termes de droit de mutation.

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Pourquoi cette résidence sur les bords de Loire, près d’Orléans, irrite-t-elle les riverains

Des riverains, qui avaient d’abord contesté ce projet immobilier érigé sur les bords de Loire à Saint-Jean-de-la-Ruelle, se mobilisent, désormais, contre la hauteur du bâtiment qui ne respecte pas le permis de construire.

Les balcons de la résidence du clos Montespan ressemblent à des plongeoirs au-dessus de la Loire. Seulement, la hauteur des sauts déplaît à un collectif de riverains. Trop haut.
La construction de cet ensemble d’une vingtaine de logements ne respecte pas le permis de construire ; il n’est pas davantage en conformité avec le plan local d’urbanisme. Un géomètre a été sollicité, un huissier a assuré les constatations. Et le rapport de l’expert judiciaire, daté du 28 novembre 2022, est clair : la façade avant affiche un dépassement de 1,20 mètre et la façade arrière, 1,73 mètre.

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Crédit immobilier : la baisse du taux moyen sous les 4 % ne convainc pas les acheteurs

Le taux moyen des crédits immobiliers est repassé sous la barre des 4 % au premier trimestre, à 3,99 %, selon les données de l’Observatoire CSA/Crédit logement publiées mardi, dans un marché qui tourne toujours au ralenti.

La baisse est légère mais notable par rapport au quatrième trimestre 2023, quand le taux moyen culminait à 4,18 %. Elle marque surtout à l’échelle du trimestre un mouvement inverse de celui constaté depuis deux ans.

Taux à peine supérieurs à 1 % en 2022

Le marché du crédit immobilier a en effet changé de visage depuis le début de l’année 2022, lorsque les taux moyens étaient à peine supérieurs à 1 %.

La hausse des taux de la Banque centrale européenne (BCE) pour contrer l’inflation est venue tout chambouler : elle a renchéri le coût de l’argent pour les banques, qui ont répercuté ce surcoût à leurs clients pour conserver leurs marges.

Le taux donné par Crédit Logement, fruit d’un retraitement sur la base de données partielles, est légèrement différent de celui de la Banque de France, qui a une vision exhaustive mais avec un léger retard : il était de 4,11 % au mois de février selon cette dernière, mais avait amorcé lui aussi une baisse par rapport à la marque précédente, en janvier.

Ces taux s’entendent hors frais et assurance. Tous frais compris, le taux était entre janvier et mars de 4,79 % sur 20 ans et plus, selon la Banque de France.

Pour un prêt de 100 000 euros sur 25 ans, cela représente un coût du crédit de plus de 55 000 euros, trois fois plus qu’il y a deux ans, une donnée que les candidats à l’achat doivent intégrer dans leur projet.

Des solutions pour faire repartir la machine

Les prix de l’immobilier n’ayant pas baissé d’autant, le marché se retrouve grippé. La production de nouveaux crédits à l’habitat (hors renégociations) est tombée à 7,3 milliards d’euros au mois de février, selon la Banque de France, un plus bas depuis près de dix ans.

Le gouvernement et certains parlementaires cherchent des solutions pour faire repartir la machine. Ainsi le député Renaissance Lionel Causse porte une proposition de loi, examinée à l’Assemblée nationale le 29 avril, visant à réformer le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), qui édicte entre autres des règles encadrant l’octroi de crédit immobilier.

« Le problème du logement, c’est qu’il est trop cher (…), c’est là-dessus qu’il faut agir », lui avait rétorqué le président de la commission des Finances de l’Assemblée Eric Coquerel (LFI) mercredi dernier.

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Crédit immobilier : le nombre de prêts remonte en flèche et signe le retour des emprunteurs

Le marché du crédit immobilier, après son effondrement au second semestre 2023, amorce un nouveau cycle. « C’est clairement un paysage de sortie de crise que nous observons », résume Michel Mouillart, professeur des Universités et conseiller scientifique de l’Observatoire Crédit Logement, lors de la présentation de son étude sur le premier trimestre. Une sortie de crise qui sera « lente, avec peut-être des déconvenues », tempère cependant cet expert reconnu du marché de l’immobilier.

La baisse des taux moyens de crédits à l’habitat (hors assurances et frais) se confirme, et ce depuis le début de l’année, sur un rythme soutenu de l’ordre de dix points de base par mois.

Sur le premier trimestre, le taux moyen relevé par Crédit Logement (dès l’octroi de la garantie, soit un ou deux mois avant le décaissement effectif du crédit qui est lui comptabilisé par la Banque de France) s’établit à 3,99%, contre une moyenne de 4,20 % au trimestre précédent. Selon les derniers pointages, le taux moyen poursuit sa décrue à la mi-avril à 3,83%, une baisse qui ne ralentit donc pas. Selon les prévisions de Crédit Logement, ce taux moyen devrait tomber à 2,75% à la fin de l’année et retrouver ses niveaux des années 2013-2014.

Lire aussiCrédit immobilier : le taux moyen repasse sous le seuil des 4 % en février

Peu d’impact sur la capacité d’emprunt

« 75% des emprunteurs bénéficient aujourd’hui de conditions dont nous n’aurions pas rêvé il y a quelques mois encore », décrit Michel Mouillart. Et cette baisse des taux bénéficie à toutes les catégories de prêts et toutes les catégories d’emprunteurs, même ceux dont le profil est jugé plus risqué. Cela témoigne aussi du retour des banques sur le marché du crédit alors même que les conditions de refinancement ne sont pas améliorées aussi rapidement que prévu.

Pour autant, cette baisse des taux n’a pas encore véritablement influé sur la capacité d’emprunt des ménages. En décembre 2023 et mars 2024, l’annuité moyenne a reculé de seulement 3 %. Reste que les contraintes de crédit devraient s’alléger progressivement.

Ainsi, le coût moyen d’une opération (différent du prix au m2) a tendance à se stabiliser (-2%) sur le premier trimestre – il augmente même en mars – après la chute de 2023 (-5,9%). Ces deux années de crise ont, en effet, profondément transformé le marché du crédit immobilier, avec un déplacement de clientèle sur de nouvelles zones géographiques plus accessibles ou l’abandon de centres urbains, ce qui s’est traduit par une baisse du coût moyen d’une opération.

Situation paradoxale

Mais là aussi, le marché semble sur un point d’inflexion. En revanche, l’apport personnel continue de grimper fortement, sur des rythmes de croissance de 2020 à 2022. C’est bien cette forte hausse de l’apport personnel depuis 2019 – il a même bondi de 55 % sur le logement neuf – qui souligne l’éviction du marché des jeunes, des ménages les plus modestes, des familles nombreuses.

Lire aussiCrédit immobilier : les banques acceptent le principe d’un réexamen des dossiers refusés

Mais, selon les données de l’Observatoire, la baisse des taux n’a pas permis de redresser l’indicateur de solvabilité des ménages, qui stagne au même niveau depuis un an et demi. Cet indicateur clé est tiraillé par des vents contraires, entre rebond du coût des opérations, hausse de l’apport et stagnation des revenus.

« Nous sommes dans une situation un peu paradoxale. D’un côté, nous avons des indicateurs qui nous disent le marché reprend progressivement des couleurs. Mais, de l’autre côté, les indicateurs conventionnels d’évaluation des capacités des ménages à emprunter ou à entrer sur le marché semblent flotter, en tout cas, ne donnent pas de signes très convaincants d’évolution du marché, dans un sens comme dans l’autre », avance Michel Mouillart.

Évolution spectaculaire

Pour autant, la baisse des taux est un signal fort à destination des ménages pour enfin imaginer, à nouveau, des projets immobiliers. « Nous sommes quand même dans une situation où beaucoup de conditions font que probablement la décision d’acheter un bien immobilier l’emporte désormais sur la décision de ne pas le faire », ajoute l’économiste.

Pourtant, en glissement annuel (premier trimestre 2024 vs premier trimestre 2023), rien de bouge sur la production de crédit. Le nombre de prêts en toujours en fort recul de 35% et la production tombe de plus de 40%. Mais, ces chiffres du premier trimestre masquent en réalité, selon l’Observatoire, des évolutions « spectaculaires ».

En glissement trimestriel (premier trimestre 2024 vs le trimestre précédent), le nombre de prêts a augmenté de 1% et la baisse de la production est limitée à 2%. Ce qui marque un retournement après l’effondrement de la production au second semestre 2023. L’ouverture du robinet à crédit et le retour des emprunteurs a même permis sur le mois de mars, comparé à décembre, un bond de 46% du nombre de dossiers et de 52% de la production. Certes, décembre fut sans doute un point bas, mais « nous n’avons jamais connu un rebond d’une telle ampleur », note Michel Mouillart.

Pour autant, la production de crédit ne devrait pas connaître en 2024 une hausse spectaculaire, mais plutôt prendre la forme d’une lente remontée après une période très déprimée. Au total, la production, cette année, devrait rester autour de 150 milliards d’euros, soit le même niveau qu’en 2023, avant de connaître une progression à deux chiffres, dans le sillage du second semestre 2024, et pourrait atteindre les 165 ou 170 milliards d’euros fin 2025. Une certitude : le marché ne retrouvera jamais les belles années de 2019 ou de 2021 (200 milliards) !

Le diagnostic énergétique a une forte influence sur les prix

 Les notaires l’avaient déjà constaté, l’Observatoire du Crédit Logement/CSA le confirme : les étiquettes énergétiques DPE (diagnostic de performance énergétique), pourtant de plus en plus contestées sur le fond, ont une forte influence sur les prix de l’immobilier.

En prenant comme référence une étiquette D, l’Observatoire a en effet mesuré l’écart de prix de moyen au mètre carré par l’étiquette concerné. Et le constat est sans appel. En 2022, l’écart de prix par rapport à une étiquette G est de -5,4% et, à l’inverse, il est de + 2,4 % pour une étiquette A (excellent DPE). « Ce phénomène était donc visible dès 2022 », souligne Jean-Marc Vilon, directeur général de Crédit Logement.

En 2023, cet écart s’est encore creusé : un bien immobilier avec une étiquette G va se vendre moins cher de près de 10 % (9,7%) qu’un bien avec un DPE D alors qu’un bien avec une étiquette A se vendre en moyenne 4,2 % plus cher. Ces écarts ont donc pratiquement doublé en un an en moyenne.

Toutefois, il existe de très grandes disparités entre les régions. Sur certaines régions, une « mauvaise étiquette » peut plomber le prix d’un bien de 15 % à 18 %, comme en Bourgogne Franche Comté (-16,3%), Centre Val de Loire (-17,9%) ou Hauts de France (-15,9%). En revanche, cet écart peut-être plus réduit, voire négligeable, dans des régions au climat plus doux, comme Occitanie et Provence-Alpes-Côte d’Azur, ou sur des marchés en tension comme l’Ile-de-France. A Paris, où le logement neuf est quasiment inexistant, l’impact est quasi-nul (-3% pour une étiquette G).

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Immobiliers Nos quatre astuces pour décrocher une location

Crise immobilière oblige, la tension locative ne fait que s’accentuer : face à la difficulté d’accéder à la propriété, nombreuses sont les personnes contraintes de se tourner vers la location.

Selon une étude * du réseau d’agences immobilières Orpi, 42 % des Français sont à la recherche d’un bien à louer depuis plus d’un an. Voici quatre conseils pour réussir à décrocher un bail.

 1. Fournir au propriétaire bailleur un dossier complet

Un dossier de locataire incomplet risque bien souvent de se faire écarter du processus de sélection… « Pour maximiser les chances, mieux vaut donc attendre d’être en possession de l’ensemble des documents, prouvant le sérieux de la candidature », remarque le réseau d’agences immobilières Orpi.

Si les dossiers sont encore demandés en format papier à l’issue des visites, il est fortement conseillé de préparer une version numérique pour plus de rapidité.

Les documents demandés au candidat à la location sont une pièce d’identité, un justificatif de sa situation professionnelle, de ses revenus (contrat de travail et trois derniers bulletins de salaire ou deux derniers bilans en cas de statut d’entrepreneur) et un justificatif de domicile de moins de trois mois.

« Selon le profil du candidat locataire, cette base de document devra être complétée par des pièces supplémentaires : une preuve de scolarisation pour un étudiant ; l’extrait K bis et le certificat d’identification à l’Insee pour un auto-entrepreneur… », détaille Orpi.

À savoir, un propriétaire bailleur n’est pas autorisé à demander certaines pièces au candidat à la location comme des documents bancaires, un extrait de son casier judiciaire, des documents relatifs à sa vie privée…

2. Faire appel à un garant

« Pour appuyer un dossier de location, la présence d’un garant est préférable », indique Orpi. Les propriétaires requièrent en général des revenus correspondant à trois fois le montant du loyer.

Dans ce cadre, le garant devra fournir les mêmes pièces justificatives que le locataire. Si le locataire ne possède pas de garant, des solutions existent comme la garantie Visale, caution gratuite délivrée par l’organisme Action Logement, ou une caution bancaire.

À savoir, si le propriétaire a souscrit une assurance loyers impayés, la loi stipule qu’il ne peut pas demander un garant supplémentaire au locataire, sauf si celui-ci est apprenti ou étudiant.

3. Soigner le premier contact avec le propriétaire

« Pour rassurer son futur propriétaire, il est important de se démarquer par sa présentation : il est parfois utile de personnaliser le message de prise de contact en présentant très brièvement son profil et le cadre de la recherche » ; souligne Orpi. « Une petite attention qui montre à son interlocuteur que le candidat a bien lu correctement l’annonce et est motivé par le bien. »

 4. Être réactif

Dans un marché où les annonces de location sont rares, une veille régulière sur internet notamment est indispensable.

« Très souvent le premier arrivé est le premier servi ! Pour multiplier les chances d’obtenir un logement rapidement, la réactivité est le maître mot durant chaque étape de la recherche, de la première proposition de visite à l’envoi du dossier ou à la signature du bail », précise Orpi.

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Crédit immobilier : trois questions sur la baisse des taux, dont le recul est plus rapide que prévu

La baisse, d’abord annoncée par la Banque de France, s’est accélérée. Les taux moyens atteignent les 3,83% à la mi-avril.

Radio France

Publié le 16/04/2024 17:09

Temps de lecture : 2 min

Depuis fin 2023, la tendance est à la baisse pour les taux de crédits immobiliers. (photo d'illustration) (MICHAEL ESDOURRUBAILH / MAXPPP)

Les taux des crédits immobiliers commencent à baisser. Ils viennent de repasser sous la barre des 4%, selon l’Observatoire crédit logement publié mardi 16 avril. Le début de l’année 2024 n’a donc rien à voir avec 2023. Dans le détail, les taux moyens ont atteint 3,99% au premier trimestre 2024, 3,90% au mois de mars et même 3,83% mi-avril. En décembre, il y a moins de quatre mois, les candidats à l’accession à la propriété empruntaient à 4,21%.

1 La baisse était-elle prévue ?

Le recul est rapide et même un peu surprenant. L’Observatoire crédit logement tablait en janvier dernier sur une stabilisation des taux au cours du premier trimestre 2024 et puis seulement une baisse au fil des mois. L’Observatoire prédisait ainsi une baisse des taux à partir du second semestre, avec un taux d’emprunt moyen aux alentours de 3,25%. Ils sont aujourd’hui à 3,83%, la baisse s’est amorcée en avance.

2 La baisse est-elle de nature à relancer le marché immobilier ?

La baisse des taux est encore lente et hésitante, mais le moteur redémarre. En 2023, le nombre de prêts accordés a baissé de 40%. La baisse était à nouveau de 35% entre début 2023 et début 2024. Depuis la fin de l’année dernière, c’est reparti dans l’autre sens : la demande de crédit a augmenté de 46% entre décembre et mars. Les banques ont la volonté de prêter, un acte redevenu rentable pour elles, avec à la clé de potentiels nouveaux clients. Mais ce sont les emprunteurs qui ne se bousculent pas. Ils attendent une baisse des prix, une baisse des taux voire les deux à la fois.

3 Les taux vont-ils encore baisser et jusqu’où ?

Selon l’Observatoire crédit logement, les taux seront aux alentours de 3,25% à la fin de l’année 2024. Cette baisse se produit notamment sous l’influence de la BCE, la Banque centrale européenne, qui est censée baisser ses taux directeurs à partir du mois de juin prochain. La baisse peut aussi reposer sur un assouplissement des règles qui encadrent l’octroi de crédit immobilier. Aujourd’hui, la barre d’endettement maximum pour les emprunteurs est fixée à 35%. Les députés vont débattre de sa réforme fin avril.

Mais une tendance est déjà très encourageante : le montant moyen des opérations immobilières remonte pour la première fois depuis des mois. Après une chute mémorable, le montant moyen d’une vente s’établit à 214 000 euros au premier trimestre 2024. Il était passé de 266 000 euros en 2022, à 208 000 euros fin 2023. Moins de mètres carrés dans des zones plus éloignées : les acquéreurs ont progressivement renoncé au logement de leur rêve. Cela commence à changer, le rêve serait donc à nouveau permis.

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Fermetures des cimenteries Heidelberg Materials en Centre-Val de Loire : vers un effet domino

La décision annoncée le 4 avril par la filiale française d’Heidelberg Materials, deuxième cimentier mondial, d’arrêter ses deux usines de Beffes dans le Cher et de Villiers-au-Bouin en Indre-et-Loire, a provoqué un vif émoi dans les deux départements. Nonobstant les promesses de reclassement du groupe, la presque totalité des 80 salariés de la cimenterie de Villiers-au-Bouin concernés ont cessé le travail le 9 avril. Les 94 collaborateurs de celle de Beffes restent également dans l’expectative.

L’exécutif régional, engagé de façon volontariste dans la réindustrialisation du Centre-Val de Loire, n’a pas non plus caché ses craintes pour l’avenir économique et démographique des deux territoires concernés. Dès le 5 avril, il a appelé Heidelberg Materials à trouver des solutions alternatives. Une demande qui a peu de chances d’aboutir dans les faits.

400 millions d’investissements dans la décarbonation

Selon un porte-parole du groupe qui opère 300 sites (ciment, granulats, béton) et emploie 2700, salariés dans l’Hexagone, la décision de fermeture est motivée par deux raisons majeures. D’une part, les marchés locaux des deux cimenteries berrichonne et tourangelle seraient faibles, voire inexistants. D’autre part, l’obsolescence de leurs procédés industriels interdirait la décarbonation de l’activité, enjeu désormais prioritaire pour Heidelberg Materials France et pour l’ensemble de la filière.

Le groupe indique dans ce cadre qu’il investira 400 millions d’euros d’ici deux ans dans la transition écologique afin de diminuer l’empreinte carbone de quatre cimenteries majeures sur le territoire. Il s’agit de celles d’Airvault dans les Deux-Sèvres, de Couvrot dans la Marne, de Bussac Forêt en Charente-Maritime et de Beaucaire dans le Gard. Conséquence de ces lourds investissements, la nécessité de réaliser parallèlement des économies sur d’autres sites obsolètes.

Effet de ciseau

Les difficultés d’Heidelberg Materials en Centre-Val de Loire s’inscrivent dans un contexte national également incertain pour les autres majors du secteur, le suisse Holcim, l’irlandais Eqiom et le français Vicat. En premier lieu, le marché de la construction neuve en béton a reculé en France de 6% en 2023. En cause, non seulement le coup d’arrêt du marché immobilier observé depuis plus d’un an, mais aussi la montée en puissance des matériaux alternatifs comme le bois. Dans ce contexte d’attrition de ses recettes, l’industrie cimentière doit également investir plusieurs milliards d’euros pour décarboner son activité.

La fabrication du ciment, issu d’un mélange de calcaire et d’argile (clinker), est l’un des secteurs industriels les plus polluants avec environ 700 kilos de CO2 émis par tonne produite. « Face aux impératifs de réduction de l’empreinte carbone fixés par l’Etat d’ici 2030, pour une neutralité attendue en 2050, les cimentiers n’ont pas d’autre choix que d’accélérer de façon drastique la décarbonation, explique un expert du secteur. Or ils se retrouvent aujourd’hui groggy. Faute d’avoir anticipé suffisamment ces mutations et la modernisation de leurs process, ils sont contraints aujourd’hui de réduire la voilure à l’instar d’Heidelberg ».

Les moyens d’effectuer rapidement la transition existent pourtant avec l’apparition de bétons décarbonés, limitant le taux de clinker. Deux fabricants maîtrisent notamment cette technologie qui pourrait offrir une planche de salut à la filière. La société franco-irlandaise Ecocem (dont Saint-Gobain est actionnaire à hauteur de 20%) développe ainsi sa solution Act sur ses deux sites de Dunkerque et de Fos-sur-Mer. Elle annonce 30% de réduction du clinker dans ses recettes. Hoffmann Green Cement Technologies, basé à Bournezeau en Vendée, est également spécialisé dans les ciments décarbonés. « Ils sont encore peu utilisés par les cimentiers car cela reviendrait à remettre en cause leur modèle industriel historique, souffle le même expert. Conséquence de ce retard, probablement d’autres fermetures de cimenteries à court ou moyen terme ». Interrogée sur les projections du marché du ciment dans ce contexte, France Ciment, l’organisation professionnelle de la filière, n’a pas répondu aux sollicitations de La Tribune.

Lire aussiCiment bas carbone : le plan d’Hoffmann Green Cement Technologies pour séduire les majors du BTP

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A Saint-Nazaire, les prix se négocient durement… sauf quand il y a une vue mer


Tous les atouts d’une grande cité côtière sont réunis ici.

Tous les atouts d’une grande cité côtière sont réunis ici. MOIRENC CAMILLE/HEMIS.FR

Décryptage  Dans cette ville portuaire attrayante, les biens restent chers. Mais les acquéreurs n’hésitent plus à discuter âprement les prix.

Depuis une dizaine d’années, la ville de Saint-Nazaire a retrouvé de sa superbe avec sa belle promenade littorale et un cœur de ville moderne, lumineux et riche en boutiques et commerces. La cité est d’ailleurs régulièrement élue comme la ville la plus agréable à vivre dans toute la Loire-Atlantique. Elle a su mettre en valeur son patrimoine industriel, notamment via un circuit de visites touristiques des chantiers de construction des plus grands paquebots du monde ou de sa base sous-marine.

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« Saint-Nazaire est une ville paisible, où il fait bon vivre, avec tous les services publics et les commodités les plus recherchées par les familles, confirme Claire Jouhanneaud, conseillère en immobilier au sein du réseau Proprietesprivees.com. Elle a tous les atouts d’une grande cité côtière avec ses vingt plages et ses boutiques ouvertes à l’année, mais sans les inconvénients des très grandes métropoles, comme l’insécurité ou les embouteillag…

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Les Pays de la Loire n’échappent pas à la crise nationale du logement

L’arrêt des ventes a été brutal. De 5 565 logements neufs vendus en 2021 dans la région, les Pays de la Loire sont passés à 4 533 en 2022, puis 2 852 logements neufs vendus en 2023, selon l’Observatoire du logement neuf des Pays de la Loire (Oloma). Une baisse d’environ 50 % en l’espace de deux ans qui alarment toute une filière. « Les premières tendances dégagées en 2024 continue de voir chuter les chiffres », regrette Hélène Bourcier, présidente FFB Pays de la Loire.

Une crise qui touche tous les corps de métier

Ce manque de commercialisation entraîne une baisse des mises en chantier. Ainsi, une nouvelle Alliance pour le logement en Pays de la Loire vient de voir le jour. Elle regroupe des architectes, des acteurs du BTP, en passant par les notaires. Tous s’attendent à une livraison de logements divisée par quatre en 2025 et 2026. Et tous les corps de métier de l’Alliance sont unanimes : il y a urgence. « En Pays de la Loire, il y a 1 310 agences d’architectes. 75 % des activités sont liées aux logements. Il y a donc une urgence à agir face à la situation actuelle car des structures commencent déjà à faire face à de graves difficultés financières », réagit Gilles Chabenès, président de l’Union des architectes de Loire-Atlantique (Unsfa). Il faut dire que le contexte économique n’incite pas les particuliers à l’investissement. « L’augmentation des taux, plus l’inflation, cumulées à la réticence des banques, entraînent une baisse de 41 % des crédits immobiliers pour les particuliers dans la région », pointe Hélène Bourcier.

La rénovation comme fausse bouée de sauvetage

Face à la crise qui secoue les constructions neuves, le marché de la rénovation est souvent pointé du doigt comme un récif auquel les entreprises du bâtiment peuvent s’accrocher. « Ce marché ne compensera pas la baisse d’activités dans le neuf. Il y a eu une baisse de 12 % des logements qui ont bénéficié du dispositif MaPrimeRénov’ entre 2022 et 2023. Et ce chiffre va dégringoler suite aux dernières annonces gouvernementales, avec une baisse de 75 % (du marché de la rénovation ?) constatée sur ces premiers mois 2024″, s’alarme Hélène Bourcier.

Les logements sociaux face au manque de rotation

Du côté des logements sociaux, les chiffres ne sont pas meilleurs, avec 126 000 demandeurs actifs sur la région, soit une augmentation de 26 % depuis début 2020. « Cette augmentation de la demande illustre une baisse de la rotation d’environ 10 %. Le logement social est normalement un ascenseur social, mais il est aujourd’hui bloqué. Cela conduit à un parc avec moins de mobilité », analyse Damien Martineau, président de l’USH des Pays de la Loire. « De plus, nous faisons face à des projets de construction de plus en plus complexes à monter, avec des difficultés soit d’acceptation par les riverains ou d’ordre administratif ».

La simplification administrative est d’ailleurs un des axes sur lequel l’Alliance appuie pour faire évoluer la situation dans le bon sens. « Il y a un engorgement des dossiers, avec de nombreuses demandes de pièces complémentaires. Les permis de construire demandent six mois au lieu de trois auparavant, ce qui a un effet immédiat sur la trésorerie », pointe de son côté Gilles Chabenès. L’Alliance milite également pour la réinstauration du prêt à taux zéro, qui exclut désormais les maisons neuves individuelles. Mais ce dernier reste valable pour les logements anciens et les appartements. Au-delà de ces recommandations, Hélène Bourcier souhaite ardemment des mesures rapides. « l’implication des collectivités locales sera essentielle pour sortir de cette crise. Mais sans grande décision nationale, nous n’y arriverons pas ».

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